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vital coutin

Messie du XIXe siècle, déclaration de M.H.[ollange?] (L'Enseignement, p.84 ,1905)

Publié le par antoiniste

Messie du XIXe siècle, déclaration de M.H.[ollange?] (L'Enseignement, p.84 ,1905)

L'Enseignement, p.84 ,1905

    Déclaration de M.H.

    Peut-être s'agit-il du frère Hollange. Précisons qu'au contraire de son neveu, le Père Dor, le Père Antoine ne s'est jamais revendiqué lui-même être un "messie". Jules Leclerc, qui fut déclaré instable, l'aurait appelé dans sa déclaration au juge de son procès "Notre Messie".
    Mère fut inspirée en 1935, de placer dans les temples, sur la tribune, une pancarte : "Le Père est le Christ des Antoinistes, il est le deuxième messie". Puis il fut retiré. C'est ainsi que le nomme Vital Coutin dans son livre. C'est également la presse qui emploie souvent ce terme (Gazette de Charleroi, La Croix, Le Monde illustré, Le Temps...).

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Louis Pastorelli à Nice, rue Von-Derwies 2 (Annuaire de Nice 1931)

Publié le par antoiniste

Louis Pastorelli à Nice, rue Von-Derwies 2 (Annuaire de Nice 1931)

Louis Pastorelli à droite (avec frère Jean et soeur Joséphine Benedetto, desservant du temple de Nice)

    Dans la rue Von Derwiès (ancienne rue Valrose), au numéro 2, on connaît la présence d'une salle de lecture par le Journal officiel de la République française. Lois et décrets (4 février 1931).
    L'annuaire de l'année 1931 de la ville de Nice indique à ce numéro les noms notamment d'un Louis Pastorelli (avec le boucher Antoine Pin et le charcutier Dunghis), mais aussi un Coutin Vidal. 
   On peut se demander s'il ne s'agit pas là de notre Vital Coutin, desservant du temple de Saint Etienne (construit en 1935) et auteur de Le Maître de la Grande Pyamide (1937).

Louis Pastorelli à Nice, rue Von-Derwies 2 (Annuaire de Nice 1931)

    Dans le recensement de la ville de Nice, à la rue Derwies en 1931, on retrouve Louis Pastorelli (né en 1866, sans profession) avec son épouse Cornélie. Ils se sont mariés le 10 octobre 1894 à Nice. C'est là qu'on apprend qu'il était d'origine italienne, bien que né au Cannet. Ses parents (Anastasio/Anastase et Francisca/Françoise Sassi) sont des pasteurs de Briga Maritima (Province de Coni, mais commune rattachée à la France en septembre 1947, à la suite du traité de Paris). Un frère Gioanni/Jean né en 1857 et une soeur Marianna/Marianne née en 1860 à Nice.
    Louis Pastorelli était alors en 1894 négiciant en vins à Nice. Il est légalement domicilié à Briga Maritima. Il se fait naturaliser Français le 6 mai 1911.
    Dans le magazine Détective de 1952, on le voit en photo avec les époux Benedetto et le présente comme un ancien boucher.
    Sur son acte de naissance on indique sa date de décès, en 1954.
    Son épouse Cornélie Modeste né Calviera, veuve d'un premier mariage (1886) d'avec Pierre Ghiran, est née à Levens (Alpes Maritimes) en 1867 et habite à Nice. Celle-ci décède à Nice en 1948.
    Le temple de Nice ouvre en 1931 et est tenu par le frère Jean et la soeur Joséphine Benedetto.

Louis Pastorelli à Nice, rue Von-Derwies 2 (Annuaire de Nice 1931)

    Il ne faut pas confondre ce Louis Pastorelli avec Baptistin Pastorelli de Paris. Cependant il est possible que Louis soit un oncle de Bastistin. Impossible de le vérifier, le nom de Pastorelli étant très répandu dans la commune de Briga et dans la région de Nice en général. Cependant Baptistin habitait, au moment de son mariage en 1920, rue Caroline à Nice, une rue parallèle à la rue Derwies.

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Initiales des noms du public du temple.

