• Mons-Crotteux - Charbonnage du champ d'oiseaux


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  • Mons-Crotteux - Charbonnage de l'arbre St-Michel


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  • Signature de Nicolas Joseph Jacquemain, bourgmestre de Flemalle-Grande

        Né le 27 messidor an VI (15 juillet 1798) à Flémalle-Grande, alors Département de l'Ourte, 1° République française (Directoire)
        Décédé le 27 juin 1879 à Flémalle-Grande, Province de Liège, Belgique, à l'âge de 80 ans
        Tailleur de pierres (comme Otto Dargent), Bourgmestre-Négociant.
        Marié le 6 septembre 1821 à Flémalle-Grande, alors Province de Liège, Royaume-Uni des Pays-Bas, avec Jeanne Catherine NIZET (1800-1832).

        Il ne semble pas avoir de relation de parenté avec Louis Jacquemin, instituteur à Flemalle-Grande, même si le nom de famille s'écrira tantôt Jacquemin tantôt Jacquemain.


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  • Signature de Otto Dargent, tailleur de pierres et conseiller communal à Flemalle-Grande

        On retrouve souvent le nom d’Otto Dargent dans les actes de la commune de Flémalle-Grande. Il fut en effet Conseiller Communal de la commune de 1821 à 1848. Tailleur de pierres, après avoir travaillé à la carrière de Brassines, il exploite en 1813 l’alunière (la mine d’alun) de Chokier.

    source : http://www.chokier.com/FILES/INDUSTRIE/Aluniere-Flemalle.html

     

    Un autre Dargent, Jean de son prénom (Jean-Joseph), né à Flémalle.Grande le 5 juillet 1865, époux de Hortense Wéry (on connaît le desservant Henry Wéry de Herstal) se chargera de la surveillance des travaux de la reconstruction du Temple d'Ecaussinnes en 1935.


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  • Mons-les-Liège (carte Ferraris 1770-1778)(balnam.be)

    source : balnam.be

        Mons-Crotteux était une commune belge née en 1795 de la fusion de Mons-lez-Liège et de Crotteux. Lors du redécoupage des communes en 1977, Mons-lez-Liège est devenue une section de la commune de Flémalle et Crotteux une section de la commune de Grâce-Hollogne. Sur une vue plus élargie du lieu, on voit que la rue des Priesses se situe à Mons :

    Mons-les-Liège (carte Ferraris 1770-1778) 


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  • Mons Crotteux - Ecole Communale et place

    Place des écoles (actuelle Place Victor Mottard)

    Mons Crotteux - Ecole Communale et place

     

     

    Place des écoles, Mons-Crotteux

    Vue satellite de 1994, où les écoles sont encore présente.

    (source : WalOnMap, Géoportail de la Wallonie, Voyage dans le temps)

     

    La maison natale du Père est toute proche.


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  • Mons-Crotteux - Intérieur de l'Église


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  • Vrai croyant de Mahomet (La France théâtrale du 29 février 1844)


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  •     Les habitans du rivage de la Meuse dans le rayon de plusieurs lieues de Seraing, emportés par les progrès et l'action incessante de l'industrie, sembloient avoir mis au second rang les intérêts de la religion ; les grands sentimens de la foi paraissoient affoiblis au milieu d'eux et l'esprit du philosophisme gagner rapidement dans la classe ouvrière.
        Cependant là comme ailleurs on reconnoit toujours la Belgique, essentiellement catholique et toujours sentant ses sympathies se réveiller à l'aspect de la religion et de ses ministres.

    lettre du 25 août 1837
    signé
    M.-L.-J. COLLARD, curé de Flémalle-Haute,
    L.-J. DEFOSSE, curé de Flémalle-Grande,
    L.-T.-J. STIENNON, curé de Jemeppe,
    P.-H.-J. DELVAUX, chapelain de Mons.

    Journal historique et littéraire, Volume 4, p.254
    source : Google Books


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  • MONS, commune du canton de Hollogne-aux-Pierres ; bornée au N.O. par Velroux, N.E. par Hollogne-aux-Pierres, E. par Grâce-Montegnée et Jemeppe, S. par Flémalle-Grande, Flémalle-Haute et Chokier, 0. par Horion-Hozémont.

    A 1/3 de l. de Hollogne, 3/4 de Velroux, Flémalle-Grande et Flémalle-Haute, 1 de Horion-Hozémont, 1 1/4 de Chokier et 2 O. de Liége.

    Ses dépendances sont Crotteux à 1/6 de l. du chef-lieu ; Jonckeu à 1/8 de l. ; Méan, idem ; Tirogne, à 1/4 de l. ; Rullier, à 1/2 l. ; Souxhon, id. ; Ardonnes, id. ; Paradis, idem ; Dictée, idem ; Pépinsart, idem ; Vingt-Deux, idem ; Rosart, à 1/4 de l. ; Rengisart, à 1/3 de l.

