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Temple of the Antoinistes, Liège - consultation (Kurt Lubinski)

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consultation

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Dissidence de M. Jousselin

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    Dans la revue Leodium (Société d'art et d'histoire du Diocèse de Liège) de 1928, Pierre Debouxhtay s'adresse aux lecteurs en indiquant que "les renseignements sur deux antoinistes schismatiques : Dor (à Roux, puis à Uccle) et Jousselin (à Verviers, puis à Paris) seraient les bienvenus".

    Il publie son livre de référence (Antoine le guérisseur et l'antoinisme) quelques temps après, en 1934. Il ne signale qu'en note le fait que "dans le tome II, un chapitre sera consacré à Dor et à ses doctrines". Le tome II ne verra jamais le jour. On ne saura pas s'il avait l'intention d'en dire plus également sur M. Jousselin.

    En fin de son ouvrage, Délivrez-nous du mal (Grasset 1936), Robert Vivier indique ce schisme dans une note de bas de page : "Signalons que l'antoinisme a connu des schismes, ceux de Pierre Dor dans le Hainaut et de Jousselin à Verviers".

    C'est donc à Pierre Debouxhtay que l'on doit cette indication de l'existence de ce M. Jousselin. Malheureusement, il ne l'évoque pas dans son livre de 1945, alors qu'il s'attarde longuement sur la dissidence du temple d'Angleur par le frère Hanoul.

    Dans un numéro de Touche à tout de novembre 1913, consacré aux guérisseurs parisiens, on trouve mention d'un M. Jousselin. "Ce jeune apôtre et thaumaturge ne s'adresse qu'à l'âme, et emploie, pour guérir les maladies, non plus un remède secret, mais une force secrète sur laquelle nous ne pouvons obtenir le moindre éclaircissement. C'est en vain que nous insistons. M. Jousselin secoue sa longue chevelure et roule ses yeux de visionnaire mais ne répond pas ; enfin il dit, lassé : « C'est de la philosophie transcendante » ; du coup nous ne le retenons plus et le guérisseur peut aller devant un auditoire effaré, mais sympathique, exposer ses nobles projets. Là, il avoue son ignorance avec une modestie touchante, mais il a des convictions et il faut qu'on les partage. Il veut, donc fonder une belle ligue d'éthique et du bien moral qui, naturellement, régénérera le monde entier."

Dissidence de M. Jousselin

    On y trouve également une photo de ce M. Jousselin. Le texte fait également référence au Père Antoine en ces termes : "Cette clairvoyance, le guérisseur Antoine de Belgique la possède au plus haut degré et c'est là, paraît-il, une des principales causes de son succès. Parmi les milliers de malades qui viennent chercher auprès de lui la guérison, il n'y en a pas un dont il puisse indiquer la nature du mal. « Il lit en nous aussi bien que dans un livre, mieux encore puisqu'il ne sait pas lire », disait un de ses naïfs admirateurs."

    Enfin dans la Revue spirite, du 1er novembre 1910, on lit un encart concernant un professeur Jousselin venant de Belgique, s'agit-il là de notre Jousselin ? Le nom de son École de philosophie pratique et d'Ethique semble rappeler ce que disait Touche à tout en fin d'article.

    

Dissidence de M. Jousselin

    Sous le titre d'École de philosophie pratique et d'Ethique, le professeur Jousselin, spiritualiste initié aux phénomènes psychiques, espère enseigner et appliquer la méthode d'observation et d'éducation des types humains qu'il a expérimentée pendant plus de deux ans en Belgique sur plusieurs milliers de personnes.
    M. Jousselin observe d'abord la physionomie et l'attitude générale de son sujet et découvre, par des procédés scientifiques, par l'intuition ou par des dons personnels, le caractère, les tendances, les aspirations et l'état de santé de l'individu qu'il observe.
    Les conseils pratiques que peut donner M. Jousselin ont donc une base positive qui n'est autre que le tempérament psycho-physiologique du sujet ; ils sont très utiles pour la conduite générale de la vie et modifiables suivant la voie et les aptitudes qui correspondent à un tempérament particulier.
    Enfin, quand besoin est, dans la mesure de son pouvoir et aussi de la confiance qu'on lui accorde, M. Jousselin agit fluidiquement sur les âmes affligées ou malades. Pour ces derniers cas, l'inspiration de se rendre auprès du guérisseur, exécutée avec promptitude, facilite l'opération.
    Les cours seront annoncés ultérieurement. Adresse provisoire pour les consultations et les renseignements.

                                                              R. JOUSSELIN
                                              
12, rue de la Picardie, Paris (3e arrond.).

    Tous les jours de 4 à 7 ; le lundi, le jeudi et le samedi, de 8 à 9 heures du soir.

Revue spirite, 1er novembre 1910

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Antoinistes devant le Temple à Spa avant-guerre

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Antoinistes devant le Temple à Spa avant-guerre

issu des archives de Soeur Dumont (Seraing, Ougrée, Jemeppe au passé - n°6/1995-96)

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Calisto Peretti, peintre sauvé par les Antoinistes

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Calisto Peretti, peintre sauvé par les Antoinistes

Calisto Peretti (Trentini nel Mondo - Marzo 2016) 
https://issuu.com/rivista_trentininelmondo/docs/marzo_2016

    Degli immigrati cechi di culto Antonista indicano le cure naturali che guariscono il bimbo gravemente ammalato, quindi i Masson, una famiglia del posto, lo nutrono ed allevano come un figlio. (Les immigrants tchèques de culte Antoiniste indiquent les remèdes naturels qui guérissent l'enfant gravement malade, alors que les Masson, une famille locale, le nourrit et l'élève comme un fils.)

 

    In seguito, vivendo in una baracca umida e fredda, io inevitabilmente contrassi una broncopolmonite.
    A volte, come in un flash-back, ho un ricordo febbricitante e doloroso di una canzone che mamma mi cantava, con un singhiozzo in gola:"Nanna, dodo, nanna dodo, questa sera vien papà". Per i medici io ero condannato. Una coppia di immigrati cechi compassionevoli aiutava mia madre come poteva. Quella brava gente erano seguaci del Culto Antonista considerato  ingiustamente come una setta. Ma non aveva nulla di settario poichè rispettava tutte le filosofie e le religioni. Mamma, malgrado la sua educazione cristiana, era disperata e accettò il loro aiuto.
    Molto tempo fa mi ricordo che un giorno mi raccontò di avermi guarito, seguendo i consigli di questa coppia, spalmandomi completamente con una mistura di erbe e di oli (probabilmente essenziali). Checché se ne voglia dire, io devo la vita a queste persone che ho sempre rispettato.  Mamma gli è rimasta fedele fino alla fine.
    Noi continuavamo a vivere nelle difficoltà, mia mamma doveva allevare tre figli senza mezzi. Allora sempre questa coppia ceca ci mise in contatto con una famiglia belga senza figli loro conoscenti, i signori Masson, che molto caritatevolmente mi accolsero, curarono, nutrirono, circondandomi di affetto per quasi tre anni. Sono diventati i miei padrini Emile e Georgina.  Oggi non ci sono più ma penso a loro con una profonda gratitudine, emozione e tenerezza. 

source : http://calistoperetti.be/textes/italien/page2.html

    Par la suite, vivant dans le baraquement humide et froid, j'ai contracté inévitablement une bronchopneumonie.
    Parfois, un flash-back ravive en moi le souvenir fiévreux et douloureux d'une chanson que me chantait maman, un sanglot dans la voix: "Nanna dodo, nanna dodo, questa sera vien papa". Pour les médecins j'étais condamné! Un couple d'immigrés tchèques compatissants aidait ma mère comme il le pouvait. Ces braves gens étaient adeptes du Culte Antoiniste considéré à tort comme une secte qui n'avait rien de sectaire puisque respectueux de toutes philosophies et religions. Maman, malgré son éducation chrétienne, en désespoir de cause, accepta leur aide.
    Il y a très longtemps je me souviens qu'un jour elle m'avait raconté m'avoir guéri, suivant leurs conseils, en m'enduisant complètement d'une mixtion d'herbes et d'huiles (probablement essentielles). Quoique l'on puisse penser, je leur doit la vie et le respect! Maman leur est restée fidèle jusqu'au bout.
    Continuant à vivre dans les difficultés avec nous trois, toujours ce même couple tchèque connaissait M. et Mme Masson, un ménage sans enfants qui, charitable, m'ont accueilli, nourri, soigné et entouré d'amour durant près de 3 années. Ils sont devenus parrain Emile et marraine Georgina. Aujourd'hui, ils ne sont plus, mais je pense à eux avec une profonde gratitude, de l'émotion et de la tendresse.

Source : http://www.calistoperetti.be/textes/page2.html

Calisto Peretti (Né à Saint-Ghislain le 29 mars 1937), Peintre - Sculpteur - Graphiste, est fils d'un mineur venu s'installer en Belgique dans les années '30. Il n'a pas connu son père, terrassé six mois après sa naissance. L'absence paternelle marquera toute sa jeunesse. Il trouvera refuge à ses angoisses dans le dessin.

