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Le sheikh et son élève
De son côté, le maître doit se montrer digne de la confiance que lui accorde son élève et, non seulement le diriger avec sagesse, mais percevoir toutes les inquiétudes qui l'assaillent et presque se sentir uni à lui par des liens physiques : « Tout seykh qui ne sait combien de fois son murîd se retourne la nuit sur sa couche — son murîd fût-il à l'extrême Est ou à l'extrême Ouest de la terre —, celui-là n'est pas un seykh ».
Kitâb el Manâqib, cité par Frank, op. cit., p. 63.
in Roger Lescot, Enquête sur les Yezidis de Syrie et du Djebel Sindjar (1938), p.30
source : archive.org
Tags : religion
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