• Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.313)

        Car tout ce qui nous porte atteinte doit nous rappeler une infraction que nous avons faite à la loi divine. Impossible qu'on nous cause la moindre souffrance, si nous sommes dans la vérité ; je l'ai révélé, si l'on pouvait nous atteindre dans la vérité, on pourrait atteindre Dieu.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.313


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  •     Ces fluides que nous saisissons à travers la matière sont des lois qui nous dirigent à notre insu dans le milieu même où nous les avons puisés, soit dans les ténèbres ou ailleurs ; si nos pensées ont été, pour notre semblable, agréables ou amères, c'est-à-dire à son avantage ou à son détriment, nous en serons réconfortés ou martyrisés suivant notre intention et notre nature plus ou moins éthérée.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Les lois se réduisent toutes à l'unité, p.249


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  •     Sachons que les lois ne sont l'ombre de nous-mêmes, de notre côté réel que reflète l'imperfection et nous les réduisons à l'unité au fur et à mesure que nous nous réduisons nous-mêmes à l'unité de l'ensemble où nous trouvons Dieu.
        Voilà comment nous sommes la loi, l'accusateur, le témoin et le juge de notre être.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.265-66


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, Les lois se réduisent toutes à l'unité (p.248)

        Toutes ces pensées sont autant de lois que nous nous imposons, car si même elles nous font viser notre semblable, nous en sommes les premiers l'esclave puisque c'est nous qui recourons aux fluides de ces pensées, désormais parties constitutives de notre atmosphère.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Les lois se réduisent toutes à l'unité, p.248


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        C'est le malheur qui fait le bonheur, car il est impossible de se considérer heureux si ce n'est d'avoir été malheureux.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.296


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  • Le Développement de l'OEuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.293-64)

     

        La vérité seule nous rend heureux, c'est en elle que réside le véritable amour. Seule l'erreur nous fait souffrir, elle nous donne une fausse vue qui nous montre le mal dans le bien et le bien dans le mal, elle dissimule ainsi notre nature, dans la pensée que nous serions plus heureux en paraissant ce que nous ne sommes pas.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.293-92


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  • Le Développement de l'OEuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.281-82)

        Voilà le rôle de l'intelligence qui nous fait apprécier tout contrairement à la réalité parce qu'elle ne perçoit qu'à travers la matière. Elle maintiendra cette conception aussi longtemps que nous ne comprendrons pas qu'on ne pourrait s'entretenir avec Dieu que par la conscience.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.281-82

      Sébastien Bourdon, Le Buisson ardent


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  •     Pour vous faciliter la compréhension de cette question, je vais faire une comparaison : admettez que vous soyez le soleil et que vos pensées se reflètent dans la lune ; ignorant qu'elles viennent de vous, vous prenez la lune pour Dieu et vous en faites des lois ; c'est en les imposant aux autres que vous vous les imposez de même, vous dites qu'elles viennent de Dieu, or Dieu c'est vous, votre côté réel par lequel vous vous dirigez, mais la lune, la matière qui est l'effet de votre doute, vous empêche de vous le persuader parce que l'intelligence que vous vous êtes développée vous rend autant redevable envers vos semblables que vous les avez imposée par les pensées qu'elle vous a suggérées.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.275


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  • Le Développement de l'OEuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.263)

        Dans cette question pas plus que dans tout autre il n'y a de miracle, dans le domaine matériel comme dans le domaine spirituel, tout repose sur des lois, il n'y a rien de surnaturel.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.263


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        Il a ainsi découvert une à une les lois qui nous divisent matériellement, mais réduite à l'unité elles sont converties à la loi morale vivante et agissante, régénératrice et rénovatrice, elle est la conscience universelle, Dieu, tout amour et toute miséricorde.

    L'Unitif n°11, p.4 - signé U. E.