Publié le par antoiniste

J. A. (Unitif 1911-1912, p.181-183)

B. (p.152, p.156, p.XXIX)

H. B. (Unitif n°2, p.7-16, Unitif 1911-1912, p.34-50) = Henri Bodin

M. B. (Unitif n°11, p.10-12, Unitif 1911-1912, p.153-155)

C. (p.165)

D. (p.1-3, p.57, p.68) = Ferdinand Delcroix (Unitif n°1, p.13-16, Unitif 1911-1912, p.13-18) ou Florian Deregnaucourt (Unitif n°1, p.6-8, Unitif 1911-1912, p.149) ou Pierre Dor ou Paul Delaunay ?

Desart (Unitif n°1, p.6-8 & p.11-13)

E. (p.73, p.135)

U. E. (Unitif n°11, p.2-4, Unitif 1911-1912, p.140-143)

F. (p.26, Développement, p.133-134, Unitif n°8, p.5-6) = Léon Foccroule ?

J. F. (Unitif 1911-1912, p.171-173) = Juliette Fréson d'après Debouxhtay (p.293)

J. G. (Démonstrations n°3, p.7) = Joséphine Guillaume, l'américaine ?

H. (p.4, Démonstrations n°3, p.44) = Henri Hollange ou un des Hoven

J. H. (Unitif n°3, p.14-16, Unitif 1911-1912, p.73-75, Unitif 1911-1912, p.174-177) = Groupe de Momalle = Joseph Hoven ?

M. H. (Unitif 1911-1912, p.178-180) = Mathieu Hoven ?

E. J. (Unitif n°9, p.11-15, Unitif 1911-1912, p.122-127)

L. (p.49, p.72, Développement p.64-66, Développement, p.177-181, Unitif n°6, p.2, (Unitif n°9, p.7-9) = Joseph Lejaxhe ?

R. L. (Unitif n°3, p.6-7, Unitif 1911-1912, p.58-60)

Léona (Unitif n°4, p.12-16, Unitif n°7, p.10-11, Unitif n°10, p.8-11, Unitif 1911-1912, p.80-85, Unitif 1911-1912, p.112-113, Unitif 1911-1912, p.128-132)

Louis (Unitif n°10, p.14-16, Unitif 1911-1912, p.137-139)

M. (p.28, p.77, p.119, Développement, p.95-97, Unitif n°6, p.15) = Léopold Monet ?, Julien Musin ?

A. M. (Démonstrations n°1, p.26-27)

M. M. (Unitif 1911-1912, p.113)

S. M. (Unitif n°11, p.6-8, Unitif 1911-1912, p.147-149)

Eliet Marchand (Unitif 1911-1912, p.55-57) = à Dinant

N. (Unitif n°8, p.14-16, Unitif 1911-1912, p.118-121) = Joseph ou Narcisse Nihoul

J. N. (Unitif n°11, p.8-10, Unitif 1911-1912, p.150-152, Unitif 1911-1912, p.168-170) = Joseph Nihoul

Noël (Unitif 1911-1912, p.51-54)

P. (p.90, p.133, p.149, Développement, p.147-148, Unitif n°8, p.10)

Ch. P. (Démonstrations n°1, p.9, Démonstrations n°2, p.38-39)

Baptiste Pastorelli (Unitif 1911-1912, p.18, Unitif 1911-1912, p.149)

R. (p.127)

L. R. (Unitif 1911-1912, p.7-9)

S. (p.36 & p.89) / J. S. (Unitif n°3, p.16) / J. Soyeur (Unitif 1911-1912, p.12) = J. Soyeur de Seraing

T. (p.21) = François Tinlot, l'architecte ?

J. T. (Unitif n°11, p.12-14, Unitif 1911-1912, p.156-159)

J. V. (Unitif n°11, p.4-6, Unitif 1911-1912, p.144-146)

Juliette Vittart (Unitif n°5, p.6-16, Unitif 1911-1912, p.86-100)

Vital (Unitif n°7, p.11-14, Unitif 1911-1912, p.114-117) = Vital Coutin

A. W. (Démonstrations n°2, p.5-9, p.14-17, p.24-26, p.29-35)


Et encore :
un adepte, l'adepte, un adepte du Père Antoine, un adepte encore novice,
un(e) antoiniste,
une soeur, un frère
un chrétien (Développement, p.190-192)
un visiteur,
un matérialiste (Unitif n°7, p.6-10, Unitif 1911-1912, p.106-111)...

