• Pierre Vachet - La Pensée qui guérit (1926)

    Pierre Vachet - La Pensée qui guérit (1926)

    Auteur : Pierre Vachet (1892-198?)
    Titre : La Pensée qui guérit (L'Euphorisme, un nouvel art de vivre)
    Éditions : Grasset, Paris, 1924 (276 pages)
        Plus que les microbes, c'est notre imagination qui fait de nous des malades. Mais s'il y a une imagination qui tue, le Docteur Vachet nous apprend à former notre pensée pour en faire un instrument de guérison. – Voici peut-être le secret de la santé.

    Pierre Vachet - La Pensée qui guérit (1926)
        Docteur en médecine (Paris, 1915), il fut psychologue et directeur de l'École de psychologie et de la Revue de psychologie appliquée.
        Il s'intéressa à la guérison par la pensée, notamment dans la Science chrétienne, et chez les guérisseurs. Excellent praticien et maître de la vulgarisation, ses thèses se fondent largement sur des observations issues de ses riches expériences. Il est l'auteur (chez Grasset principalement) de Lourdes et ses mystères (1920, réédité sous le titre Le Mystère de Lourdes), Pensée qui guérit (1926 et réédité avec le titre complément L'Euphorisme, un nouvel art de vivre en 1960), Remède à la vie moderne (1928), La Santé du corps et de l'esprit (1929), Sur le chemin de l'optimisme et du bonheur (1959), Portez-vous bien (1980)...


        On le voit sur une carte postale avec Jean Béziat à Avignonnet.

    Quatrième de couverture :
        AUJOURD'HUI plus que jamais, dans l'époque d'agitation et d'inquiétude où nous vivons, le besoin se fait impérieusement sentir d'une règle de conduite qui, éliminant la nervosité et l'angoisse, nous permette de recouvrer l'équilibre et d'entrevoir de réelles possibilités d'être heureux.
        Depuis longtemps, le docteur Pierre Vachet s'est fait l'apôtre de la Pensée qui guérit. Dans ce livre, il nous montre comment nous pouvons utiliser les forces merveilleuses que nous portons en nous et comment, dans toutes les maladies, même organiques, cette force, véritable « sérum moral », est capable de provoquer la guérison.
        Mais le docteur Pierre Vachet va plus loin. Il conclut à la nécessité urgente d'un nouvel art de vivre, à une philosophie faite de sérénité qui nous aide à surmonter les épreuves de la vie moderne.
        Aux systèmes de négation, d'abandon, il oppose un système constructif, de confiance en soi et en l'avenir, associant dans une étroite communion l'hygiène de l'esprit et celle du corps, qu'il met à la portée de chacun de nous.
        Cette philosophie, étayée par quarante années de recherches et d'expériences, le docteur Pierre Vachet l'a appelée : Euphorisme. Son aboutissement est, en effet, de réaliser en nous un état d'équilibre intellectuel, physique, nerveux et moral qui est proprement un état d'euphorie.
        Ce livre simple et direct, agréable à lire parce qu'il n'a rien de doctrinal ni de sévère, nous donne les moyens pratiques de lutter contre ce nervosisme moderne dont nous sommes, tous, plus ou moins atteints, trop souvent à notre insu.

        Recension dans La Lanterne, du 16 octobre 1927 :
    Le Dr Pierre Vachet et la morale moderne
        Parmi les hommes qui sont venus à la vie publique depuis la fin de la guerre, le docteur Pierre Vachet tient une place de premier plan.
        Ce jeune médecin, travailleur consciencieux doublé d'une intelligence supérieure, esprit ouvert aux idées neuves, homme de la génération en un mot, s'est résolument débarrassé de tout le fatras des conceptions anciennes. Depuis trois ans, fruits de ses travaux, il a enrichi le domaine de la science de trois livres qui chacun marquent une étape sur la voie de la médecine nouvelle : Lourdes et ses mystères, la Pensée qui guérit, l'Inquiétude sexuelle.
        Ses deux premiers livres sont trop connus pour y revenir. Je me limiterai à rappeler seulement que la Pensée qui guérit, ouvrage de science mis à la portée de toutes les cultures, est venu réconforter une foule innombrables de malades qui désespéraient, et qu'il est aussi le bréviaire de santé de l'homme sain décidé à lutter contre le mal toujours probable, avec le seul et précieux remède de son énergie éduquée. Moins simpliste que les ouvrages du brave docteur Coué, ce livre ouvre des horizons qu'on n'entrevoyait jusqu'ici qu'avec timidité. A l'instar de Satan, archange déchu auquel France faisait dire dans La Révolte des Anges : « Nous portons Dieu en nous-même », la Pensée qui guérit démontre aux malades et aux autres qu'ils portent leur guérison en eux, et qu'il ne tient qu'à eux de la faire triompher.
        Mais le docteur Pierre Vachet a produit un livre plus récent qui s'attaque cette fois aux problèmes des sexes et à toutes les questions qui en dépendent. Avec un beau courage, et sans choquer personne, l'auteur a traité dans ce livre destiné au grand public de ce que l'on n'osait jusqu'ici évoquer que dans les cercles fermés des praticiens.

        Lucien Roure en écrira une recension très critique dans les Études (publiées par des Pères de la Compagnie de Jésus) du 1er janvier 1926.

        Il participe à des débats sur le sujet au Club du Faubourg :

    Pierre Vachet - La Pensée qui guérit (1926)

     

    Pierre Vachet - Guérisons et guérisseurs (L'Œuvre, 13 mars 1928)


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