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  •     Nous devons savoir qu'il y a aussi des épreuves qui viennent nous enlever si même nous avons une très grande foi, le médecin pourrait-il l'empêcher s'il est plus utile pour nous de nous désincarner, par exemple après avoir accompli tout notre progrès ici-bas ? il le pourrait bien moins encore que notre foi réelle.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous devons toujours respecter notre naturel, p.185-86


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  •     Quoique nous admettions qu'il existe dans l'au-delà une vie meilleure que celle-ci, vie dont nous ne pourrions jouir qu'en nous acquérant la simplicité, c'est à dire en rentrant en nous-mêmes autant que nous en sommes sortis par tout ce qui nous est superflu.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu, p.79.


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  • Le Développement de l'OEuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu (p.78-79)



        J'ai révélé que l'intelligence n'éprouve de jouissance que dans l'envie, qu'elle est insatiable, car plus elle possède plus grande devient sa passion et plus voudrait-elle posséder ; il lui est impossible de trouver dans ce qu'elle a de quoi être satisfaite et tout ce qu'elle na pas, elle le trouve nécessaire. Ah ! si elle n'enviait que ce qui l'est vraiment, elle nous rendrait ainsi autant heureux qu'elle nous prépare de bien grandes souffrances.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu, p.78-79

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'Envie par Giotto (1305)


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  • La Révélation, Le devoir impose la pratique des lois morales (p.107)

     

     

     

     

        Tout ce qui existe dans l'univers a toujours existé et rien n'y est changé. Pour tout savoir, il suffit à l'homme de s'élever moralement ; il touche à des fluides de plus en plus éthérés qui donnent la connaissance de la loi morale, nouvelle pour lui et pourtant aussi vieille que le monde puisque elle est dans la conscience, coéternelle à l'esprit qui n'évolue que par elle. Elle est la vérité, elle est la lumière : le reste n'est que de l'imagination et ténèbres.

    La Révélation, Le devoir impose la pratique des lois morales, p.107


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  •     J'ai dit que l'esprit est le vaccin, le virus qui nous inocule l'amour, la réalité, qu'il nous y rend assimilables mais qu'il en est l'obstacle quand nous voulons nous en pénétrer. Le jour où nous comprendrons que la matière n'est que de l'imagination de l'esprit, l'obstacle que l'on doit surmonter pour arriver au vrai bonheur, nous serons convaincus que le connais-toi est indispensable à celui qui veut se rendre compte de la réalité des choses.

    Le Développement de l'Enseignement du Père, De quelle façon pouvons-nous interpréter l'esprit, p.108


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  •     Je vais faire une comparaison qui vous permettra d'apprécier mieux encore comment nous interprétons toute chose par notre esprit ; je suppose que nous ignorions l'existence du soleil, parce qu'un brouillard qui n'est qu'un vice de notre vue nous le cache et nous voile sa lumière, nous prenons naturellement le brouillard pour celle-ci tandis qu'il en est l'obstacle. Aussi longtemps que nous aurons cette vue, il nous sera impossible d'apercevoir le soleil puisque c'est elle qui fait le brouillard. De même nous ne pourrions atteindre à la réalité par notre esprit puisqu'il ne nous éclaire que par les sens, la matière. Recherchons alors quoi que ce soit, nous ne pourrions rien percevoir que ce brouillard puisqu'il est dans la vue de l'esprit. Voila de quelle façon nous agissons, nous prenons nos sens, le brouillard qui est l'obstacle, pour la lumière et cette lumière nous empêche d'atteindre à la réalité des choses, elle nous permet seulement d'en percevoir les effets.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, De quelle façon pouvons-nous interpréter l'esprit, p.107


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  •     Comment convaincre quelqu'un de la non-existence de la matière quoique nous la palpions et voyions si clairement ? Je suppose un arbre, par exemple, un chêne. Avant de naître, il était recélé dans le gland. Mais ce gland à son tour d'où vient-ils ? Spirituellement il ne peut venir de rien et cependant, matériellement, il en est ainsi, puisque celui qui ne croit qu'à la matière, ne croit qu'au néant. Si pour notre intelligence la matière est palpable, n'est-ce pas par les sens qui ne sont que matière ? Pourrions-nous voir rouge avec des lunettes dont les verres seraient bleus ? D'où vient alors cette matière, puisque rien ne vient de rien ? Disons qu'elle est comme le chêne qui, il n'y a qu'un temps relativement court, n'était rien ; elle nous est apparue de la même façon, elle résulte à notre insu de notre imperfection, au fur et à mesure que nous nous en pénétrons.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'arbre de la science de la vue du bien, p.357


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  • Le Développement de l'OEuvre Révélée, L'arbre de la science de la vue du bien (p.351)

        Nous voyons dans cette histoire que Adam pose la première pierre à la science qui a la vue du mal, vue de la matière, qui raisonne tous les phénomènes de la pensée par le nombre, la qualité, la disposition des cellules cérébrales. Il n'y a rien d'étonnant à ce qu'elle en vienne à nier l'âme, le principe spirituel, puisqu'elle ne se base que sur cette matière il lui serait impossible d'admettre sérieusement rien qui soit en dehors d'elle.
        L'intelligence est le siège de toutes nos sensations, nos sens lui servent d'intermédiaire, c'est par eux qu'elle nous dirige matériellement, qu'elle fait ses découvertes scientifiques. Disons qu'ils sont les attributs de l'intelligence, de notre âme imparfaite, âme de la matière, opposée à la réalité. Cependant le progrès démontre que nous devons surmonter la matière pour atteindre au bonheur. Lorsque nous sommes arrivés à ce point, celle-ci n'existe plus pour nous et les sens n'ont plus de raison d'être. A quoi pourrait alors servir l'intelligence, si ce n'est à nous diriger matériellement ? Par conséquent, dire que nous devons surmonter la matière, c'est dire que nous devons surmonter les sens et par suite la faculté par laquelle nous y correspondons, l'intelligence.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'arbre de la science de la vue du bien, p.351


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous sommes tous des Dieux (p.93)

        Tout ce qui existe est éternel, rien n'a commencé ni rien ne finira, la création l'est également. On pourrait se demander où est la justice, puisque d'autres êtres ont pu jouir du véritable bonheur des milliards d'années avant nous. Mais nous ne devons pas ignorer que le temps et la distance n'existent que matériellement, tout ce qui est réel, est éternel, c'est-à-dire que le passé et l'avenir sont le présent. Rien ne tient de place dans l'univers ; l'amour n'y diminue pas, la vie qui en est la conséquence, pas davantage, rien ne s'agrandit ni ne s'amoindrit.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous sommes tous des Dieux, p.93


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, Comment nous devons prier et pouvons progresser (p.61)

        Prions qui nous voulons, nous ne faisons aucun mal en nous adressant à celui en qui nous avons foi. Voilà ce que je puis enseigner de la cause, je vais vous entretenir un instant des effets. Nous venons de dire que nous n'avons pas tous la même conception de la Divinité, que des enfants peuvent s'en faire une plus rapprochée de la réalité que celle de leurs parents. Eh bien ! notre manière de prier Dieu diffère selon cette conception qui elle-même varie suivant notre élévation. Les uns contemplent une figure humaine, les autres une lumière, d'autres encore un cercle, une étoile ou tout autre signe. Ces vues sont la preuve qu'ils persévèrent dans la prière. Il y en a qui ne se font aucune conception de la Divinité, il est rare qu'ils puissent s'acquitter de leur prière sans être distraits et obligés ainsi de la recommencer ; la plupart croiraient ne pas bien prier s'ils ne se plaçaient devant une image représentant Dieu ou ne s'agenouillaient devant un ou plusieurs cierges allumés. Nous avons dit que celui qui possède la foi trouve en lui tout ce qui peut lui être nécessaire, parce qu'il sait que Dieu n'existe qu'en nous, que tout ce que nous pouvons par elle, c'est Dieu qui le fait, nous agissons en toute sincérité par Lui. J'en conclus que tout croyant doit réciter les prières que sa conscience lui dicte. Nous n'ignorons pas que tout acte qui s'appuie sur celle-ci est vraiment la prière.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Comment nous devons prier et pouvons progresser, p.61


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