• Le Développement de l'OEuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu (p.78-79)



        J'ai révélé que l'intelligence n'éprouve de jouissance que dans l'envie, qu'elle est insatiable, car plus elle possède plus grande devient sa passion et plus voudrait-elle posséder ; il lui est impossible de trouver dans ce qu'elle a de quoi être satisfaite et tout ce qu'elle na pas, elle le trouve nécessaire. Ah ! si elle n'enviait que ce qui l'est vraiment, elle nous rendrait ainsi autant heureux qu'elle nous prépare de bien grandes souffrances.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu, p.78-79

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'Envie par Giotto (1305)


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  • La Révélation, Le devoir impose la pratique des lois morales (p.107)

     

     

     

     

        Tout ce qui existe dans l'univers a toujours existé et rien n'y est changé. Pour tout savoir, il suffit à l'homme de s'élever moralement ; il touche à des fluides de plus en plus éthérés qui donnent la connaissance de la loi morale, nouvelle pour lui et pourtant aussi vieille que le monde puisque elle est dans la conscience, coéternelle à l'esprit qui n'évolue que par elle. Elle est la vérité, elle est la lumière : le reste n'est que de l'imagination et ténèbres.

    La Révélation, Le devoir impose la pratique des lois morales, p.107


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  •     J'ai dit que l'esprit est le vaccin, le virus qui nous inocule l'amour, la réalité, qu'il nous y rend assimilables mais qu'il en est l'obstacle quand nous voulons nous en pénétrer. Le jour où nous comprendrons que la matière n'est que de l'imagination de l'esprit, l'obstacle que l'on doit surmonter pour arriver au vrai bonheur, nous serons convaincus que le connais-toi est indispensable à celui qui veut se rendre compte de la réalité des choses.

    Le Développement de l'Enseignement du Père, De quelle façon pouvons-nous interpréter l'esprit, p.108


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  •     Je vais faire une comparaison qui vous permettra d'apprécier mieux encore comment nous interprétons toute chose par notre esprit ; je suppose que nous ignorions l'existence du soleil, parce qu'un brouillard qui n'est qu'un vice de notre vue nous le cache et nous voile sa lumière, nous prenons naturellement le brouillard pour celle-ci tandis qu'il en est l'obstacle. Aussi longtemps que nous aurons cette vue, il nous sera impossible d'apercevoir le soleil puisque c'est elle qui fait le brouillard. De même nous ne pourrions atteindre à la réalité par notre esprit puisqu'il ne nous éclaire que par les sens, la matière. Recherchons alors quoi que ce soit, nous ne pourrions rien percevoir que ce brouillard puisqu'il est dans la vue de l'esprit. Voila de quelle façon nous agissons, nous prenons nos sens, le brouillard qui est l'obstacle, pour la lumière et cette lumière nous empêche d'atteindre à la réalité des choses, elle nous permet seulement d'en percevoir les effets.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, De quelle façon pouvons-nous interpréter l'esprit, p.107


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  •     Comment convaincre quelqu'un de la non-existence de la matière quoique nous la palpions et voyions si clairement ? Je suppose un arbre, par exemple, un chêne. Avant de naître, il était recélé dans le gland. Mais ce gland à son tour d'où vient-ils ? Spirituellement il ne peut venir de rien et cependant, matériellement, il en est ainsi, puisque celui qui ne croit qu'à la matière, ne croit qu'au néant. Si pour notre intelligence la matière est palpable, n'est-ce pas par les sens qui ne sont que matière ? Pourrions-nous voir rouge avec des lunettes dont les verres seraient bleus ? D'où vient alors cette matière, puisque rien ne vient de rien ? Disons qu'elle est comme le chêne qui, il n'y a qu'un temps relativement court, n'était rien ; elle nous est apparue de la même façon, elle résulte à notre insu de notre imperfection, au fur et à mesure que nous nous en pénétrons.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'arbre de la science de la vue du bien, p.357


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  • Le Développement de l'OEuvre Révélée, L'arbre de la science de la vue du bien (p.351)