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Consécration du temple en 1991

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Sœur Edmonde Cochard, à droite, desservante du Temple de Tergnier.

    Je me souviens de la consécration du Temple de Caen. Il y avait beaucoup, beaucoup de monde. Il y a eu plusieurs Lectures et j'ai eu, avec d'autres Sœurs et Frères, la chance de pouvoir entre dans le Temple à 10h d'autant plus que la Desservante qui officiait à cette heure était Sœur Routier - qui était la Desservante du Temple de Rouen.
    Nous venions de Reims avec notre desservante Sr Gilouppe. Nous connaissions Sr Delarue depuis mon enfance puisque c'est à la salle de Lecture de Caen que mes parents ont fait la connaissance de l'antoinisme en 1959. La première personne qui a prié à leur demande (pour moi-même) était Fr Raux, desservant du temple de Bernay à l'époque et la sœur de la salle de lecture Sr Alzire (?) d'après ma mère... Bonnes pensées.

Souvenirs de Sœur Betty

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Jumet - Temple antoiniste

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Antoinistes français au temple de Jumet le 23 juillet 1994

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Vogue de la doctrine antoiniste (à Bruxelles)

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    L'Antoinisme est même à Bruxelles. M. Hector Adans, employé à l'un des services administratifs de la Chambre se laissait interviewer par La Meuse en 1911. « C'est vrai, disait-il, je suis antoiniste - Vous êtes devenu ce qu'on appelle un convaincu ? - Un convaincu c'est le mot. - Y a-t-il des adeptes antoinistes à Bruxelles ? - Il y a un an et demi, notre groupe ne se composait que de quatre personnes : aujourd'hui il en compte une bonne cinquantain. - Pratiquant l'Antoinisme ? - Parfaitement. La lecture de l'enseignement d'Antoine le Guérisseur se fait tous les lundis à Bruxelles chez M. Delannoy, 30, rue St-Georges (1), qui met gracieusement son rez-de-chaussée à notre disposition... »

(1) M. Delannoy a rompu depuis avec l'Antoinisme.

Hubert Bourguet, Antoine de Jemeppe et l'Antoinisme
Impr. Vaillant-Carmanne, Liège, 1918, p.35-36

    Dans l'Unitif, un adepte raconte la création de la salle de lecture de la rue Saint-Georges, située à Ixelles, à environ 3km du temple de Forest, qui fut construit en 1915. Jean-Marie Defrance raconte en 1932 dans Réveil, L'Apotre de Jemeppe et sa Révélation, comment il a pu trouver le temple de Forest : en voyant au loin une soeur avec le costume antoiniste.

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André Baillon, Germaine Lievens & l'anarchisme, le mysticisme

Publié le par antoiniste

Illustration : Charles de Groux-Portrait de Mme Germaine Lievens

    Moins simples est la question de l'exaltation religieuse qui a pris Baillon à Westmalle. Dans En sabots et Histoire d'une Marie, il en parle d'un ton légèrement badin et ironique. Mais la lecture de sa correspondance avec Stiévenart donne franchement l'impression que la question lui tient à coeur et que, en tout cas pendant son premier séjour, il a cherché et cru trouver un exutoire à ses complexes dans une piété quasi populaire et primitive. Le contact avec la nature n'y est peut-être pas étranger : « Comment flâner  par la bruyère et ne pas croire en Dieu ? » Ni la proximité de l'abbaye des trappistes qui rayonnent un catholicisme très différent de celui des jésuites abhorrés, et dont il a suivi chaque matin la première messe peu après son arrivée. Ses lettres datées de 1904 et 1905 parlent très souvent de ses lectures de la Bible et L'imitation de Jésus-Christ, et surtout de sa recherche de la simplicité évangélique.
Frans Denissen, André Baillon, le gigolo d'Irma Idéal, p.143-144
Editions Labor, Archives du Futur, Bruxelles, 2001