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Vital Coutin - Le Maître de la Grande Pyramide (1937)

Publié le par antoiniste

Titre :     Le Maître de la Grande Pyramide annoncé par le langage des pierres. 153 clé de l'énigme ; démonstration scientifique et morale des deux passages du Sauveur de la Race Humaine
Auteur :    Vital Coutin
Editions :    Paul Leymarie (Directeur de la Revue Spirite et occultiste éminent), Paris, 1937

    Ce fascicule est écrit en se basant sur le livre de Georges Barbarin (1882-1965), Le Secret de la Grande Pyramide (1936, le plus grand tirage de l'auteur avec L'Enigme du Grand Sphinx)(signalons que le même auteur a écrit un livre sur la Guérison par la foi en 1955, dans lequel il évoque la Christian Science mais pas l'Antoinisme).
Voici comment Georges Barbarin présente son ouvrage :
    « On a d'abord cru que la Grande Pyramide [dite de Koufou] n'abritait qu'une chambre funéraire.
    « Puis on a découvert qu'elle contenait, sous forme de mesures précises, la solution de certains des plus grands problèmes astronomiques, géométriques et géodésiques de tous les temps.
    « Enfin on s'aperçut qu'un lien étroit existait entre les mesures intérieures et les mesures extérieures de l'édifice et que le système de couloirs renfermait une chronologie géométrique des dates les plus importantes de l'histoire de l'humanité.
    « On verra dans ce livre que la Grande Pyramide non seulement représente la science d'une grande civilisation pré-biblique depuis longtemps disparue, mais encore porte en elle la marque d'un savoir surhumain. »
    Et ce savoir surhumain livre une partie de son secret grâce aux analyses de l'auteur. En particulier, Georges Barbarin nous montre comment a pu être érigée cette construction colossale qui défiait les techniques humaines de l'époque, et comment ses prophéties inscrites dans la pierre nous concernent encore aujourd'hui.
Source : J'ai Lu [http://www.bibliopoche.com/livre/Le-secret-de-la-grande-Pyramide/11118.html]
cf. également [http://www.georgesbarbarin.com/GB10%20LE%20SECRET%20DE%20LA%20GRANDE%20PYRAMIDE.htm]

    S'appuyant sur les Allégories égyptiennes et évangéliques, l'auteur prouve, car "tout y est voulu et ordonné depuis 5.000 ans et que les événements se déroulent avec précision", que le Maître de la Grande Pyramide, l'Esprit de Vérité, le Sauveur, le Prophète pour notre époque est le Père. La Pyramide signale qu'il devra être né en Europe, et donne les chiffres suivants :
1er passage (le Christ)        2e passage (le Père)
    3996              Naissance            1844
      27        Vie prophétique            1888
                           et                    1909   
      30               Décès                 1912

    Le Père est né en 1846, car en fait 1844 est le début de l'ère durant laquelle le Retour du Sauveur est annoncé. Cette ère se termine en 1909, année où devra commencer le Second Enseignement du Sauveur, le Christ et le Père étant le même.
    Le nombre 153 se retrouve dans l'Evangile de Jean ainsi que comme référent dans la Pyramide.
    L'année 1936 est le retour à la Vraie Lumière : puisque le 44e temple antoiniste fut consacré en 1935, et qu'en 1936 le desservant du temple, l'auteur du livre, proclame la découverte du Maître de la Grande Pyramide. Il a alors 63 ans.
    Les prédictions de la Pyramide s'arrête pour l'année 1953.
    Une version plus complète de 1940, intitulée Le Sauveur de la race humaine, Annoncé par la grande pyramide, les textes égyptiens et les Évangiles avec preuves à l'appui a été distribuée à certains desservants.
    Ce livre annonce le retour du Père, étant le deuxième messie pour l'année 1945, mêlant dans ces calculs divers livres saints, ainsi que des dates de la vie de Louis Antoine et de la propre vie de l'auteur (l'année de sa conversion à l'antoinisme, celle de son acquittement par le tribunal de Chambéry, celle de la publication de son livre, le chiffre 44, puisque le temple de Saint-Etienne était le 44e temple antoiniste).

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Vital Coutin, desservant du temple de Saint-Etienne en 1937 - La Grande Pyramide

Publié le par antoiniste

    On apprend qu'en 1916, à 42 ans (il est donc né vers 1874), Vital Coutin se met au service de l'oeuvre du Père (p.53 du Maître de la Grande Pyramide).

