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La Révélation, Le désintéressement & la foi (p.51)

Publié le par antoiniste

 

    Si nous avons le droit de prêcher quelque chose, c'est la liberté : c'est elle qui préparera l'avènement de la fraternité.

La Révélation, Le désintéressement & la foi, p.51

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La Révélation, Loi de la conscience (p.LIV)

Publié le par antoiniste

    Si Dieu avait établi des lois pour aller à Lui, elles seraient une entrave à notre libre arbitre ; fussent-elles relatives ou absolues, elles seraient obligatoires puisque nous ne pourrions nous en dispenser pour atteindre au but. Mais Dieu laisse à chacun, suivant sa nécessité, la faculté d'établir ses lois, c'est encore une preuve de son amour.

La Révélation, Loi de la conscience, p.LIV

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Couronnement de l'Œuvre Révélée, Un dernier mot de cette révélation (p.LXIII)

Publié le par antoiniste

    En conséquence pour bien se raisonner notre humanité et son origine, nous ne devons pas voir la personnalité d'Adam et d'Ève, mais l'individualité. En envisageant Adam comme être réel, la tradition fit entendre que Ève ne l'est pas et elle enseigne en effet que la femme a été formée d'une côte de l'homme. Elle a cru être dans la vérité, a voulu la raisonner en s'appuyant sur leur sexe, mais à l'état spirituel, les êtres n'en ont pas ; en les comprenant dans le genre masculin, bon nombre de personnes ont été induites en erreur. L'histoire d'Adam a été dénaturée, contrefait par ceux qui ont voulu se pénétrer de la réalité et qui l'ont imaginée telle qu'elle est dans les livres sacrés.
    C'est cette contrefaçon qui sert de base à l'éducation de l'humanité. Elle fait perdre à la femme tous ses droits matériels, la considérant comme n'étant pas réelle parce qu'elle est du sexe opposé à celui d'Adam. C'est ce qui nous fait dire que Adam est le moi conscient parce qu'il représente le côté réel, celui de Dieu, tandis que Ève représente l'erreur qui résulte de l'amour de bestialité.

Couronnement de l'Œuvre Révélée, Un dernier mot de cette révélation, p.LXIII

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Couronnement de l'Œuvre Révélée, Un dernier mot de cette révélation (p.LXIII)

Publié le par antoiniste

    En conséquence pour bien se raisonner notre humanité et son origine, nous ne devons pas voir la personnalité d'Adam et d'Ève, mais l'individualité. En envisageant Adam comme être réel, la tradition fit entendre que Ève ne l'est pas et elle enseigne en effet que la femme a été formée d'une côte de l'homme. Elle a cru être dans la vérité, a voulu la raisonner en s'appuyant sur leur sexe, mais à l'état spirituel, les êtres n'en ont pas ; en les comprenant dans le genre masculin, bon nombre de personnes ont été induites en erreur. L'histoire d'Adam a été dénaturée, contrefait par ceux qui ont voulu se pénétrer de la réalité et qui l'ont imaginée telle qu'elle est dans les livres sacrés.
    C'est cette contrefaçon qui sert de base à l'éducation de l'humanité. Elle fait perdre à la femme tous ses droits matériels, la considérant comme n'étant pas réelle parce qu'elle est du sexe opposé à celui d'Adam. C'est ce qui nous fait dire que Adam est le moi conscient parce qu'il représente le côté réel, celui de Dieu, tandis que Ève représente l'erreur qui résulte de l'amour de bestialité.

Couronnement de l'Œuvre Révélée, Un dernier mot de cette révélation, p.LXIII

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Couronnement de l'Œuvre Révélée, Nous n'acquérons la vérité que par notre erreur (p.LVII)

Publié le par antoiniste

Couronnement de l'OEuvre Révélée, Nous n'acquérons la vérité que par notre erreur (p.LVII)

    Les traditions sacrées donnent un aperçu de cette histoire. Dans le principe, il n'y est fait mention que d'Adam, Ève est secondaire, les écritures disent qu'elle est sortie d'une côté d'Adam, ce qui indique qu'elle résulte de la matière et non de la spiritualité.
    Cette révélation pourrait sembler obscure, nous faire croire qu'Ève n'est que illusion ; mais en disant qu'elle est apparente, nous ne parlons que du sexe, car Ève existe comme nous dans l'incarnation. [...] Nous ne sommes divisés que dans l'imperfection et au fur et à mesure que nous la surmontons, nous rentrerons insensiblement dans la même individualité, individualité consciente d'Adam devenue l'unité de l'ensemble. Dupes des apparences, nous croyons que le sexe existe, mais en nous acquérant progressivement l'amour, nous surmonterons cette fausse vue, puisqu'elle résulte seulement de la matière, toujours plus convaincus que chacun de nous fait partie de l'individualité d'Adam qui constitue l'humanité entière. Toutefois, nous pouvons y trouver des êtres plus inférieurs les uns que les autres, auxquels nous prêtons notre concours pour se développer ; mais rapportons-nous toujours à la révélation relative à l'Unité individuelle de l'ensemble.