    Comme cela se faisait assez souvent dans les familles aisées, ses parents envoient [Germaine Lievens] à seize ans dans un pensionnat anglais avec Camille, sa cadette de deux ans, pour y achever ses études secondaires. Ce changement est loin d'être une réussite : au bout de six mois, la direction de l'établissement envoie à la famille Lievens des rapports alarmants sur la conduite de l'aînée. Elle pratique l'ascèse et la mortification, reste des nuits entières dans sa chambre à prier, à genoux, connaît des crises de mysticisme et déclare enfin qu'elle a l'intention de devenir carmélite.
Frans Denissen, André Baillon, le gigolo d'Irma Idéal, p.161-162
Editions Labor, Archives du Futur, Bruxelles, 2001
    L'auteur fait une allusion au fait que Germaine, ainsi que Baillon, auraient pratiqué quelques séances spirites, notamment quand l'écrivain s'identifie si bien à son personnage de Zonzon Pépette et qu'il "fait croire à Germaine, et sans doute s'en persuade-t-il lui-même, qu'il a tué deux fois et que de surcroît, le fantôme de Zonzon le poursuit jour et nuit, qu'il lui a jeté un sort." (p.210-11).

    Dans son essai « Portrait de l'artiste en chapeau mou et lavallière », Paul Aron tente de situer le séjour de Baillon dans le contexte plus vaste d'un courant largement inspiré d'idées socialistes et anarchistes qui, vers 1900, poussèrent des artistes et des intellectuels à tourner le dos à la société, en particulier aux cotés industrielles en pleine expansion, et à faire l'expérience, dans la solitude de la campagne, de communautés anticapitalistes ou précapitalistes.
Frans Denissen, André Baillon, le gigolo d'Irma Idéal, p.142-143
Editions Labor, Archives du Futur, Bruxelles, 2001

Paul Aron, Portrait de l'artiste en chapeau mou et lavallière
- Entre l'anarchie et l'écologie
- Les amis du [Café du] Téléphone
- Vers la consécration : Baillon à Paris
- Les raisons d'une reconnaissance
    André Baillon y est décrit comme évoluant dans une monde aux idées socialisantes et où la littérature populaire a sa place. Sa rencontre avec Germaine Lievens, qui deviendra antoiniste est aussi à mon sens un indice. En effet, l'antoinisme sera aussi décrit par les écrivains populaires parisiens comme André Thérive ou Jean Delay. Robet Vivier est de la même tendance. La Dupe, publié en 1944, mais commencé bien plus tôt dès 1896 et repris en 1901 quand il rencontre Marie Vandenberghe puis en 1913 "après avoir réussi à toucher le coeur de Germaine Lievens, il reprend ce texte avec fougue et cette fois, à en croire sa compagne, il l'achève." "[En 1932], à l'apogée de sa liaison fatale avec Marie de Vivier, il entame la troisime partie qui aura le titre fatidique de La dupe. Mais parvenu environ à la moitié de l'ouvrage, il y met fin en se supprimant, sans avoir pu se réconcilier avec le personnage qu'il avai été et qu'avec un agacement croissant il appelle « ce petit crétin » dans sa correspondance avec Marie. Le texte inachevé de La dupe ne sera publié que douze ans après sa mort. Son premier roman sera aussi le dernier. Mais Baillon n'aura pas pu boucler la boucle." (Frans Denissen, p.47-48) La Dupe est le pont entre l'anarchisme et le prolétarisme... Germaine Lievens est le pont entre l'anarchisme et le mysticisme...
    André Baillon est un Flamand de langue française, alors que Germaine Lievens est une Wallonne d'irigine flamande.

    "Dans une lettre autobiographique, Baillon évoque d'ailleurs ces années avec le persiflage dont il est coutumier : « Je portais déjà le chapeau mou et la grande lavallière qui, en ce temps était l'insigne autant des écrivains que de l'anarchiste que je croyais être. » Il s'est peint dans La Dupe, dont le héros fait la connaissance d'un jeune nihiliste russe et, comme Baillon, fréquente les cercles anarchistes."
    Paul Aron conclut par l'évidence d'une "sollicitude que les milieux de gauche ont accordée à sa carrière, et la constante fidélité que Baillon observa à leur égard."
source : Textyles N°6 Novembre 1989

    Mais aussi une distancation avec le politique, tout comme Louis Antoine (et l'Antoinisme) : "Bourgeois et petits-bourgeois, jacobins et mystiques, battants et perdants", "Eleveur de poules, anarchiste, aspirant trappiste ? Non : écrivain" et "Des artistes" sont trois sous-titres de la biographie de Frans Denissen. André Baillon était de tendance prolétaro-anarchisto-socialiste, il est devenu artiste, il rencontre Germaine Lievens qui est artiste aussi, et qui deviendra mystique antoiniste.

