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mathilde elskens

Bordeaux (1964)(fermé)

Publié le par antoiniste

Bordeaux (1964)

Adresse : 42, rue Goya (coin de la rue Sainte-Luce) - 33000 Bordeaux



Style : Art Déco

Panneau : Lecture de l'Enseignement du Père, le dimanche à 10 heures et tous les jours à 19 heures, excepté le samedi. Opération au nom du Père, les cinq premiers jours de la semaine à 10 heures. Le temple est ouvert du matin au soir aux personnes souffrantes. Tout le monde est reçu gratuitement

Temple avec photos

Date de consécration (par un délégué du Collège des Desservants au Nom du Père, soeur Mathilde Elskens) : 25 octobre 1964

Anecdote : c'est Soeur ELSKENS qui assura à la Grande Tribune les Opérations à l'intérieur, assistée par Frère JEANNIN (Secrétaire Moral du Collège des Desservants de France, le titre de Représentant du Père ne sera porté en France qu'à partir de 1988) à la Petite Tribune. Toutes les Opérations eurent lieu à l'intérieur, l'autorisation de l'Opération sur le seuil n'ayant pas été donnée par le maire.
C'est le seul temple du sud-ouest de la France. Le site officiel www.antoinisme.com (mis à jour en mai 2024) indique le temple fermé provisoirement.


Les communes limitrophes de Caudéran et Le Buscat sont habitées par une population vieillissante et aisée. Caudéran est la banlieue chic, construite au XIXe siècle. Elle maintenant rattaché à la ville de Bordeaux en 1965.
Le temple se trouve dans le quartier historique du XVIIIe siècle, Saint-Seurin-Fondaudège : quartier résidentiel plus familiale, mais actuellement tout aussi aisé.

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Mantes-la-Jolie (1966)

Publié le par antoiniste

Mantes-la-Jolie (1966)

Adresse : 48, rue des Coquilles - 78200 Mantes-la-Jolie



Style : Art Déco

Panneau : Lecture de l'Enseignement du Père, le dimanche à 10 heures et tous les jours à 19 heures, excepté le samedi. Opération au nom du Père, les cinq premiers jours de la semaine à 10 heures. Le temple est ouvert du matin au soir aux personnes souffrantes. Tout le monde est reçu gratuitement

Temple avec photo

Date de consécration (par un délégué du Collège des Desservants au Nom du Père, soeur Mathilde Elskens) : 5 juin 1966

Anecdote : C'est Soeur Elskens qui assura à la Grande Tribune les Opérations à l'intérieur et la dernière sur le seuil du Temple, assistée par Frère JEANNIN (Secrétaire Moral du Collège des Desservants de France, le titre de Représentant du Père ne sera porté en France qu'à partir de 1988) à la Petite Tribune.
Dans la région Île-de-France, c'est l'avant-dernier temple des environs a avoir été consacré, avant Conflans-Sainte-Honorine et les trois temples parisiens. Il fut consacré deux ans après Bordeaux, ensuite, il fallut attendre presque vingt ans avant de voir celui de Conflans-Sainte-Honorine (dans le même département des Yvelines). Mantes se trouve entre Conflans et Evreux, où se trouve également un temple (consacré en 1948).

À partir du XIXe siècle, la ville connut une expansion importante vers l'ouest, par l'annexion de territoires appartenant autrefois à Mantes-la-Ville. L’ouverture en 1843 de la ligne de chemin de fer entre Paris et Rouen et l’installation de nouvelles industries dans la région relance l’attractivité de Mantes. La croissance de la ville s’accélère en 1930 avec l’annexion de l’ancien village voisin de Gassicourt. L’après-guerre est marqué par la reconstruction des zones détruites dans le centre-ville. Suite à la mise en place d’un nouvelle politique d’urbanisation, une zone à urbaniser en priorité (ZUP) est créée à Mantes-la-Jolie au début dans les années 1960. C’est alors le début de la construction du quartier moderne du Val-Fourré (le temple se situe entre le centre et le Val-Fouré), sous la direction de l’architecte-urbaniste Raymond Lopez, en lieu et place de l’aérodrome.