    Le territoire de cette commune est élevé et entrecoupé de collines. Le terrain est argileux, sablonneux, pierreux. La couche vègétale varie de 25 à 60 centim. de profondeur. - 2 petits ruisseaux.

    Il y a 225 maisons ; construites partie en pierres et briques, partie en bois et argile ; la plupart couvertes en paille, quelques-unes en ardoises et en tuiles ; en grande partie disséminées. On y remarque un ancien château, situé au milieu du village. - 1 église dédiée à St.-Lambert.

    On y cultive le froment, le seigle, l'épeautre, l'orge, l'avoine. Fourrages, lègumes, fruits. Deux petits bois. Chevaux, vaches, moutons. 1 moulin à farine mu par eau ; 1 brasserie. - On y exploite de la houille.
     Population : 1152 habitans.

    Superficie : 667 h. 07 a. 16 c.

    Ci-devant pays de Liège.


    Dictionnaire géographique et statistique de la province de Liège (Henri Joseph Barthélemi Del Vaux) - 1835


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  •  source : patrimoine.met.wallonie.be

        Quand il était enfant et qu'il commençait à apprendre la religion, qu'était-ce pour lui que le monde, la terre, le ciel, sinon Mons avec le plateau, et les villages qu'on voit de là, et le ciel qui est au-dessus du clocher et que nos pigeons traversent ? Et la bonne route dont il ne faut pas s'écarter, c'était évidemment la route de Flémalle, avec les trois petits buissons à droite, et ses fossés à demi comblés de terre et d'herbe. A jamais c'étaient là la bonne route, la terre et le ciel. Et le petit Louis Antoine, en ces temps-là, avait même découvert tout près de Mons le Paradis Terrestre : un verger un peu à l'écart en contrebas du village, avec des haies épaisses, non taillées, et de larges rayons frais sur l'herbe déjà haute et sur les branches d'un pommier en fleurs. Le gamin, n'osant pas entrer, était resté à la barrière. C'était dans ce temps de l'enfance où les choses pénètrent en nous pour y prendre à jamais leur place et leur figure. Et il y avait eu beau voir après cela mille autres choses, ce n'étaient plus que des images : c'est le pays natal seul qui est le vrai mon et son éternité.

    Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
    Ed. Labor - Espace Nord, p.218-19


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  •     A l'origine, cet édifice était une simple chapelle à nef unique. Plus tard, il fut élargi par la construction d'une seconde nef et on y adjoint une tour.Détruite et reconstruite à de nombreuses reprises au cours des siècles, elle ne résista finalement pas, au XXéme siècle, au tassement de terrain causé par l'exploitation minière. Désaffectée depuis 1929, une partie fut démolie en 1945 pour faire place à l'église actuelle en néo-roman qui s'harmonise avec la tour, monument classé.
    La dernière construction a été consacrée en 1952.

     source : TrekEarth

    Jadis simple chapelle dépendant de Hollogne-aux-Pierres, elle fut en paroisse en 1842. Son lointain passé est connu grâce aux fouilles faites en 1942  et qui révèlent l'existence d'un oratoire pré-roman doté plus tard, au XIIème siècle, probablement d'une tour carrée. Cette tour est le seul vestige de l'ancienne construction. Agrandissement du choeur, de la nef et prolongement d'un nouveau choeur en 1887. Un nouveau vaisseau à trois nefs et choeur avec abside semi-circulaire fut édifié.

     source : kikirpa


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  •     La seigneurie de Mons, aux pays de Liège, appartenait dès avant le XIIIe siècle au chapitre de Saint-Lambert et relevait de la cour féodale de la Hesbaye.
        La Seigneurie avait une cour de justice.
        La commune de Mons-lez-Liège regroupa les seigneuries de Mons, Souxhon, Ruy, Crotteux-Saint-Martin et Crotteux-Saint-Pierre.
        Cette ensemble faisait partie de la paroisse de Hollogne-aux-Pierres.
        A Mons, un oratoire, dédié à la Vierge, fut ensuite reconstruit sous le patronage de Saint-Lambert. Il possédait un chapelain, sans doute dès le XVIe siècle.
        La chapelle de Souxhon, était dédié à Saint-Nicolas. Mons devient une paroisse en 1842.
        En 1345, on comptait à Mons une vingtaine de feux, 40 en 1474 et 115 en 1755.

    Le patrimoine monumental de la Belgique (Jean Remiche-1975)(Google Books)


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  • source : patrimoine.met.wallonie.be

    Dans le coin droit, en bas, on voit Bois-de-Mont, où habitait Jeanne-Catherine Collon, né 4 ans après Louis, et qui deviendra sa femme en 1873, et dont l'union donnera la même année l'arrivée au monde de Louis Martin Joseph Antoine.


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