• Avis de décès antoiniste - Grenoble (Le Petit Dauphinois, 12 mai 1942)

    AVIS DE DÉCÈS

        FONTAINE GRENOBLE – Mme Vve Emile Poncet, Mme et M. Marcel Minière vous font part du décès de

    Monsieur Emile PONCET
    chef d'équipe des PTT en retraite

        Les funérailles antoinistes auront lieu le 12 mai 15 heures rue de Sassenage à Fontaine. La famille ne stationnera pas au cimetière.
                                           Ni fleurs, ni couronnes

    Le Petit Dauphinois, 12 mai 1942


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  • Avis de décès antoiniste - Grenoble (Le Petit Dauphinois, 3 septembre 1941)

    AVIS DE DÉCÈS

        GRENOBLE – Culte Antoiniste. – M. Louis Bonneton et toute sa famille ont la douleur de vous faire part du décès de

    Monsieur Louis SEVOZ-BERNARDIN

        Le convoi partita du domicile mortuaire pour se rendre directement à Saint-Roch, le mercredi 3 septembre, à 15 heures
        Ni fleurs, 21 couronnes

    Le Petit Dauphinois, 3 septembre 1941


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  • Daniel-Rops - La nuit du coeur flambant (1953)

    Auteur : Daniel-Rops
    Illustrations photographiques : Guy
    Titre : La nuit du cœur flambant
    Éditions : Plon, Paris, 1947 (1953)

        Il paraît que l'on croise des touristes avec « La Nuit du Cœur flambant » de Daniel-Rops le livre à la main qui visitent le vieux Chambéry où cet auteur académicien a pris son premier poste au lycée de garçons.
        Au fond de la cour fermée de l'Hotel de la Pérouse du XVe siècle au numéro 72 de la Rue Croix d'Or, derrière une grille, se trouve la fontaine qui inspira la nouvelle de 1948.
        « A la lueur jaune qui tombait d'une fenêtre du premier étage, j'aperçus, pris dans le mur juste en face du corridor d'entrée, une étonnante sculpture baroque, un macaron hirsute, deux arcatures en forme de S, encadrant un cœur d'où une flamme jaillissait.» Daniel-Rops.
        Sur le pommeau de son épée d'académicien : un « Cœur flambant ».
        Une fontaine plus triviale sera le sujet d'un autre tour de pays, en attendant on fera le tour des hôtels particuliers au pied du château des Duc de Savoie.
    Source : le riche livre de Anne Buttin et Nelly Gabriel :

    « Dans les pas des écrivains en Rhône-Alpes chez Glénat.
    [http://le-blog-de-pierre-fassbind.over-blog.com/article-chambery-le-coeur-flambant-72383245.html]

        Le livre évoque les Antoinistes de la Rue Basse du Château, p.17

        Et si des personnages se glissent au long des murs humides, affublés de costumes surprenants, coiffés de chapeaux plus étonnants encore, ce ne sont point les acteurs d'on ne sait quel sabbat, mais des membres de l'église antoiniste qui s'assemblent honnêtement pour réformer le monde...

     

        Le texte est disponible en ligne sur Gallica, dans la Revue des deux mondes de novembre 1929.

        Quelques photographies sont visibles sur Google Books.


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  • Daniel-Rops - La nuit du coeur flambant (1953), Photo de Guy - La rue Basse-du-Château


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  • Chambéry - Rue Basse du Château (autre vue, sans pancarte)

    ici, la pancarte "Culte Antoiniste" a été retirée


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  • Chambéry - Rue Basse du Château (autre vue)

    la pancarte est encore visible au fond de l'image


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  • Chambéry - Journal officiel de la République française. Lois et décrets 8 déc. 1923

    8 décembre 1923. CULTE ANTOINISTE, chemin de la Rotonde, Chambéry.
    But : propager l'enseignement moral révélé par le Père Antoine dans son temple de Jemeppe-sur-Meuse de 1906 à 1909.

    Journal officiel de la République française. Lois et décrets 8 déc. 1923


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  •     La Savoie et l'Isère seules comptent trois groupes d'adeptes, l'un à Grenoble, le second à Touvet (Isère) et le troisième, - celui que j'ai visité, - à Biollay.
    L'Abeille de la Nouvelle-Orléans, 17 septembre 1912 (Le Progrès de l'Antoinisme)
        Biollay, correspond à un quartier d'Aix-les-Bains.

        Sur une carte postale de 1914, on voit un panneau Culte Antoiniste sur une façade de maison de la rue Basse du Château à Chambéry. Pierre Debouxhtay, avec l'Unitif, référençait en effet une salle de lecture en 1914 à Chambéry. Mais également à Aix-les-Bains dès le 1 septembre 1912. En Isère, il y en avait une à Grenoble (rue Valbonnis) et Le Touvet (comme nous l'apprend l'article de l'Abeille de la Nouvelle-Orléans, Le Touvet se trouve entre Grenoble et Chambéry), mais également une à Bourgoin (maintenant Bourgoin-Jallieu, entre Chambéry/Grenoble et Lyon, rue Benoît Orcel) et une autre à Nivolas-Vermelle (près de Bourgoin, chez M. Chabert, instituteur).
        A Bourgoin, une seconde maison ouvre en février 1914. Puis une est déjà ouverte en octobre 1913 à Chapareillan (proche de Chambéry).
        Le 22 mars 1920, en vue de la reconnaissance du culte, le secrétaire du Culte, alors le frère Ferdinand Delcroix, renseigne qu'une salle de lecture de Chambéry existe encore (rue Croix d'Or indique un Unitif). De même celle d'Aix-lez-Bains, de Bourgoin, Chapareillan, Le Touvet. Une nouvelle ouvre à Voiron (entre Bourgoin et Grenoble).

    Pierre Debouxhtay, Antoine le Guérisseur et l'Antoinisme, pp.263, 266, 279.

        On apprend également par un article du Dauphiné libéré et du Bulletin de l'Union spirite française l'existence de deux adeptes spirites et antoinistes, frère Jean-Baptiste et sœur Anna Gallioz, qui possède un local 3, rue Frédéric-Taulier à Grenoble.


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