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Cortège de propagande en 1963-64 afin que Jemeppe remette les Images (Archives du Temple de Retinne)

Publié le par antoiniste

Cortège de propagande afin que Jemeppe remette les Images #1 (Archives du Temple de Retinne)

Cortège de propagande afin que Jemeppe remette les Images, retirées depuis 1940, en espérant un changement
On reconnaît Sœur Elskens (la première à droite devant la porte du Temple).
Ce genre de manifestation sera renouvelé notamment au moment des Fêtes des fondateur en 1964 ou 65.
 

Cortège de propagande afin que Jemeppe remette les Images #2 (Archives du Temple de Retinne)

Cortège de propagande afin que Jemeppe remette les Images #3 (Archives du Temple de Retinne)

Cortège de propagande afin que Jemeppe remette les Images #4 (Archives du Temple de Retinne)

(Archives du Temple de Retinne)

Cortège de propagande afin que Jemeppe remette les Images (Archives du Temple de Retinne)

Rétrospective du Frère L. Spelte

    Pendant que des adeptes font tous leur possible pour lutter contre les formes, d'autres s'efforcent de les restaurer. En 1963 et 1964, le 25 juin, ils organisèrent un cortège à Jemeppe avec des images à leur boutonnière et un grand portrait du Père et le 3 novembre, ils firent de nouveau un cortège avec des images et lurent une allocution devant le Temple de Jemeppe. A quoi cela peut-il servir ? Uniquement à semer la division entre nous.

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Chute mortelle d'un antoiniste de marque (L'Avenir du Luxembourg, 14 novembre 1913)(Belgicapress)

Publié le par antoiniste

Chute mortelle d'un antoiniste de marque (L'Avenir du Luxembourg, 14 novembre 1913)(Belgicapress)

CHUTE MORTELLE D'UN ANTOINISTE DE MARQUE.

    Au charbonnage de Bonne-Fortune à Ans un abatteur, M. Emile Elvens (sic), a fait une chute dans un puits et s'est fracassé le crâne. M. Elvens, qui était âgé de 39 ans, était antoiniste fervent. Sa maison, rue des Mâris (sic), à Montegnée, était devenu une sorte de temple, où les adeptes du culte se rendaient en foule. Ils attribuaient à Elvens nombre de guérisons.

L'Avenir du Luxembourg, 14 novembre 1913 (source : Belgicapress)

 

    Il faut lire Emile Elskens, car c’est ainsi qu’on le retrouve dans le Procès verbal de la Fondation d’Établissement d’Utilité Publique. Il fut l'époux de sœur Mathilde Elskens.

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Mariage, communion, baptême antoinistes

Publié le par antoiniste

Mariage, communion, baptême antoinistes

Annonce dans un Unitif du temps de Mère

    La Mère établit des rituels tels que le baptême des enfants, la bénédiction des couples et la communion des jeunes gens. Ces cérémonies très courtes, totalement « décharné[e]s » selon Debouxhtay car dépourvues de tout aspect rituel, consistent simplement en une « élévation de pensée » qui prend place après le culte dans une pièce de consultation du temple.
    Dans la doctrine antoiniste, ces rituels n'ont pas de signification particulière et ne sont pas considérés comme des sacrements  ; ils ne sont pratiqués qu'à la demande des fidèles qui souhaitent donner une dimension religieuse aux moments importants de leur vie.
    Déjà du temps d'Antoine, les sacrements de l'Église catholique étaient reconnus comme valides et il était donc inutile de les reproduire.

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Antoinisme#Mariage,_communion,_baptême_et_funérailles

 

Souvenir de la mère de Roland AE Collignon, avec Mathilde Elskens (Roland AE Collignon)

Roland AE Collignon indique : Souvenir de ma maman qui avait écrit ceci au dos de cette photo :
"Afin que rien ne se perde,
marqué d'une croix, sœur Mathilde Eyskens
qui m'a conduit près de Mère pour mon baptême."

source : https://www.facebook.com/groups/445833302680975/permalink/741766076421028

   La mémoire de cette Sœur a transformé le nom Elskens en Eyskens.

La photo a été prise lors d'une procession,
devant le n°88 de la rue du Temple de Jemeppe (Rue Smets, maintenant Rue Rousseau).

