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Enseignement par Antoine le Guérisseur (1905)

Publié le par antoiniste

Enseignement par Antoine le Guérisseur (1905)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Page de la Préface

 

 

Enseignement par Antoine le Guérisseur de Jemeppe-sur-Meuse

Imprimerie Joseph Masillon, Jemeppe, 1905

    Louis Antoine en brûlera les exemplaires restants, car cette publication ne correspondait plus à son œuvre de révélation. C'est pourquoi un nouveau travail commence à partir de 1907 avec la Revue mensuelle de l'enseignement. Seule ce qui deviendra l'Auréole de la Conscience est conservée en partie, puisqu'elle sera inscrite sur le mur du fond du Temple d'Antoine le Guérisseur.
    Louis Antoine y est appelé Frère ou Maître, un membre de l'assemblé lui donne le titre de Messie du XIXe siècle.

    Il se termine par la mention de Mme Decoeur.

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Initiales des noms du public du temple.

Publié le par antoiniste

J. A. (Unitif 1911-1912, p.181-183)

B. (p.152, p.156, p.XXIX)

H. B. (Unitif n°2, p.7-16, Unitif 1911-1912, p.34-50) = Henri Bodin

M. B. (Unitif n°11, p.10-12, Unitif 1911-1912, p.153-155)

C. (p.165)

D. (p.1-3, p.57, p.68) = Ferdinand Delcroix (Unitif n°1, p.13-16, Unitif 1911-1912, p.13-18) ou Florian Deregnaucourt (Unitif n°1, p.6-8, Unitif 1911-1912, p.149) ou Pierre Dor ou Paul Delaunay ?

Desart (Unitif n°1, p.6-8 & p.11-13)

E. (p.73, p.135)

U. E. (Unitif n°11, p.2-4, Unitif 1911-1912, p.140-143)

F. (p.26, Développement, p.133-134, Unitif n°8, p.5-6) = Léon Foccroule ?

J. F. (Unitif 1911-1912, p.171-173) = Juliette Fréson d'après Debouxhtay (p.293)

J. G. (Démonstrations n°3, p.7) = Joséphine Guillaume, l'américaine ?

H. (p.4, Démonstrations n°3, p.44) = Henri Hollange ou un des Hoven

J. H. (Unitif n°3, p.14-16, Unitif 1911-1912, p.73-75, Unitif 1911-1912, p.174-177) = Groupe de Momalle = Joseph Hoven ?

M. H. (Unitif 1911-1912, p.178-180) = Mathieu Hoven ?

E. J. (Unitif n°9, p.11-15, Unitif 1911-1912, p.122-127)

L. (p.49, p.72, Développement p.64-66, Développement, p.177-181, Unitif n°6, p.2, (Unitif n°9, p.7-9) = Joseph Lejaxhe ?

R. L. (Unitif n°3, p.6-7, Unitif 1911-1912, p.58-60)

Léona (Unitif n°4, p.12-16, Unitif n°7, p.10-11, Unitif n°10, p.8-11, Unitif 1911-1912, p.80-85, Unitif 1911-1912, p.112-113, Unitif 1911-1912, p.128-132)

Louis (Unitif n°10, p.14-16, Unitif 1911-1912, p.137-139)

M. (p.28, p.77, p.119, Développement, p.95-97, Unitif n°6, p.15) = Léopold Monet ?, Julien Musin ?

A. M. (Démonstrations n°1, p.26-27)

M. M. (Unitif 1911-1912, p.113)

S. M. (Unitif n°11, p.6-8, Unitif 1911-1912, p.147-149)

Eliet Marchand (Unitif 1911-1912, p.55-57) = à Dinant

N. (Unitif n°8, p.14-16, Unitif 1911-1912, p.118-121) = Joseph ou Narcisse Nihoul

J. N. (Unitif n°11, p.8-10, Unitif 1911-1912, p.150-152, Unitif 1911-1912, p.168-170) = Joseph Nihoul

Noël (Unitif 1911-1912, p.51-54)

