• Antoine the Healer dans On the Watch-Tower (The Theosophist, v32, n2, nov.1910)

    Antoine the Healer dans On the Watch-Tower (The Theosophist, v32, n2, nov.1910)

    1910                   ON THE WATCH-TOWER                              165

        A very powerful religious movement has sprung up in Belgium, round the person of a young workman, Antoine the Healer, as he is called; his father was a miner, and he himself worked in the mines for two years, and then at other industries, in which he realised a small livelihood; his only son died in 1893, and he then resolved to give up the world and devote himself to the helping of the sick and poor, physically and morally. He became an ascetic, began healing diseases, never accepting any payment for his cures, and preaching a holy life. Now from 500 to 1000 sick people come to him daily, and he cures cancer, lupus, eczema, consumption, blindness, paralysis and epilepsy. On Ascension Day this year some 15,000 people crowded into and round his church, and four times he cured the sick en bloc. Such is the remarkable story, as told in a Belgian materialistic newspaper, La Meuse.

    The Theosophist, v32, n°2, November 1910

     

    Traduction :

        Un mouvement religieux très intense est né en Belgique, autour de la personne d'un jeune ouvrier, Antoine le Guérisseur, comme on l'appelle ; son père était mineur, et lui-même a travaillé dans les mines pendant deux ans, puis à d'autres industries, dans lesquelles il a obtenu une petite subsistance ; son fils unique est mort en 1893, et il a alors résolu de renoncer au monde et de se consacrer à l'aide aux malades et aux pauvres, physiquement et moralement. Il devint un ascète, commença à guérir des maladies, sans jamais accepter de paiement pour ses cures, et prêcha une vie sainte. Aujourd'hui, 500 à 1000 malades viennent le voir chaque jour et il guérit le cancer, le lupus, l'eczéma, la tuberculose, la cécité, la paralysie et l'épilepsie. Le jour de l'Ascension, cette année, quelque 15 000 personnes se sont pressées dans son église et autour d'elle, et à quatre reprises, il a guéri les malades en bloc. Telle est la remarquable histoire, telle qu'elle est racontée dans un journal matérialiste belge, La Meuse.

    The Theosophist, v32, n°2, Novembre 1910


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :