Temple Antoiniste (mtn Gallery) de Forest (FB Jean-Pierre Lienard)
Temple Antoiniste (mtn Gallery) de Forest
(source FaceBook Jean-Pierre Lienard)
Temple Antoiniste (mtn Gallery) de Forest
(source FaceBook Jean-Pierre Lienard)
LYON. — Les groupes de cette grande ville s'emploient avec persévérance à la propagande de notre belle philosophie. Le but de l'Orphelinat Allan Kardec est des plus utiles, tant au point de vue philanthropique et social, qu'au point de vue de l'éducation spirite. Il reçoit en effet des petites filles abandonnées, les élève, leur donne l'instruction, une profession, et remplace leurs parents jusqu'à leur majorité. L'œuvre attache le plus grand intérêt à former des mères avant tout spirites, capables de servir dignement la société. Parmi les pupilles de l'œuvre, quelques-unes lui ont été confiées à leur naissance. Cet établissement constitue une véritable famille où la santé physique et morale rayonne de toutes parts.
Depuis l'ouverture de l'Orphelinat, aucune maladie grave ou épidémie ne s'est manifestée, bien que certaines pupilles, à leur arrivée, fussent gravement anémiées. L'une d'elles, reçue à un mois, avait une excroissance à la cuisse droite ; le docteur, consulté par la sage-femme, avait déclaré qu'une opération s'imposerait à l'âge de 10 ans ; or, à l'aide des soins magnétiques la grosseur disparut 4 mois après.
L'Orphelinat est dirigé par Mme Malosse en qui les enfants trouvent une véritable mère ; elle est secondée par Mlle Malosse et Mme Durand qui, toutes, donnent en même temps que leur cœur, un concours entièrement désintéressé.
L'œuvre se développe de plus en plus ; l'état financier est aussi encourageant que rassurant. De nouveaux projets sont en état d'élaboration pour son extension dans un avenir très rapproché. Ceux de nos amis qui s'intéressent à l'Orphelinat Allan Kardec peuvent adresser leurs subventions au siège : 14, rue Calas, à Lyon. Nous les y encourageons vivement, nous qui connaissons l'admirable effort produit par Mme, Mlle et M. Malosse pour les chères petites orphelines.
A côté de l'Orphelinat, sous la même direction, fonctionne le Groupe Allan Kardec qui reçoit des malades quatre jours par semaine et les soigne gratuitement et avec succès.
Indépendamment des soins, une bibliothèque très documentée établit un roulement d'ouvrages à l'extérieur où son activité est des plus efficace.
En outre, des séances privées ont lieu avec le concours de Mme Malosse comme médium ; au cours de ces réunions, des prévisions d'avenir concernant les événements mondiaux et privés se produisent.
En collaboration avec le Groupe Allan Kardec, une œuvre de vestiaire fonctionne régulièrement sous la direction de Mlle J. Allemand. Par son entremise, de nombreux vieillards ont pu cet hiver recevoir des vêtements chauds et voir au foyer briller la flamme que les rigueurs de l'hiver appelaient particulièrement cette année.
*** M. Hugues qui, en qualité de Secrétaire adjoint, seconde M. Mélusson qui joint à de grandes occupations les fonctions de Secrétaire Général de la Fédération Spirite Lyonnaise, nous rend compte du travail de cette Société. Nous avons dit deux mots, il y a quelques mois, de l'intéressant Bulletin de cette Fédération dans lequel il est donné des nouvelles de tous les groupements de la région. Une Commission spéciale a été chargée de rechercher des locaux permettant de Lyon, à l'exemple de notre siège social, une « Maison des Spirites ». La Fédération Spirite de Lyon envisage également de faire, dans les divers quartiers de cette ville, des tournées de propagande permettant l'extension du mouvement spirite.
La fête du 59e anniversaire d'Allan Kardec, organisée par la Fédération Lyonnaise l'année dernière, a été une brillante manifestation ; elle a permis de recueillir une somme de 1500 francs qui a été répartie par moitié à l'œuvre de Secours aux vieillards nécessiteux et à la Caisse de Propagande.