    Un certain Vital Coutin demande un permis de construire une maison individuelle en 1925, dans le Chemin du Biolley, à Aix-les-Bains. Il semble bien que cela soit le même que nous connaissons, puisqu'il évoque dans son livre son acquittement par le tribunal de Chambéry.
    Le temple antoiniste sera construit dans cette ville l'année précédente. Le Chemin du Biollay à Aix est devenu la Rue Isaline. Le temple se trouvait alors dans la rue Isaline, puis chaque portion de la rue fut nommé différemment. Le temple se trouva alors dans la rue des Antoinistes. La rue se nomme maintenant le Chemin Saint-Exupéry.
source : http://www.patrimoine-aixlesbains.fr/?page=fiches&p=IA73001509
    Dans son livre Le Sauveur de la race humaine, Annoncé par la grande pyramide, les textes égyptiens et les Évangiles avec preuves à l'appui, il donne l'année de son acquittement par le tribunal de Chambéry. Il était donc bien dans la région à l'époque.

    En 1937, il est le desservant du temple de Saint-Etienne et écrit un écrit mystique à partir du Secret de la Grande Pyramide de Georges Barbarin écrit 1936 : Le maître de grande pyramide annoncé par le langage des pierres. Cent-cinquante trois clés de l'énigme, démonstration scientifique et morale des deux passages du sauveur de la race humaine (Éditeur : Paul Leymarie).
    Une version plus complète de 1940, intitulée Le Sauveur de la race humaine, Annoncé par la grande pyramide, les textes égyptiens et les Évangiles avec preuves à l'appui a été distribuée à certains desservants.
    Ce livre annonce le retour du Père, étant le deuxième messie pour l'année 1945, mêlant dans ces calculs divers livres saints, ainsi que des dates de la vie de Louis Antoine et de la propre vie de l'auteur (l'année de sa conversion à l'antoinisme, celle de son acquittement par le tribunal de Chambéry, celle de la publication de son livre, le chiffre 44, puisque le temple de Saint-Etienne était le 44e temple antoiniste).

    Ces deux écrits sont succinctement décrits par Régis Dericquebourg, dans Les Antoinistes, au chapitre Vers un retour du Père ? (p.52-56) montrant l'importance que cette idée a pu avoir sur une partie des adeptes.

    Signalons encore qu'un certain Vital est l'auteur de Connaître ce n'est pas savoir, dans l'Unitif n°7, p.11-14. Il s'y décrit comme aimant les lettres et ayant étudié les différents philosophies et morales avant de rencontrer le Père.

Dans les archives de Tours, un document reprend la liste des desservants des temples en 1945. On y retrouve un Frère Coutin.

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Vital Coutin, desservant du temple en 1937

Publié le par antoiniste

    Le desservant du temple de Saint-Etienne en 1937, Vital Coutin, est l'auteur d'un écrit mystique à partir de la Révélation : Le maître de grande pyramide annoncé par le langage des pierres. Cent-cinquante trois clés de l'énigme, démonstration scientifique et morale des deux passages du sauveur de la race humaine (Éditeur : Paul Leymarie).
    Une version plus complète de 1940, intitulée Le Sauveur de la race humaine, Annoncé par la grande pyramide, les textes égyptiens et les Évangiles avec preuves à l'appui a été distribuée à certains desservants.
    Ce livre annonce le retour du Père, étant le deuxième messie pour l'année 1945, mêlant dans ces calculs divers livres saints, ainsi que des dates de la vie de Louis Antoine et de la propre vie de l'auteur (l'année de sa conversion à l'antoinisme, celle de son acquittement par le tribunal de Chambéry, celle de la publication de son livre, le chiffre 44, puisque le temple de Saint-Etienne était le 44e temple antoiniste).

    Ces deux écrits sont succinctement décrits par Régis Dericquebourg, dans Les Antoinistes, au chapitre Vers un retour du Père ? (p.52-56) montrant l'importance que cette idée a pu avoir sur une partie des adeptes.

    Signalons encore qu'un certain Vital est l'auteur de Connaître ce n'est pas savoir, dans l'Unitif n°7, p.11-14. Il s'y décrit comme aimant les lettres et ayant étudié les différents philosophies et morales avant de rencontrer le Père.

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