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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 28 Octobre 2009 à 19:01Ceux qui souffrent ne peuvent pas se plaindre, dans cette vie-là. Seraient incompris des autres, moqués peut-être de ceux qui ne souffrent pas, considérés comme des ennuyeux par ceux qui, souffrant, ont bien assez de leur propre souffrance. Partout la même dureté que de la part des...
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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 26 Octobre 2009 à 15:05Le ciel était sans dieux, la terre sans autels. Nul réveil ne suivait les existences brèves. L'homme ne connaissait, déchu des anciens rêves. Que la Peur et l'Ennui qui fussent immortels. Le seul chacal hantait le sépulcre de pierre. Où, mains jointes, dormit longtemps l'aïeul...
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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 24 Octobre 2009 à 10:07Contemporain des grandes pièces symbolistes, Le Trésor des humbles fut, dès sa parution en 1896, un grand succès de librairie. Maeterlinck explore dans ce recueil d'essais quelques-uns des thèmes qui inspirent sa dramaturgie: le silence et l'indicible, le dialogue des âmes, le...
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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 22 Octobre 2009 à 14:53On se trompe toujours lorsqu'on ne ferme pas les yeux pour pardonner ou pour mieux regarder en soi-même. Maurice Maeterlinck, Pelléas et Mélisande Acte Premier, Scène III
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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:51La lumière, le toucher, la conscience passeront ; et c'est en cette condition que je trouverai mon bonheur. Mary Shelley, Frankenstein (p.319) Flammarion, Paris
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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:34D'une manière générale, la tentation la plus difficile à repousser, dans une pareille vie, c'est celle de renoncer tout à fait à penser : on sent si bien que c'est l'unique moyen de ne plus souffrir ! Simone Weil, La condition ouvrière (1951), p.14 source : classiques.uqac.ca
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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:26Si nous pouvions mieux nous connaître ! Quelle ignorance de nous-mêmes, dans notre dureté envers les autres. Le Christ n'aimait pas l'homme content de soi. Comme je le comprends ! Maxence Van der Meersch, Masque de chair Albin Michel, Paris, 1958 (p.24)
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Par antoiniste dans L'antoinisme parmi les autres le 15 Octobre 2009 à 18:25Ils se distinguent par une grande douceur et des moeurs essentiellement paisibles, et c'est pour conserver et perpétuer ces qualités précieuses qu'ils ont pris un nom qui les engage, aux yeux du monde, à une constante et inviolables fraternité. Comme tous les autres chrétiens...
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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:22Ce besoin de perfection était tel d'ailleurs qu'il l'a empêchée d'entrer dans l'Église qui, étant l'oeuvre des hommes, porte les stigmates de l'imperfection. Albertine Thévenon, p.12 in Simone Weil, La condition ouvrière (1951) source : classiques.uqac.ca
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Par antoiniste dans Mon parcours, Mes réflexions, Mes Lectures le 15 Octobre 2009 à 18:17L’amour est si fort, que même inintelligent, même médiocre, il ouvre à l’âme tout un horizon de beautés morales. Octave Mirbeau, Dans le ciel (p.61) source : www.scribd.com