-
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:55Celui qui s'émerveille des performances technologiques est déjà un homme perdu pour les vraies connaissances, vertigineuses, celles auxquelles nous invite le mystère humain, charnel, spirituel, ces abîmes dont l'exploration fut à peine commencée et resta en l'état, par excès de...
-
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:52L'univers ainsi mis au jour eût pu être une fête pour l'esprit, une promesse dionysiaque si la lucidité ne s'était évertuée à le corrompre pour toujours. Marcel Moreau, Monstre (1986), p.12 - Une fête pour l'esprit Luneau Ascot Editeurs, Paris
-
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:51La lumière, le toucher, la conscience passeront ; et c'est en cette condition que je trouverai mon bonheur. Mary Shelley, Frankenstein (p.319) Flammarion, Paris
-
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:50« Tartufe ? » Non. Ce doit être là tout l'homme, double, complexe. inexplicable mélange de bien et de mal, de roueries et de sincérité. Détruisant ce qu'il voulait servir, rêvant de bien et faisant le mal, infiniment retors, compliqué et misérable, parce que conscient de sa...
-
Comment nos sens nous trompent - Les daltoniens aussi perçoivent le monde, mais pas le même que nous
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:49 -
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:42Car la réalité de la vie, ce n'est pas la sensation, c'est l'activité – j'entends l'activité et dans la pensée et dans l'action. Ceux qui vivent de sensations ne sont, matériellement et moralement, que des parasites par rapport aux hommes travailleurs et créateurs, qui seuls sont...
-
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:38
-
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:36Comment peut-on être double à ce point ? J'ai peine dix-huit ans. Et je peux dire que je suis allé jusqu'au bout de la science du mal. J'en suis venu à accepter sans révolte, sans dégoût, presque avec plaisir, le cortège des misères sordides dont s'accompagne un vice comme le...
-
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:30
-
Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:22Ce besoin de perfection était tel d'ailleurs qu'il l'a empêchée d'entrer dans l'Église qui, étant l'oeuvre des hommes, porte les stigmates de l'imperfection. Albertine Thévenon, p.12 in Simone Weil, La condition ouvrière (1951) source : classiques.uqac.ca