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Léon Denis - le libre arbitre
Il n'en résulte pas moins logiquement qu'en supprimant le libre arbitre, en faisant des facultés intellectuelles et des qualités morales la résultante de combinaisons chimiques, les sécrétions de la substance grise du cerveau, en considérants le génie comme une névrose, le matérialisme abaisse la dignité humaine, enlève à l'existence tout caractère élevé.
Léon Denis, Après la mort (p. 110)
Dervy-Livres, Paris, 1977
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