Couronnement de l'Œuvre Révélée, Nous n'acquérons la vérité que par notre erreur, p.LVII

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La Révélation, Comment nous progressons (p.88-89)

Publié le par antoiniste

 

 

    Quand nous comprendrons Dieu, nous comprendrons sa justice, nous serons certains qu'Il ne peut faire le moindre privilège, que celui qui est arrivé au dernier échelon a dû commencer par le premier et monter successivement, que le meilleur a dû être mauvais. Delà, nous conclurons que tous les bons ont été méchants et que les méchants deviendront bons en vertu de la loi du progrès ; l'humanité arrivera insensiblement à être un jour purifiée, tous les êtres s'amélioreront.

La Révélation, Comment nous progressons, p.88-89

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La Révélation, L'importance de la pensée (p.22-23)

Publié le par antoiniste

    Si nous avons à cœur de nous améliorer, tâchons de nous prémunir par de bons actes contre les mauvaises pensées qui pourraient survenir.
    Mais cette prudence n'est pas la foi, elle ne garantit pas toujours ; en contact avec nos semblables, nous sommes parfois pris à l'improviste et nous voyons surgir les épreuves de partout. En supposant même que nous ayons la foi, sommes-nous bien préparés pour savoir à quel moment l'épreuve va éclater ? Il faut avoir une grande élévation, posséder déjà une partie de l'instinct du bien pour avoir toujours la bonne pensée, à même d'anéantir le fluide de la mauvaise. Pris au dépourvu, nous voulons quelques fois protester et nous aggravons tout, en voulant nous défendre. Qui se justifie, prétend avoir raison et sort de l'humilité.

La Révélation, L'importance de la pensée, p.22-23

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Les dix principes en néerlandais

Publié le par antoiniste

Les dix principes en néerlandais

Tien beginselen in proza
geopenbaard door
Antoine den Genezer

God spreekt:

Eerste beginsel: Zoo gij mij liefhebt zul gij dat aan niemand onderrichten, omdat gij weet, dat ik alleen woon in het hart van den mensch. Gij kunt niet getuigen, dat er bestaat een allerhoogste goedheid, wanneer gij mij van den naaste afscheidt.

Tweede beginsel: Geloof niet in hem, die u over mij spreekt met de bedoeling u te bekeeren, wanneer gij elke geloofsleer eerbiedigt, èn hem, die er geen heeft, weet gij, niettegenstaande uwe onwetendheid meer, dan hij u zou kunnen zeggen.

Derde beginsel: Gij kunt niemand zedelessen geven, het zou bewijzen, dat gij niet goed doet. Want de  zedeleer wordt niet onderwezen door het woord, maar door het voorbeeld en door in niets het kwaad te zien.

Vierde beginsel: Zeg nooit, dat weldadigheid doet aan hem, die u toeschijnt in ellende te verkeeren. Het zou te kennen geven, dat ik hem veronachtzaam, dat ik niet goed ben, dat ik ben een slecht vader, een gierigaard, die zijn kind laat honger lijden. Wanneer gij jegens uwen naaste als een ware broeder handelt, doet gij enkel weldadigheid aan uzèlf, dit moet gij weten. Daar niets goed is, oh het is ook voor allen, vervult gij tegenover hem niet meer dan uw plicht.

Vijfde beginsel: Tracht hèm lief te hebben, die gij zegt ,,uw vijand'' te zijn. Het is alleen om u uzèlf te leeren kennen, dat ik hem op uw weg plaats. Maar zie het kwaad eerder in uzèlf dan n hem, hij zal u het voorname geneesmiddel zijn.

Zesde beginsel: Wanneer gij de oorzaak wilt weten van uw lijden, dat gij altijd met reden ondergaat, zult gij die vinden in de onverdraagzaamheid van het verstand met het geweten, die de punten van verschil daar leed ondergaan, dat niet zij om u te doen verstaan, dat het verstand tegenover het geweten staat. Hiervan moet gij niet onwetend zijn.

Zevende beginsel: Tracht er u van te doordringen, want ook het kleinste verdriet is te wijten aan uw verstand, dat altijd meer wil bezitten. Het richt voor zichzelf een voetstuk van goedertierenheid op en wil dat alles aan zich onderworpen zij.