        Nous voyons dans cette histoire que Adam pose la première pierre à la science qui a la vue du mal, vue de la matière, qui raisonne tous les phénomènes de la pensée par le nombre, la qualité, la disposition des cellules cérébrales. Il n'y a rien d'étonnant à ce qu'elle en vienne à nier l'âme, le principe spirituel, puisqu'elle ne se base que sur cette matière il lui serait impossible d'admettre sérieusement rien qui soit en dehors d'elle.
        L'intelligence est le siège de toutes nos sensations, nos sens lui servent d'intermédiaire, c'est par eux qu'elle nous dirige matériellement, qu'elle fait ses découvertes scientifiques. Disons qu'ils sont les attributs de l'intelligence, de notre âme imparfaite, âme de la matière, opposée à la réalité. Cependant le progrès démontre que nous devons surmonter la matière pour atteindre au bonheur. Lorsque nous sommes arrivés à ce point, celle-ci n'existe plus pour nous et les sens n'ont plus de raison d'être. A quoi pourrait alors servir l'intelligence, si ce n'est à nous diriger matériellement ? Par conséquent, dire que nous devons surmonter la matière, c'est dire que nous devons surmonter les sens et par suite la faculté par laquelle nous y correspondons, l'intelligence.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'arbre de la science de la vue du bien, p.351


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous sommes tous des Dieux (p.93)

        Tout ce qui existe est éternel, rien n'a commencé ni rien ne finira, la création l'est également. On pourrait se demander où est la justice, puisque d'autres êtres ont pu jouir du véritable bonheur des milliards d'années avant nous. Mais nous ne devons pas ignorer que le temps et la distance n'existent que matériellement, tout ce qui est réel, est éternel, c'est-à-dire que le passé et l'avenir sont le présent. Rien ne tient de place dans l'univers ; l'amour n'y diminue pas, la vie qui en est la conséquence, pas davantage, rien ne s'agrandit ni ne s'amoindrit.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous sommes tous des Dieux, p.93


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, Comment nous devons prier et pouvons progresser (p.61)

        Prions qui nous voulons, nous ne faisons aucun mal en nous adressant à celui en qui nous avons foi. Voilà ce que je puis enseigner de la cause, je vais vous entretenir un instant des effets. Nous venons de dire que nous n'avons pas tous la même conception de la Divinité, que des enfants peuvent s'en faire une plus rapprochée de la réalité que celle de leurs parents. Eh bien ! notre manière de prier Dieu diffère selon cette conception qui elle-même varie suivant notre élévation. Les uns contemplent une figure humaine, les autres une lumière, d'autres encore un cercle, une étoile ou tout autre signe. Ces vues sont la preuve qu'ils persévèrent dans la prière. Il y en a qui ne se font aucune conception de la Divinité, il est rare qu'ils puissent s'acquitter de leur prière sans être distraits et obligés ainsi de la recommencer ; la plupart croiraient ne pas bien prier s'ils ne se plaçaient devant une image représentant Dieu ou ne s'agenouillaient devant un ou plusieurs cierges allumés. Nous avons dit que celui qui possède la foi trouve en lui tout ce qui peut lui être nécessaire, parce qu'il sait que Dieu n'existe qu'en nous, que tout ce que nous pouvons par elle, c'est Dieu qui le fait, nous agissons en toute sincérité par Lui. J'en conclus que tout croyant doit réciter les prières que sa conscience lui dicte. Nous n'ignorons pas que tout acte qui s'appuie sur celle-ci est vraiment la prière.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Comment nous devons prier et pouvons progresser, p.61


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu (p.79)

        Si nous pouvons apprécier le véritable, nous apprécierons également que toutes les souffrances sans exception sont la conséquence du superflu. La raison ne le prouve-t-elle pas, dire "notre imperfection" n'est-ce pas dire "notre superflu" ? Si nous sommes imparfaits, n'est-ce pas désirer ce qui nous est pas nécessaire, croyant qu'il existe en dehors de nous un bonheur plus grand que celui de la simplicité ? Puissions-nous comprendre que nous ne souffrons qu'en voulant rester fidèles à la défaillance d'Adam, en imitant son exemple, en imaginant le bonheur qui est Dieu, en dehors de nous ! nous saurons de même ce qui est nécessaire et ce qui ne l'est pas. Car autant percevons-nous de bonheur en dehors de nous, moins éprouvons-nous le véritable qui est en nous et qui est Dieu.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu, p.79


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  • Le Développement de l'OEuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu (p.74)

        Nous avons parfois de nobles intentions, dont il pourrait résulter un grand bien, et nous les falsifions en en effectuant les actes à travers la matière, en nous appuyant sur notre intelligence qui y met toujours l'obstacle ; c'est elle qui nous fait dévier du vrai bonheur en nous en montrant un autre qui n'excite qu'en apparence et ne sera pour nous que déception car elle ne nous encourage à travailler à l'avancement de notre semblable que parce que nous y croyons le nôtre.