En novembre 1928, cette belle œuvre des vieillards, fondée comme l'on sait par M. Bouvier, a pu allouer à 15 nécessiteux une pension de 120 francs, en augmentation de 10 francs sur l'année 1927.
Depuis lors, M. Fantgauthier, Vice-Président de la Société d'Etudes Psychiques, que préside notre actif Vice-Président M. Mélusson, nous informe que M. Bouvier a de nouveau versé 2000 francs pour permettre l'achat de charbon et de provisions pour les vieillards envers lesquels il exerce une si grande bonté. Cette fondation poursuit son œuvre utilitaire, son capital s'augmente chaque année de sommes dont les revenus servent à assurer partiellement les pensions distribuées régulièrement en fin d'exercice.
Nous remercions la Fédération Lyonnaise des sentiments fraternels qu'elle a bien voulu exprimer à l'Union Spirite Française pour sa prospérité. Nous l'assurons ici de l'intérêt que nous prenons à son travail.
*** M. Fantgauthier, dans le rapport qu'il nous a adressé sur la Société d'Etudes Psychiques de Lyon, nous dit combien les membres de cette société sont désolés de ne pouvoir lui donner tout l'essor qu'ils voudraient, du fait d'une installation trop réduite dans un local mal situé. Néanmoins les conférences, causeries et séances expérimentales organisées ces derniers temps ont été suivies tous les jeudis par un nombre de personnes variant entre 50 et 100, et les fêtes d'été et d'hiver comptaient toujours 2 à 300 personnes.
Nous avons pris connaissance avec intérêt du programme des études de la Société d'Etudes Psychiques de Lyon pour l'année 1928-1929. Dans la section du spiritisme des conférences éducatrices d'un grand intérêt sont annoncées. Elles s'échelonnent de 8 jours en 8 jours jusqu'au 12 juillet inclus.
L'importante bibliothèque de la Société, ouverte à tous, aide particulièrement à la propagande.
A tous nos frères lyonnais nous disons combien nous sommes heureux de les voir porter bien haut dans la ville natale d'Allan Kardec le drapeau du spiritualisme moderne.
Bulletin de l'Union spirite française (v9, 1929)
CONSECRATION D'UN TEMPLE ANTOINISTE. – Mère Antoine ira consacrer, fin juillet ou commencement d'aout prochain, un Temple Antoiniste à Aix-les-Bains (Savoie). S'inscrire au Temple Antoiniste le plus rapproché, fr. 165 en 3e classe, et fr. 265 en 2ème classe.
La Meuse, 8 juin 1924 (source : Belgicapress)
ON ARRÊTE
un guérisseur inoffensif
Mais mieux vaudrait coffrer les assassins, les cambrioleurs et les empoisonneurs publics.
Il est entendu qu'il faut défendre la santé publique contre les marchands d'orviétan qui vendent, sous forme de poudres, de cachets ou de flacons, sans diplômes et contre espèces sonnantes, des drogues sans valeur, quand elles ne sont pas nocives pour ceux qui les emploient.
Mais pourquoi, diable, arrêter ce paysan des environs de Metz qui, d'aubergiste, était devenu antoiniste zélé, puis guérisseur des maladies du corps humain par la foi et l'amour de Dieu ? Le père Wagner, comme on l'appelait, en plus de ses fonctions d'hôtelier villageois, avait rang d'évêque du culte antoiniste. A ce titre, il faisait des miracles, c'est-à-dire qu'il faisait du bien à une foule de malheureux malades par l'application de sa doctrine purement mystique.
La foi soulève les montagnes, c'est un lieu commun. Pourquoi – à la condition que celui qui se sert de ce levier intérieur ne soit pas un filou – lui refuser le moyen de soulager des misères physiques ? Le Codex n'est pas l'alpha et l'oméga de la thérapeutique humaine et l'on conçoit très bien que certaines catégories de souffrants trouvent un soulagement à leurs maux ailleurs que dans les formules débitées avec garantie du gouvernement. C'est dans ce domaine-là qu'on peut dire que la fin justifie les moyens, l'essentiel étant qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse.