Achtste beginsel: Laat u niet door uw verstand overheerschen, dat slechts zoekt zich steeds hooger te verheffen. Het treedt het geweten met voeten, volhoudende, dat uit de stof de deugden voortkomen, terwijl die slechts ellende brengt aan de zielen, die gij ,,verlatenen'' noemt, die alleen geleefd hebben ter bevrediging van hun verstand, dat hen op een dwaalweg bracht.

Negende beginsel: Al wat u dienstig is voor het heden als ook voor de toekomst, zal u in overvloed gegeven worden, indien gij aan niets twijfelt. Bouw uzelf op, gij zult u het verleden herinneren, gij zult u te binnen brengen dat u gezegd is: ,,Klopt, ik zal u opendoen. Ik ben in het "ken uzelven"''.

Tiende beginsel: Denk niet altijd, dat gij een weldaad doet als gij een broeder hulp betoont, het zou kunnen zijn, dat gij het tegendeel doet, en zijn vooruitgang tegenhoudt. Weet, dat een groote beproeving uw loon zal zijn als gij hem vernedert, en hem eerbied wilt inboezemen. Steun nooit op uwe geloofsovertuiging, wanneer gij wilt handelen, want zij kan u op een dwaalspoor brengen, maar luister altijd naar uw geweten dat u wil leiden; dat kan u niet bedriegen.

Antoinistische leer, Openbaring door Antoine den Weldoener, vertaald door Cato Waller geb. van Marken.

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Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi (p.XXXXII)

Publié le par antoiniste


 
Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi (p.XXXXII)

    La croyance a été imaginée par l'intelligence qui a toujours cru que Dieu existe en dehors de nous. Elle ne peut être naturelle car elle suscite la crainte et nous faire agir toujours contrairement, avec la pensée que Dieu nous voit, qu'Il nous observe, qu'Il nous punit et nous donne des récompenses ; c'est ainsi que nous faisons le mal croyant faire le bien.
     C'est la croyance en Dieu qui nous divise parce que nous n'avons pas tous de Lui la même conception ; voilà pourquoi nous voyons le mal en autrui, ignorant que c'est en pensant qu'un autre peut nous contrarier que nous nous contrarions nous-mêmes.
[...]
    Je le répète, la croyance en Dieu telle qu'on l'envisage résulte de l'intelligence, elle nous fait prier en égoïstes, toujours par la crainte et non par l'amour, nous montrant tout autour de nous le mal qui suscite notre haine. Elle est contraire à la foi qui est le fruit de l'expérience acquise par la pratique de la loi d'amour et de charité.
[...]
    Si des personnes ont une autre croyance que la nôtre et si d'autres n'en ont pas, c'est que Dieu le veut ainsi ; car s'il n'y avait qu'une seule religion dans la vérité, toutes les autres seraient nécessairement dans l'erreur, leurs adeptes travailleraient contrairement à la vraie religion et Dieu en serait le seul coupable, puisque c'est Lui qui nous fait naître dans telle ou telle religion. Dieu serait loin d'être juste, faisant des privilèges, il serait partial. Disons donc qu'il n'en est pas ainsi, si les familles accomplissent différemment leur devoir religieux, ce n'est pas qu'une religion soit meilleure que l'autre, puisque toutes n'ont qu'une seule et même base, la foi. Elles diffèrent uniquement par la forme, le côté extérieur.

Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi, p.XXXXII

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Couronnement de l'Œuvre Révélée, Nous n'acquérons la vérité que par notre erreur (p.LIV)

Publié le par antoiniste

    Nous devons considérer l'intelligence de la même façon [lui rendre hommage et bénir sa défaillance] et autant la revendiquer que j'ai paru l'incriminer dans mes révélations. Je crois que nous n'avons pas encore bien saisi son rôle. Il est vrai qu'elle est le siège de notre imperfection et incompatible avec la foi ; cependant elle a aussi son utilité, sa raison d'être.
[...]
    Adam et Ève, avons-nous dit, ont créé le sexe; c'est d'eux que résultent les termes de comparaison. Adam est le moi conscient, Ève le moi apparent ressortant de l'imagination d'Adam qui le fait douter pour croire à un serpent, prenant de cette façon le bon pour le mauvais et le mauvais pour le bon. Adam établit ainsi la comparaison en Dieu, parce que nous ne concevons les choses qu'à travers la matière et nous voulons nous frayer un chemin qui conduise à Dieu de la même façon, par nos sens matériels. Ces deux termes ne sont qu'apparents, ils sont le reflet des deux individualités qui sont en nous, opposés l'un à l'autre, l'erreur à la vérité. Ce ne sont pas les choses semblant différer l'une de l'autre qui donnent lieu à des termes de comparaison, c'est notre individualité apparente, le moi intelligent, qui nous les montre telles parce qu'il est opposé au moi conscient.

Couronnement de l'Œuvre Révélée, Nous n'acquérons la vérité que par notre erreur, p.LIV

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