    Le Développement de l'Enseignement du Père, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu, p.74


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  •     C'est donc la méchanceté seule qu'il nous faut purger pour nous libérer.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.327


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.282)

    Le Développement de l'OEuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.282)

        Le « connais-toi » peut seul nous permettre de raisonner avec Dieu.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.282


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.325)

        Quand le mal ne sera plus en nous, nous ne donnerons plus prise sur nous. Nous le ressentons dans la mesure où nous le voyons et nous le commettons en proportion, si ce n'est extérieurement c'est intérieurement car il suscite la haine qui contrebalance notre amour.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.325


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  • Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous devons toujours respecter notre naturel (p.167)

    Le Développement de l'OEuvre Révélée, Nous devons toujours respecter notre naturel (p.167)

        Si pour tout ce qui arrive je vous renvoie à l'Enseignement, c'est que toute explication s'y trouve. Mais on peut se tromper en l'interprétant. Vous ai-je jamais enseigné que vous devez faire le bien ? au contraire, je suis allé jusqu'à vous dire de faire le mal et que vous deviez chercher plutôt à ne plus aimer. Mon Enseignement n'étant pas plus basé sur le bien que sur le mal, puisque l'un n'est pas plus réel que l'autre, je crois qu'on aurait tort de se plaindre à moi et de dire que certains adeptes agissent contrairement à ce qu'il proclame. Ne visons-nous pas ces personnes avec la vue du mal ? Vous oubliez sans doute que j'ai enseigné que nous devons toujours agir naturellement, voilà de quel façon vous devez me comprendre quand je vous dis : faites le mal alors que je démontre qu'il n'existe pas.

    Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous devons toujours respecter notre naturel, p.167.


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  •     Ce bon fluide fera réfléchir, il donnera aux adeptes plus de courage soit dans leur tâche de chaque jour, soit dans leurs rapports avec leurs semblables. Il y puiseront pour répandre la doctrine dont il ne suffit pas de parler entre soi ;  mais ils auront soin de préférer l'exemple à la parole car la forme n'est rien, ne l'oublions pas ; que ce soit la conscience qui démontre le devoir et agissons toujours suivant les principes que nous nous efforçons de propager. Si nos actes ne sont pas la consécration de notre langage, nous aurons bientôt démoli notre œuvre et nous encourrons de justes reproches.
        Voilà ce que nous enseigne notre philosophie. L'étudier ne sert de rien ; il faut la pratiquer pour en savourer les fruits et atteindre finalement au but que nous désirons.

    La Révélation, Être ou paraître, p.69


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  • La Révélation, Le désintéressement & la foi (p.51)

         C'est en s'améliorant qu'on découvre la valeur. Est-ce une raison d'étaler ce qu'on sait devant ceux qui ne peuvent encore ni comprendre ni agir ? Ce serait leur infliger un blâme et une souffrance, montrer fort peu de cœur, parce que ce serait les obliger. Nous devons plutôt les entraîner par la toute-puissance de l'exemple. Si nous avons le droit de prêcher quelque chose, c'est la liberté : c'est elle qui préparera l'avènement de la fraternité. Si je disais qu'il faut posséder les vertus, j'imposerais encore des lois. Mais tous ceux qui m'écoutent ne me comprennent que d'après leur entendement. S'il en est qui se bornent à la lettre, ce n'est que momentané ; ils arriveront insensiblement à l'esprit en s'assimilant le fluide de la pensée qui pourra y pénétrer.
    [...]
        Tous ceux qui comprennent l'enseignement le montreront en pratiquant tout d'abord l'indulgence, surtout envers les moins avancés qu'ils entraîneront par leur exemple. Si nous croyons que la charité est profitable et qu'elle procure du bonheur, hâtons-nous de la faire en toutes circonstances et n'attendons pas que l'on nous y engage. Mais gardons-nous de la solliciter pour d'autres, car la charité collective n'est pas un bien pour deux raisons : 1° celui qui la reçoit en est humilier et 2° celui qui y participe agit sans élan, sans feu sacré. Dans ces conditions le fluide de la vraie charité manque et nous savons qu'il est indispensable pour que notre acte nous soit profitable.
        En agissant ainsi, nous établirons insensiblement le règne de la liberté et de la fraternité, les forts aideront les faibles ; car la foi est agissante, elle nous convie au vrai banquet de la vie où tous nous serons rassasiés de l'amour de nos frères.