Il y a au surplus assez de cambrioleurs, d'assassins, de mercantis et autres malfaiteurs publics pour que les juges s'occupent de choses utiles et ne se rendent pas ridicules en arrêtant des gens qui veulent guérir les corps, comme les âmes, en prescrivant la foi et l'amour de Dieu.
Justement, dans cette région lorraine, il y a des bouchers empoisonneurs et des dissimulateurs de bénéfices de guerre. Les parquets locaux ne croient-ils pas que mieux vaudrait s'occuper de ces gens-là que d'un thaumaturge villageois et mystique qui, en fait de médicaments, recommandait aux malades de chercher la guérison aux sources de la vie surnaturelle ? Un tel apôtre n'est pourtant guère dangereux ni pour l'ordre public, ni pour la santé de ses concitoyens, à la différence des marchands de viande avariée et de vaches tuberculeuses. Aussi peut-on penser que ce n'est pas M. Barthou qui a donné des instructions de ce genre-là.
Le Petit bleu de Paris, 8 avril 1927
Guérisseurs
Il vient de mourir à Lyon un personnage qui était célèbre dans la ville et dans tout le pays, sous le nom de Philippe. C'était un ancien garçon boucher, disent les journaux, qui s'était senti appelé, à ce qu'il disait, par des voix secrètes, à pratiquer des guérisons. Il opérait dans un petit salon d'une rue très fréquentée et la foule s'empressait à venir le consulter, et à lui raconter ses misères. Il y eut comme cela toujours, il y aura probablement toujours des personnages qui se diront investis de dons tout spéciaux et se feront fort de guérir l'humanité, et toujours l'humanité en grand nombre accourra demander merci. Et ce sont le plus souvent de vulgaires farceurs. Philippe le Lyonnais eut des prédécesseurs illustres. Le plus connu fut peut-être le zouave Jacob, ce musicien de la garde impériale, qui, à force de souffler dans un piston, se découvrit un souffle d'inspiré. Il finit par avoir comme clients les plus illustres personnages, entr'autres le maréchal Canrobert, et rédigera des mémoires tout pleins de pensées pompeuses.
Il y a dans les environs de Liége, un particulier du nom d'Antoine, qui reçoit à peu près tous les jours deux cents personnes, sur qui il récite une vague prière, sur qui il souffle vaguement, à qui il ordonne des petites choses inoffensives et même hygiéniques, et qui s'en vont convaincus qu'elles sont guéries. Et souvent, il faut le dire, elles le sont.
En général, quand ce sont des étrangers qui viennent pratiquer en Belgique ces exercices, on les expulse tout simplement, l'autorité ayant fort peu confiance dans leurs dons. Il vous souvient peut-être de cet Américain thaumaturge qu'on expulsa, il y a une dizaine d'années, et dont certains journaux prirent le parti avec une belle animation. Personnellement, j'ai connu une dame qui opérait à Saint-Gilles-lez-Bruxelles. Vêtue de blanc, et se faisant fort de guérir des hernies, des épilépsies et quantité d'autres maladies, elle imposait les mains. Un ancien chef de gare presque aveugle avait été guérie par elle et il était pris d'une telle foi, qu'il s'était fait l'apôtre de cette thaumaturge. Ce fut lui qui vint me relancer ; il me somma de venir voir et de raconter au monde entier ce que j'aurais vu. Comme je n'avais pas de foi, je ne vis rien d'extraordinaire, et comme je n'avais pas de maladie à faire guérir, je ne pus apprécier le talent de la dame. A quelque temps de là, la police intervint dans ce petit trafic et la race des guérisseurs comptait une martyre de plus.