    André Baillon essaya donc avec plus ou moins de succès cette vie à la campagne. Germaine Lievens quand à elle préféra, comme plus tard André Baillon (« Il faut ouvrir ses fenêtres et ses portes. Il faut sortir de sa chambre, le malheur dût-il vous prendre à la gorge dès le seuil, comme un voleur. »), prendre le torreau par les cornes et venir en aide à la population par le biais de l'Antoinisme : fuite contre fuite en avant ?

    Georges Eekhoud dit de Baillon qu'il était un sceptique doublé d'un mystique. Ce qui a réuni André et Germaine étaient leur mysticisme, et le fait d'être artiste les a séparés...

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Narcisse Nihoul

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Narcisse Nihoul
Narcisse Nihoul (acte de mariage 18 avril 1888 à Seraing avec Henriette Demoulin)

    M. Narcisse-Louis-Joseph Nihoul, propriétaire, né à Engis le 18 mars 1864, époux de dame Henriette Demoulin, ménagère, née à Horion-Hozémont le 1er février 1865, demeurant à Jemeppes-sur-Meuse.


M. Narcisse-Louis-Joseph Nihoul-Demoulin :

Commune de Seraing-sur-Meuse.
    Une maison et temple, sis rue de Tavier, n°2, pour une conenance de 3 ares 55 cantiares, joignant les rues de Tavier et de la Colline dont il forme l'angle et la société coopérative « L'Union coopérative ».

Commune de Visé.
    Maison et temple, sis rue de l'Allée Verte, pour une contenance de 5 ares 50 centiares, joignant Paquay, Jacques ; Mouton, Marie-Emilie-Henri et la rue de Visé, à Liége.

Commune de Momalle.
    Une maison, temple et jardin, sis en lieu dit Momalle-Village, de 14 ares 35 centiares, joignant Renkin, le chemin de Momalle à Hodeige, Moermans-Lacombe, Mondy-Hanson et un biez.

Commune de Villers-le-Bouillet.
    Un temple, sis en lieu dit Cabaintes, pour une contenance de 2 ares 20 centiares, joignant Lekeu-Botroux et Lekeu-Duchesne, Thion-La-Croix, la rue d'Ampsin à Villers-le-Bouillet.

Commune de Forest lez-Bruxelles.
    Un temple, sis boulevard Guillaume Vanhaelen, pour une contenance de 3 ares 60 centiares, joignant Deppe-Beaufort, Vanham-Mouton et Mouton-Deman.

Commune de Souvret.
    Un temple, sis rue de Fontaine, pour une contenance de 3 ares 20 centiares, joignant Denamur-Basin, Remy-Lapage, Dehon-Stumpart, Leclercq-Debande et le chemin.


    M. Narcisse Nihoul, outre les immeubles qu'il a affectés ci-dessus, affecte les suivants :
    Un temple, sis à Vichy (France), rie Bargoin, d'une superficie de 360 m2.
    Et un autre temple, sis à Tours (France), rue Ambroise, d'une superficie de 396 m2.


Procès verbal de la Fondation d'Etablissement d'Utilité Publique, le 3 octobre 1922
Recueil des circulaires, instructions et autres actes émanés du Ministère de la Justice ou Relatifs à ce Département. Troisième série. 1922

cf. https://gw.geneanet.org/midero?n=nihoul&oc=&p=narcisse+louis+joseph
https://gw.geneanet.org/midero?lang=fr&pz=philippe+henry+jean+michel&nz=de+ro&p=henriette&n=demoulin

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Jean-Baptiste Bragard et Armand Gohy à Stembert

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    M. Jean-Baptiste-Jacques-Edouard-Joseph Bragard, ébéniste, né à Chaineux le 15 juin 1877, demeurant à Dison.

    M. Armand-Joseph Gohy-Halleux, cultivateur, né à Stembert, le douze novembre 1880, demeurant à Stembert.


M. Bragard :
Commune de Stembert.
    Un temple, sis en lieu dit Campagne de Bronde, pour une contenance de 90 m2, joignant Gohy-Halleux, le chemin du Cerisier.

M. Gohy :
    Ce dernier déclare renoncer à tous les droits de propriété quant à la citerne qui est contruite sous le temple ci-dessus affecté par M. Bragard, droits qu'il s'était réservé dans l'acte de vente.
    Tant que cette citerne existera, M. Gohy aura le droit de puiser l'eau par la pompe existant actuellement pour ses besoins.


Procès verbal de la Fondation d'Etablissement d'Utilité Publique, le 3 octobre 1922
Recueil des circulaires, instructions et autres actes émanés du Ministère de la Justice ou Relatifs à ce Département. Troisième série. 1922

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