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Mathilde Elskens à Montegnée

Publié le par antoiniste

Mathilde Elskens à Montegnée

 

Photo de Mathilde Elskens (issue des archives de Roland AE Collignon) qui conduit à Mère Antoine la mère de Frère Roland pour son baptême.

 

 

Mathilde Elskens à Montegnée

 

signature sur l'acte de naissance de sa fille

 

 

    Mme Mathilde Maréchal, ménagère, née à Montegnée le 13 mars 1879, veuve de M. Emile-Jean-Joseph Elskens, demeurant à Montegnée.
Et sa fille :
    Dame Marie-Catherine-Joséphine Elskens, ménagère, née à Montegnée, le 28 août 1896, épouse assistée et autorisée de M. Léon-Louis Daniel, comptable, né à Ans le 3 juin 1887, demeurant ensemble à Montegnée.


Mme veuve Elskens-Maréchal et sa fille Mme Daniel :
Commune de Montegnée.
    Les parts leur appartenant dans un temple d'une contenance d'environ cent m2, sis rue des Mavis, joignant la rue, Massart-Maréchal et la famille Elskens-Maréchal.


    Tous les titres de propriété ont été remis à Mme veuve Antoine, comparante, qui le reconnait, à l'exception toutefois du titre de Mme veuve Elskens-Maréchal et de ses enfants qui l'a conservé à charge d'en aider s'il était besoin le culte antoiniste.

Procès verbal de la Fondation d'Etablissement d'Utilité Publique, le 3 octobre 1922
Recueil des circulaires, instructions et autres actes émanés du Ministère de la Justice ou Relatifs à ce Département. Troisième série. 1922

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Mme Elskens, spirite, soeur de Montegnée, fidèle au travail de Mère

Publié le par antoiniste

Mme Elskens, spirite, soeur de Montegnée, fidèle au travail de Mère

Mathilde Elskens, née Maréchal (acte de naissance 14 mars 1879)

    Dans les statuts du culte antoiniste de 1922, on lit :

Mme Mathilde Maréchal, ménagère, née à Montegnée le treize mars mil huit cent septante-neuf, veuve de M. Emile-Jean-Joseph Elskens, demeurant à Montegnée.

Et sa fille :

Dame Marie-Catherine-Joséphine Elskens, ménagère, née à Montegnée le vingt-huit août mil huit cent nonante-six, épouse assistée et autorisée de M. Léon-Louis Daniel, comptable, né à Ans le trois juin mil huit cent quatre-vingt-sept, demeurant ensemble à Montegnée.

Mme Elskens, spirite, soeur de Montegnée, fidèle au travail de Mère

Marie Elskens (acte de naissance 28 août 1896)

Mathilde Elskens à Montegnée

 

Photo de Mathilde Elskens (issue des archives de Roland AE Collignon) qui conduit à Mère Antoine la mère de Frère Roland pour son baptême.

 

 Son époux, Emile Elskens, décède dans un accident sur son lieu de travail (il était houilleur) en 1913.

 

    Quand il rentra, il y avait quelqu'un à la maison : Mme Elskens. Il venait ainsi, parfois, des personnages du groupe spirite, même en dehors des jours de séances. Près du fourneau que chauffait le gaz venu de la terre, on se mit à parler des progrès du spiritisme dans la région. Le jeune Louis prit vivement part à la causerie. Il rappela qu'à Jemeppe même on avait déjà vu deux enterrements spirites, celui de Mme Piron et celui de la veuve Gony.
    - Oui, dit Antoine. Il y a quelque chose de changé dans le monde. Voyez comme nos vieux parents ont vécu toute leur vie. Ils prenaient leur livre de messe le dimanche matin, ils allaient à l'église, ils donnaient leur grand coup de chapeau à monsieur le curé, et ne pensaient pas plus loin. Sans doute, on ne peut pas dire qu'ils aient eu tort : ils ont vécu d'après leur foi, d'après leurs idées. Mais nous, puisque nous en connaissons plus qu'eux, nous avons aussi de plus grands devoirs.
Robert Vivier, Délivrez-nous du mal, p.181-82

    Pierre Debouxhtay (p.28) évoque les premiers enterrements spirites de la région :
    En janvier 1891 avait eu lieu à Tilleur le premier enterrement spirite ; la même année, le 28 avril, Jemeppe vit l'enterrement spirite de Mme Catherine-Charlotte Piron ; le 13 janvier 1892, celui de Mme veuve Gony ; le 25 avril 1893 celui du fils d'Antoine le Guérisseur. Ce fut l'Union spirite de Seraing qui procéda aux funérailles civiles du jeune Antoine. A cette époque la société spirite d'Antoine n'était donc pas encore constituée ou reconstituée. (En 1896, le groupe d'Antoine est en pleine activité ; en 1898, ce sera le drapeau des Vignerons qui précédera un convoi funèbre).