P. (p.90, p.133, p.149, Développement, p.147-148, Unitif n°8, p.10)

Ch. P. (Démonstrations n°1, p.9, Démonstrations n°2, p.38-39)

Baptiste Pastorelli (Unitif 1911-1912, p.18, Unitif 1911-1912, p.149)

R. (p.127)

L. R. (Unitif 1911-1912, p.7-9)

S. (p.36 & p.89) / J. S. (Unitif n°3, p.16) / J. Soyeur (Unitif 1911-1912, p.12) = J. Soyeur de Seraing

T. (p.21) = François Tinlot, l'architecte ?

J. T. (Unitif n°11, p.12-14, Unitif 1911-1912, p.156-159)

J. V. (Unitif n°11, p.4-6, Unitif 1911-1912, p.144-146)

Juliette Vittart (Unitif n°5, p.6-16, Unitif 1911-1912, p.86-100)

Vital (Unitif n°7, p.11-14, Unitif 1911-1912, p.114-117) = Vital Coutin

A. W. (Démonstrations n°2, p.5-9, p.14-17, p.24-26, p.29-35)


Et encore :
un adepte, l'adepte, un adepte du Père Antoine, un adepte encore novice,
un(e) antoiniste,
une soeur, un frère
un chrétien (Développement, p.190-192)
un visiteur,
un matérialiste (Unitif n°7, p.6-10, Unitif 1911-1912, p.106-111)...

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frère Léopold-Joseph Monet, à Jemeppe dès 1900

Publié le par antoiniste

    Il ne semble être évoqué qu'une fois par Robert Vivier (p.309) :
    Après la réception des malades, dans l'après-midi, Mme Desart arrivait avec ce qu'elle avait préparé, et M. Delcroix lui aussi était là. Ensemble, on lisait. [...]
    On frappait. Le frère Léopold Monet passait sa tête :
    - C'est quelqu'un pour l'Opération. Faut-il dire qu'on attende ?
    C'était en dehors des heures, et le Maître était occupé à l'enseignement... N'importe : il se levait.
    - C'est lui qui nous apporte le fluide dont nous avons besoin.
    A peine était-il de retour auprès de ses secrétaires, que le frère Monet frappait encore :
    - Quelqu'un pour vous, un malade...
    Tout le temps se passait de la sorte. Antoine réconfortait les deux adeptes :
    - Ce n'est pas du temps perdu. Nous ferons d'autant mieux demain.
    Ainsi en dépit des retards et des obstacles, jour après jour, s'accumulait l'enseignement qu'Antoine avait promis à ses fidèles Vignerons.

    A cette époque, les consultations avaient lieu uniquement le matin, de 7 heures à midi, comme il était précisé dans le Règlement de la société spirite Les Vignerons du Seigneur (datant de 1900). Le 25 décembre 1900, le nouveau local des Vignerons du Seigneur est inauguré devant un public de 200 personnes. Le local est situé dans l'immeuble que vient d'acheter Louis Antoine, au coin des rues des Tomballes et du Bois-du-Mont (actuellement rue Rousseau). Dès lors, Louis Antoine cesse de travailler pour se consacrer exclusivement à la propagande spiritualiste ainsi qu'à sa mission de guérisseur.
Historique du Culte Antoiniste, p.13

 

    Un Léopold Joseph MONET, né le 26 juin 1872 à Flémalle-Grande, de Jean MONET 1830-1888 et Marie Catherine Dequinze 1831-?
source : https://gw.geneanet.org/dryedani?n=monet&oc=&p=leopold+joseph


    Encore en 1934, il est membre du Conseil d'administration. Il a alors 61 ans (il est donc né en 1872-1873), et est tourneur. Il habite au 18, rue Alfred Smeets, à Jemeppe. Donc, l'actuelle rue Rousseau. Le temple occupe le numéro 2. On pense donc que cet adepte habitait dans une des maisons construites par Louis Antoine à son retour de Praga.