Le prestige de tous ces gens-là, bien plus étonnant que celui des médecins qui ont fait des études et qui ne jugent que d'après les faits, est éclatant, indiscutable. On recourra toujours volontiers à eux par esprit de contradiction, pour narguer la science officielle, et par cette croyance au merveilleux qui existe si ancrée dans le cœur humain. On veut absolument découvrir du merveilleux à tous les tournants de la vie. Et songez, songez aussi à tous les spirites qui pullulent dans les centres industriels, à Seraing, dans les environs de Charleroi et qui demandent à des pratiques absurdes la guérison de presque toutes les maladies. On condamne les guérisseurs, et après cela, l'observateur désintéressé se demande : "Mais ces farceurs-là, tout farceurs qu'ils étaient, ont peut-être parfois réellement calmé une grande douleur ?" Il y a un droit légal de guérir et il est singulier que l'on parle d'un exercice illégal de l'art de guérir, comme si, dès qu'on guérit on ne se trouve pas un bienfaiteur humain au-dessus des lois.
Pasteur, qui n'était pas médecin, n'avait pas le droit légal de guérir. Il a tout de même guéri quelques hommes.
Et toutes ces historiettes ou tous ces faits ne sont qu'un prétexte à conversation que je vous soumets pour les soirs où la pluie ou le mauvais temps vous cloîtreront dans quelque hôtel des bords de la mer.
ETHEREL
La Métropole, 12 août 1905 (source : Belgicapress)
Etherel est le pseudonyme de Léon Souguenet qui a également écrit des articles sur les spirites et sur Antoine-le-Guérisseur.
Cette chronique a donné lieu a un droit de réponse publié par le journal. Cf. Les guérisseurs (La Métropole, 18 août 1905).
Antoinisten, impasses en klassiekers in prachtig Luik
Tempel van de cultus der Antoinisten.
Dat uw blogger niet vies is van een grapje of woordspeling, weet de trouwe lezer al even. Dit is echter pure ernst; het verklaart tevens een deel van de titel van deze blogpost.
Bekijk hier de ligging van de kerk op Google Maps.
Het Antoinisme is een erkende godsdienst van publiek nut, erkend bij KB van 3 oktober 1922
De christelijk geïnspireerde orde werd opgericht in 1910 door de mijnwerker Louis Antoine (1846-1912) in Jemeppe-sur-Meuse.
Hij hielp gedurende 25 jaar zieken, aan wie hij ook zijn fortuin liet. Hij was beïnvloed door de geschriften van Allan Kardec. Hij stichtte daarop een beweging genaamd "de wijngaarden van de heer', waarbinnen hij ook zijn mediumachtige praktijken toepaste. Hij onderzocht minstens 60 zieken per dag, die hij dan trachtte te genezen. Op 19 februari 1901 werd hij veroordeeld tot een boete van 60 FR. door de correctionele rechtbank in Luik voor het uitvoeren van illegale medische praktijken. Hij genas door gebruik te maken van gemagnetiseerd papier en thee.
Na zijn overlijden nam zijn vrouw de leiding over tot in 1940.
Tot op vandaag zijn er enkele duizenden actieve Antoinisten, voornamelijk in België en Noord-Frankrijk, maar ook in Nederland, Zwitserland, Monaco en de Verenigde Staten.
Het gebed neemt een belangrijke plaats in maar deelname aan de bijeenkomsten is niet verplicht. Antoinisten mogen ook deelnemen aan andere bijeenkomsten. Ze hebben buiten de Christelijke feestdagen nog twee extra feestdagen. Ter ere van de stichter en diens echtgenote.
Source : https://www.topbestemmingbelgie.be/post/antoinisten-impasses-en-klassiekers-prachtig-luik
Traduction :
Temple du culte des Antoinistes.
Les lecteurs fidèles savent depuis un certain temps que votre blogueur n'hésite pas à faire des blagues ou des jeux de mots. Mais ceci n'est que du sérieux et explique en partie le titre de cet article.
Voir l'emplacement de l'église sur Google Maps ici.
L'antoinisme est une religion reconnue d'utilité publique, reconnue par l'arrêté royal du 3 octobre 1922.
Cet ordre d'inspiration chrétienne a été fondé en 1910 par le mineur Louis Antoine (1846-1912) à Jemeppe-sur-Meuse.