    La Révélation, Le désintéressement & la foi, p.51


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  • La Révélation, L'efficacité des lois morales (p.126)

        Nous savons que ne pas aimer ses ennemis, c'est ne pas aimer Dieu, qu'ils sont nos bienfaiteurs puisque leurs persécutions nous obligent à nous réformer. Grâce à leur vigilance, nous ne pouvons guère sortir des lois : ils nous rappellent tout de suite à la raison. Ce n'est pas tant l'enseignement qui nous fait progresser que l'opposition de ceux qui voudraient l'anéantir et qui ne parviennent qu'à lui donner plus de valeur. Ce qu'on appelle le bien et le mal constitue une solidarité indispensable pour tout ce que l'on peut proclamer.

    La Révélation, L'efficacité des lois morales, p.126


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  • La Révélation, Tout savoir c'est tout aimer (p.95)

        Si nous voulons nous pénétrer de l'enseignement, nous saurons que le bonheur auquel l'homme aspire découle de celui qu'il procure à ses frères, que son progrès a une cause solidaire. En travaillant isolément nous ne pouvons nous améliorer parce que nous sommes basés sur l'égoïsme. Ce n'est qu'en s'oubliant pour les autres, même en se privant parfois du nécessaire en faveur de plus malheureux qu'on peut se dire adeptes d'une doctrine qui doit être universelle, sans limites ni remparts. Plus d'adversaires dans ce cas si ce n'est momentanément et faute de se connaître. Pourrait-on renverser celui qui ouvre son cœur au prochain en le traitant en frère ? Non, l'arme levée tombe d'elle-même. Voilà le vrai moyen d'étendre notre enseignement et de jouir du grand bonheur d'aimer bien réellement. Avoir cette force, ce courage de tendre la main à celui qui se dresse contre nous et pour ainsi dire contre tout le monde, c'est lui offrir le salut, c'est dire : "Frère, tu vas être plus heureux, tu ne penseras plus comme tu l'as fait jusqu'à présent, tu viendras savourer avec nous le doux fruit de l'amour fraternel."

    La Révélation, Tout savoir c'est tout aimer, p.95


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  • La Révélation, Comment nous progressons (p.87)

    La Révélation, Comment nous progressons (p.87)

     La Révélation, Comment nous progressons (p.87)

    La Révélation, Comment nous progressons (p.87)

    La Révélation, Comment nous progressons (p.87)

        Acceptons-nous toujours l'épreuve avec plaisir et même en pratiquant la morale, valons-nous mieux que notre prochain ? Nous qui croyons diriger l'humanité vers un état plus heureux, sommes-nous certains d'y arriver nous-mêmes, puisque l'être le plus élevé est d'autant plus responsable et coupable ? Peut-il dire : "Je ne fais pas le mal ?" Celui qui veut montrer à ses frères le chemin de la vérité agit-il toujours sincèrement, et avec désintéressement ?
        Ne perdons jamais de vue, mes enfants, que sortir de la sincérité, c'est sortir de la vérité et par conséquent faire un mal. L'exemple est tout ; on ne devrait s'appuyer que sur l'amour parce qu'il est seul la base de toute puissance et de toute régénération. Cet amour naît de la foi et celle-ci est le fruit de notre expérience acquise par le travail moral. Si nous nous exprimons en toute sincérité, avec la bonne intention d'être utiles à nos semblables, ce n'est plus nous qui enseignons, c'est Dieu même, mais nous ne pouvons atteindre à Lui que par la foi qui est la clef de toutes les autres vertus.

    La Révélation, Comment nous progressons, p.87


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  • La Révélation, Être ou paraître (p.64)

        Il arrive que des personnes nous sont sympathiques ou antipathiques sans raison déterminée. Avoir trop d'amour pour les uns et en manquer pour d'autres, ce n'est pas aimer en réalité, car celui qui possède l'amour vrai ne cesse jamais d'aimer ; il affectionne indistinctement les uns et les autres ; s'il ne peut dire du bien de ses semblables, il y a une raison, mais du moins il n'en dira pas du mal.

    La Révélation, Être ou paraître, p.64


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