    Sa soeur, Josèphe (Joséphine) MONET (6 janvier 1875 à Flémalle Grande - décédée avant 1947) s'est mariée avec Pierre Dor le 24 décembre 1896, Mons-les-Liège). Ils ont tenu le café de la rue de Tomballes. Leur fils, Louis Léon, est né rue des Tombales 1 au café à côté du temple antoiniste.
source : https://gw.geneanet.org/dryedani?lang=fr&pz=henri+jose+pierre&nz=paulissen&p=josephe+josephine&n=monet

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Marie Desart, sténographe de l'Enseignement et François Desart

Publié le par antoiniste

 

---------->  Photos fournies par Thierry Renard, arrière-petit-fils de la sténographe : en haut, avec son mari François ; en bas, dans le temple de Jemeppe, en train de sténographier.  Merci à Thierry Renard.

 

 

Commentaire sur mon site le 23-05-2009
Marie Desart  De  Thierry Renard  Sujet:  Marie Desart
Bonjour, Je suis l'arrière petit-fils de Marie Desart, sténographe de l'Enseignement du Père Antoine. Je serais désireux d'obtenir de plus amples informations à son sujet...

---------->

Elle est née en 1864 et meurt le  10 novembre 1934. Elle est élève institutrice dès 1880. Elle habite Vinâve d'Île à Liège (face à l'entrée du Passage Lemonnier, proche de la Cathédrale Saint-Paul).

Marie Desart, sténographe de l'Enseignement et François Desart

Marie Schouleur, élève-institutrice
(La Meuse, 26 juillet 1880)(belgicapress.be)


Je fais suivre ci-dessous les extraits de livre concernant Marie Desart, en souhaitant que cela puisse vous être utiles (retrouvez les livres dans la section bibliographie de mon site) :

Robert Vivier, p.282 :
   "L'un après l'autre, les Vignerons [du Seigneur] entraient. Mme Elskens d'abord, puis Gony, accompagné de son ami Célestin Macot. Ensuite Martin Jeanfils, Nihoul, Hérion, Stalmans, Hollange, d'autres encore. Mme Desart arriva la dernière. Elle n'était pas grande, mais elle avait un port de tête impérieux, et ses gestes étaient empreints d'une sorte d'emphase. Mme Desart était un très bon médium. Avec elle, on ne risquait jamais de rester sans communications. Le problème de l'au-delà l'avait de tout temps intéressée, et les séances de M. Antoine lui donnaient de grandes satisfactions, bien que ce fût une rude tâche, à ce qu'elle disait, que celle du "Connais-toi"."

Robert Vivier, p.295
[le début du chapitre XII évoque une séance durant laquelle Marie Desart, pris par un esprit mis en garde Louis Antoine]


Elle participa déjà certainement à l'écriture de l'Enseignement de 1905 (dont les exemplaires ont été brûlés par Louis Antoine), car le frère Delcroix y participa également et précisa que cette première mouture était l’œuvre des Louis Antoine et plusieurs adeptes.

Historique du Culte antoiniste, p.23
    "De 1906 à 1909, chaque dimanche de 10 h à 12 h, le Maître expose sa Révélation et répond aux questions des assistants. Ses paroles sont retranscrites simultanément par Madame Desart, sténographe de l'Enseignement".

Robert Vivier, p.304
    "Le Maître commença par dire que grâce au dévouement des adeptes il avait pu atteindre un fluide plus pur, et que, si le groupe acceptait cette nouvelle inspiration, il en résulterait un grand bien pour toute l'humanité.
    "A une table en dessous de la tribune, Mme Desart était assise et prenait des notes en se servant de la sténographie."

Pierre Debouxhtay, p.253
    "Lorsqu'en 1906 Antoine se mit à révéler le nouveau spiritualisme, des adeptes jugèrent indispensables de recueillir ses paroles afin de les annoncer "aux malheureux qui ont faim et soif de lumière divine" [l'Unitif, I, I, p.12]. Une adepte, Madame Desart, institutrice, fut chargée de sténographier cet enseignement qui, publiée dans l'Auréole de la Conscience, fut accueilli avec enthousiasme."

[une photo, reproduite dans Robert Vivier, Editions Labor, représente cette scène]
[Peut-être est-elle aussi sur la photo précédente, parmi les membres de la société spirites des "Vignerons du Seigneur"]
Marie Desart, sténographe de l'Enseignement
cf. l'article Écriture de l'Enseignement de mon site.

