-
Einzimmerwohnung mit Etagenklo - wie Arbeiter leben
In den Städten kommt der Wohnungsbau dem Bedarf nicht hinterher: Ganze Familien pferchen sich in ein einziges Zimmer, vermieten manchmal sogar das letzte freie Bett an einen sogenannten Schlafgänger. Die Toilette im Treppenhaus teilt man sich mit den Mietern von nebenan. Noch dazu sind die Arbeitsbedingungen in den Fabriken oft unvorstellbar hart: 1872 liegt die durchschnittliche Wochenarbeitszeit bei 72 Stunden; in vielen Branchen wie etwa der gerade entstehenden Chemieindustrie gibt es so gut wie keinen Gesundheitsschutz.
Schon fürchten Fabrikbesitzer und die Politik den Aufstand - und reagieren. Reichskanzler Bismarck etwa verfolgt eine zweigleisige Strategie. Einerseits will er mit dem Sozialistengesetz von 1878, einem umfassenden Verbot sozialdemokratischer Organisationen, die Arbeiterbewegung schwächen; andererseits lindert er die schlimmsten Nöte mit einer Sozialgesetzgebung, die europaweit vorbildlich ist: Seit 1883 gibt es in Deutschland eine Krankenversicherung, seit 1884 eine Unfallversicherung, bald kommen noch Invaliditäts- und Rentenversicherung dazu. Parallel dazu rufen viele Unternehmen ihre eigene betriebliche Sozialpolitik ins Leben.
Dans les villes, la demande de logements ne suivent pas : des familles entières se tassent dans une pièce, en laissant parfois même la possibilité de louer le dernier lit pour le dénommé le "venant dormir". Les toilettes dans le couloir se partagent avec les locataires d'à côté. En outre, les conditions de travail dans les fabriques sont souvent incroyablement difficile : en 1872, la semaine moyenne de travail est de 72 heures, mais dans de nombreux secteurs, y compris l'industrie émergente de produits chimiques, il n'existe presque pas de protection de santé.
Même les propriétaires de l'usine et les Politiques craignent l'insurrection - et ils y répondent. Le chancelier Bismarck à propos poursuit une double stratégie concertée. D'une part, il veut affaiblir les lois socialistes de 1878, une interdiction complète des organisations sociales-démocrates, le mouvement ouvrier ; de l'autre, il soulage les pires troubles. Avec la législation sociale, l'Europe est exemplaire: Depuis 1883, il existe une assurance maladie en Allemagne, depuis 1884, une assurance sur les accidents, suivent l'assurance d'invalidité et l'assurance pension. En parallèle, de nombreuses entreprises forment leurs propre politique sociale sur la vie.
source : http://www.planet-wissen.de/politik_geschichte/wirtschaft_und_finanzen/industrialisierung/index.jsp
Tags : solidarité, métallurgie
-
Commentaires