    Ce que Robert Vivier fait dire à Antoine ici est repris de l'Enseignement :
    Les êtres du premier échelon travaillent selon leur nature et ils sont dans la vérité, suivant leur degré d'évolution. Ceux qui occupent l'échelon suivant font déjà plus ou mieux ; mais s'ils croyaient pouvoir redire aux agissements des premiers, ils seraient dans l'erreur et permettraient à de plus élevés de leur faire également des observations (La Révélation, L'efficacité des lois morales, p.117).


    Régis Dericquebourg (p.27) évoque de façon obscure les déboires de soeur Elskens avec le Conseil général du culte :
    Les Antoinistes français manifestèrent leur sympathie à la soeur Elskens, adepte du 'Père' depuis 1897 qui fut expulsée par le 'Conseil général' du temple de Montegéne dont elle était la desservante en l'invitant plusieurs fois à visiter des temples français. Celle-ci souhaitait rester fidèle au travail de Mère et conserver les portraits dans le temple, à l'encontre de la décision du Conseil en 1940. On sait pourtant que certains temples en France voulurent également suivre le Frère Nihoul et la Belgique pour le retour du Temple sans portrait comme le voulait le Père.
    Le frère Robert nous apprend que Mme Elskens est chargée encore en 1966 de la consécration du temple de Mantes-la-Jolie en tant que délégué du Collège des Desservants au Nom du Père. Elle assura à la Grande Tribune les Opérations à l'intérieur et la dernière sur le seuil du Temple, assistée par Frère JEANNIN (Secrétaire Moral du Collège des Desservants de France, le titre de Représentant du Père ne sera porté en France qu'à partir de 1988) à la Petite Tribune. Il en sera de même pour Bordeaux (où toutes les Opérations eurent lieu à l'intérieur, l'autorisation de l'Opération sur le seuil n'ayant pas été donnée par le maire) et Roanne, où 7+1 Opérations ont été nécessaires.
    C'était une des premières adeptes du Père qui a construit avec son mari le Temple de Montegnée (consacré en 1919) et en fut la Desservante jusqu'à son renvoi parce qu'elle voulait respecter le Travail Moral de Mère.

    En 1934, Joseph Nihoul, 70 ans, comptable, habite la rue Mavis à Montegnée où se trouve le temple. Il est président du conseil d'administration du culte. Il écrit le règlement pour les temples, avec le frère L. Bormans (un Jacques Bosmans est témoin à la naissance de la fille Elskens). On imagine qu'il sera certainement responsable du temple de Montegnée, avec ou déjà sans sœur Elskens.
   En 1940, frère Nihoul devient le Premier Représentant du Père à la désincarnation de Mère. Et décide de "ramener le Culte au bon fluide du Père". Mme Elskens, comme on l'a vue, est resté fidèle au travail de mère ce qui lui valu son renvoi du Conseil d'administration vers 1940, car par là "elle s'écartait de l'Enseignement du Père", le culte étant revenu en Belgique à ce que le Père avait fait en son temps. Régis Dericquebourg parle de crise de succession 'à retardement' (p.29). Peut-être s'agissait-il d'un conflit plus ancien entre frère Joseph Nihoul et sœur Elskens ?
    Est-ce que la création de l'ASBL des Disciples du Père et Mère Antoine datant de 1965 découle de ce renvoi ? Possible. En tout cas, c'est le frère Albert Jeannin qui consacrera le temple de Retinne en 1968.

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Consécration d'un temple

Publié le par antoiniste

Consécration d'un temple
Bernay (source : page FaceBook ''Y avait ça chez mémé'').

    La Mère se retirait 15 jours avant une consécration, afin de s'effacer derrière le Père et être au moins atteinte par les fluides.
    extrait de Textes recopiés d'un document écrit prêté par le Frère Céleste LOBET

   À cette occasion, des billets qui indiquent les commodités est distribué dans les autres temples. Quelques articles donnaient même également les prix des tickets de train spéciaux pour s'y rendre.


    La consécration d'un nouveau temple est pour les antoinistes une grande fête, dont le cérémonial a été fixé par l'autorité de Jemeppe.
    "Des cérémonies lors de l'édification d'un Temple. Un adepte demande qu'il peut y avoir pour cette occasion d'autre cérémonie que la bénédiction du temple par le premier Interprète ou le représentant désigné par Lui. Il est nécessaire que cette cérémonie de la consécration soit le plus solennelle possible et il nous semble que pour lui garder d'autant mieux ce caractère, il serait préférable de ne la faire précéder d'aucune autre cérémonie." (L'Unitif, 1er juillet 1913, p.16)
    La consécration consiste donc tout simplement en une "opération", Mère recevant dans le nouveau temple les malades et les adeptes comme elle le fait à Jemeppe. La lecture des dix principes clôture cette "cérémonie d'une banalité lamentable, mais d'une délicieuse candeur" (Paul Erio, dans Le Journal, 27 octrobre 1913, à propos de la consécration du temple de la rue Vergniaud, à Paris). Il n'y a dans cette brève cérémonie, rien qui ressemble aux pompes de la consécration d'une église catholique.
Pierre Debouxhtay, Antoine le Guérisseur et l'Antoinisme, p.233

   Ajoutons que la lecture des dix principes se déroule parfois sur le seuil du temple, avec un adepte portant l'Arbre de la Science de la Vue du Mal. Plusieurs "opérations" sont parfois nécessaires pour satisfaire tous les adeptes dans le temple.

   Concernant les consécrations après Mère, frère Robert précise que dans l'Organisation Générale du Culte Antoiniste en France, après MERE, il est précisé que c'est toujours "un délégué du Collège des Desservants qui va consacrer le nouveau Temple au Nom du Père". Ainsi à Roanne, c'est Soeur ELSKENS (Une des premières adeptes du Père qui a construit avec son mari le Temple de Montegnée et en fut la Desservante jusqu'à son renvoi parce qu'elle voulait respecter le Travail Moral de Mère) qui assura à la Grande Tribune les 7 Opérations à l'intérieur et la huitième sur le seuil du Temple, assistée par Frère JEANNIN (Secrétaire Moral du Collège des Desservants de France, le titre de Représentant du Père ne sera porté en France qu'à partir de 1988) à la Petite Tribune. Il en sera de même pour Bordeaux (où toutes les Opérations eurent lieu à l'intérieur, l'autorisation de l'Opération sur le seuil n'ayant pas été donnée par le maire) et Mantes-la-Jolie.

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Les Salles de lectures avant le temple de Montegnée

Publié le par antoiniste

Les Salles de lectures avant le temple de Montegnée

Salle de lecture du dimanche (Unitif de 1914)

   Pierre Debouxhtay nous renseigne qu'une salle de lecture existait à Grâce-Berleur (23 rue sous l'Enclos et 82 rue du Berleur) en 1914 et à Montegnée (69 rue Mavis) en juillet 1913. Cette dernière a été ouverte par le Frère et la Sœur Elskens dans leur maison. Le temple put être construit en 1919.

    De plus, la ville de Montegnée vota un vœu de sympathie au collège communal en faveur de la reconnaissance légale du culte.

    Michel Meeus signale (p.37) : Contrairement aux années 1919-1930, la période 1931-1940 fournit de nombreux renseignements au sujet des paroisses de l'agglomération liégeoise. S'il y avait en 1933 quelques antoinistes dans celle de Saint-François de Sales et en 1938 un enterrement spirite parmi les 33 décès à Cointe, la population de Saint-Nicolas-lez-Liège était fortement entamée par l'antoinisme. Un « thaumaturge et ses prétendues guérisons à Liège » vint s'installer en 1929 dans ce village et acheta un local-temple, mais en 1933 les adhérents y semblaient néanmoins en recul.

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