Régis Dericquebourg, p.145 :
    Elle fit partie du Conseil général du culte de 1911 formé par Louis Antoine, chargé de gérer les affaires matérielles du mouvement.

Pierre Debouxhtay, p.196 :
    Lors de la désincarnation du Père, une adepte raconte ses derniers moments et précise : "Tous nous comprîmes que le moment suprême de la séparation matérielle était arrivé, nous retenions notre souffle, nous écoutions avec une piété profonde les dernières paroles du Père qu'une sœur recueillait, si émue que ses mains tremblaient. Comment a-t-elle pu écrire ? Sur un chiffon de papier avec un crayon prêté, pliée, sa tête près de celle du sublime vieillard, elle écrivait sur le genou..."
Est-ce que c'est là Marie Desart, je n'en sais rien.

Marie Desart, sténographe de l'Enseignement et François Desart

Marie Schouleur, décès
(La Meuse, 12 novembre 1934)(belgicapress.be)



Pierre Debouxhtay, pp.310-315 :
    En 1922, dans le Moniteur belge, dans les statuts du culte antoiniste comme établissement d'utilité publique, on apprend que Mme Marie Schouleur, sans profession, épouse de M. Dessart [sic, il faut lire Desart], demeurant à Jemeppe-sur-Meuse, de nationalité belge, fait toujours partie du Conseil.
En 1934, ce qui doit être son mari (erreur de la graphie dans les noms de famille, bien que la domiciliation soit différente : était-elle près de Mère pendant que son mari était adepte du temple de Seraing, c'est là des suppositions) est secrétaire du Conseil d'administration :
Desart, François, 69 ans, sans profession, rue des Sables, 120, à Seraing-sur-Meuse

    François Desart est né en 1865 et meurt en début octobre 1939.

Marie Desart, sténographe de l'Enseignement et François Desart

François Desart, décès
(La Meuse, 3 octobre 1939)(belgicapress.be)



Et bien sûr, pour avoir un aperçu de sa personnalité, vous pouvez vous reporter à la biographie du Père Antoine au début de la Révélation (qu'elle a écrit avec le frère Deregnaucourt, que vous trouvez également dans le fascicule gratuit dans les Temples Que savez-vous du culte antoiniste ?, et sur le site www.antoinisme.com) et surtout son récit de sa contribution en tant que sténographe de l'Enseignement à la fin de la Révélation.

Peut-être d'autres lignes de sa main sont présentes dans les Unitifs, mais je n'en suis pas sûr.

Marie Desart, sténographe de l'Enseignement

Collaboratrice directe du Père - Soeur Desart, sténographe de l'Enseignement, désincarnée le 9 novembre 1934 (archives Temple de Retinne)

Collaboratrice directe du Père - Soeur Desart, sténographe de l'Enseignement, désincarnée le 9 novembre 1934 (Archives Temple de Retinne)

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Robert Vivier - Délivrez-nous du mal - Les adeptes

Publié le par antoiniste

    Dans la salle au premier rang du public, s'étaient placés les adeptes : Debroux, Foccroule, Deregnaucourt, Hollange, Nihoul, et M. Delcroix, le professeur, avec son col blanc et sa jaquette noire, - tous les fidèles Vignerons (Pierre Dor manquait, - il avait abandonné Antoine pour suivre son propore chemin). Parmi eux étaient les femmes ; Mme Antoine, toute menue, toute grise, Mme Guillaume, Mmes Nihoul, Desart, Deregnaucourt, la femme Jeanfils. On se montrait une dame qui était venue d'Amérique, - une dame fort riche et bien habillée -, et qu'Antoine avait guérie. Derrière, jusqu'au fond, se serrait la foule, foncée de vêtements, avec les taches claires des chemises (on étouffait de chaud malgré les fenêtres ouvertes), et sur le fond sombre, de haut en bas, en longues lignes, en longs chapelets pâles, des visages et des visages.

        Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
        Ed. Labor - Espace Nord, p.266

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