Il a aidé les malades pendant 25 ans, à qui il a également laissé sa fortune. Il a été influencé par les écrits d'Allan Kardec et a ensuite fondé un mouvement appelé "les vignerons du seigneur", dans lequel il a également appliqué ses pratiques médiumniques. Il examinait au moins 60 malades par jour, qu'il tentait ensuite de guérir. Le 19 février 1901, il est condamné à une amende de 60 francs par le tribunal correctionnel de Liège pour exercice illégal de la médecine. Il guérissait en utilisant du papier magnétisé et du thé.
Après sa mort, sa femme a repris la gestion jusqu'en 1940.
À ce jour, on compte plusieurs milliers d'antoinistes actifs, principalement en Belgique et dans le nord de la France, mais aussi aux Pays-Bas, en Suisse, à Monaco et aux États-Unis.
La prière occupe une place importante mais la participation aux réunions n'est pas obligatoire. Les antoinistes peuvent également participer à d'autres assemblées. Ils ont deux autres fêtes en plus des fêtes chrétiennes. En l'honneur du fondateur et de son épouse.
Les guérisseurs
Au sujet d'une récente chronique de notre collaborateur Etherel nous recevons d'un de nos abonnés wallons une lettre où celui-ci prend la défense de M. Antoine, le guérisseur spirite de Jemeppe-sur-Meuse.
"Si l'auteur de l'article, écrit-il, connaissait l'action bienfaisante et d'une haute portée morale que M. Antoine exerce autour de lui, il aurait pu sans doute garder tout son scepticisme, sinon sur les cures elles-mêmes puisqu'elles sont réelles et qu'il en convient lui aussi, du moins sur les causes de ce mystérieux pouvoir de guérison, mais ce dont je suis certain, il ne se fut pas servi d'un langage si peu mesuré envers cet homme de bien, profondément désintéressé, respecté de tous ceux qui l'approchent pour la simplicité de son caractère et son parfait naturel !"
Dont acte !
La Métropole, 18 août 1905 (source : Belgicapress)
Cf. la chronique Les guérisseurs (La Métropole, 12 août 1905).
VOTTEM
DE QUOI SE MELENT-ELLES. – Décidément, ces dames catholiques sont en bon chemin pour faire de nos écoles communales des véritables capucinières.
On nous rapporte, si les faits sont exacts, qu'une de ces dames, préposée au soin de donner le cours de religion aux élèves des écoles de garçons se mêle de faire de la politique parmi ces petits bambins. Elle attaquerait même les autres sectes religieuses. C'est ainsi qu'il nous a été dit par plusieurs parents que cette sainte dévote aurait dit aux enfants de la 1re année d'études que « leur devoir était d'aller tous les jours à la messe de 6 heures, qu'ils ne devaient pas faire partie de la gymnastique socialiste « L'Aurore », seule et unique gymnastique de la commune, que « La Wallonie » était un mauvais journal et que ceux qui allaient au culte antoiniste suivaient le chemin du diable. »
Nous nous faisons auprès de l'échevin l'Instruction, le c. Defresne, l'interprète de ces parents, afin qu'il rappelle cette toute dévouée cagote à ses devoirs et au respect de la loi scolaire et que les parents fassent le nécessaire pour l'école reste strictement laïque.
La Wallonie, 26 septembre 1932 (source : Belgicapress)
Un temple « Antoiniste » à Orange
ORANGE, 18 septembre. – Notre ville va devenir le centre d'une secte nouvelle, que l'on appelle les « Antoinistes ».
Cette nouvelle secte, qui a pour seul principe l'amour de son prochain, a été créée en 1906, par le Père Antoine, Jemeppe-sur-Meuse (Belgique). Sa protagoniste à Orange, qui a fait de nombreux adeptes, est Mme veuve Bizot, qui habite la rue Fustini. La consécration du nouveau temple d'Orange sera présidée par la veuve du Père Antoine.
Le Petit Marseillais, 19 septembre 1926