• Exemple d'habitations ouvrières en Allemagne

    Voici un exemple de maison ou bâtiment ouvrier typique d'Allemagne, à l'époque où Louis Antoine y était.

    Émile Muller et Émile Cacheux, Les habitations ouvrières en tous pays
    Berlin, maisons à étages (1879)
    source : gallica


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  •     A Barmen (aujourd'hui Wuppertal), les habitations d'une seule pièce sont dans la proportion de 62% et servent à 55% de la population (p.46).
        La plupart des habitations ouvrières ont été construites par des Sociétés dirigeaient par les villes et les Etats de la Prusse (en 1899, 356 sociétés de la sorte), les entreprises n'ayant pas anticipées le nombre d'ouvriers amenés à travailler pour elles. D'où une grande pénurie de logement : encore en 1900, à Berlin, près de 300 logements d'une seule pièce, avec ou sans cuisine abritaient 10 personnes (parfois plus) ; et presque 40.000 logements d'une seule pièce, avec ou sans cuisine, abritent généralement 4 personnes.
        Les problèmes pour ses sociétés sont le manque de terrain et les déficits, ce sont les villes qui prêtent donc l'argent aux Sociétés d'habitation. Quelquefois la ville prête le terrain en erbbau, c'est-à-dire en se réservant le doit de le reprendre, constructions y compris, avec une faible indemnité au bout d'un délai assez long, soixante-quinze ans en général (p.57).
        De ce fait, les ouvriers ne peuvent que rarement devenir propriétaire. C'est le cas par exemple à Francfort sur le Main. On construit en pleine ville de grands immeubles ou des groupes importants d'immeubles de dimensions moyennes, dans lesquels les ouvriers sont logés avec toute l'aisance et le confort nécessaires. Mais ces immeubles deviennent plus tard la propriété de la ville.
        Chacune des maisons de la Société de construction par actions pour petites habitations (qui malgré son titre, a presque toujours construit de grands immeubles pour plusieurs familles) est toujours destinée à abriter plusieurs familles, elles sont d'ailleurs groupées, elles ont des aisances communes, et si on les séparait l'une de l'autre elles perdraient une grande partie de leur valeur.
        Les habitants d'un même groupe d'immeubles achètent en commun le charbon et les pommes de terre, et les fonds nécessaires à ces achats sont avancés par moitié par la société, qui n'exige aucun intérêt pour ce crédit dont elle est remboursée par acomptes mensuels et en même temps que les loyers.
        Les maisons de cette société sont pourvues de bains, de buanderies, de blanchisseries, jardins d'agrément et salles de réunion. Des bibliothèques portatives entretenues par les fonds de bienfaisance circulent d'un groupe à l'autre.
        Le loyer mensuel est de 23,06 marks en moyenne par famille, chaque famille disposant de deux pièces, d'une cuisine, d'un water-closet, d'une cave et d'une mansarde : la surface d'un appartement est de 22 mètres carrés. Auparavant ces locataires payaient 25 marks par mois et étaient logés dans des conditions très défectueuses au point de vue de l'hygiène et du confort.
        La société a pour objet d'abord la gestion des épargnes des sociétaires, ensuite la construction, l'acquisition et la gestion de maisons d'habitations qui restent la propriété de la société dont la plupart des membres sont des ouvriers.
        La ville a, par exemple, construit 65 maison contenant 356 logements. Ces immeubles ont coûté 3 millions 810.000 marks et le produit des loyers qui varie de 200 à 600 marks, atteint 121.803 marks correspondant (déduction faite des frais d'entretien) à un intérêt de 3.50 % du capital engagé.
        Dans la plupart des grandes villes allemandes, les services d'eau, de gaz, d'électricité, d'enlèvement et de destruction des ordures ménagères sont assurés par la municipalité.
        Seulement en 1902, fut constituée la Société allemande des cités-jardins, dont le but est de fournir aux ouvriers une petite maison occupée seulement par l'ouvrier et par sa famille, et autour de laquelle s'étendent des jardins qui, indépendamment des produits potagers qu'ils peuvent procurer, permettent aux enfants de prendre leurs ébats (p.74). En 1908, la première société de cités-jardins s'instituait à Hellerau, près de Dresde (ceux-ci existent toujours).
        Entre Duisburg et Ruhrort, en 1881 circulait déjà un Pferdebahn (un tramway à locomotion chevaline) dans la Ludwigstraße (construite en 1857) et la Bergiusstraße. Le tramway a été électrifié en 1898.

    Henri Biget, Le logement de l'ouvrier, 1913
    source : Gallica


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  •     In den Städten kommt der Wohnungsbau dem Bedarf nicht hinterher: Ganze Familien pferchen sich in ein einziges Zimmer, vermieten manchmal sogar das letzte freie Bett an einen sogenannten Schlafgänger. Die Toilette im Treppenhaus teilt man sich mit den Mietern von nebenan. Noch dazu sind die Arbeitsbedingungen in den Fabriken oft unvorstellbar hart: 1872 liegt die durchschnittliche Wochenarbeitszeit bei 72 Stunden; in vielen Branchen wie etwa der gerade entstehenden Chemieindustrie gibt es so gut wie keinen Gesundheitsschutz.
        Schon fürchten Fabrikbesitzer und die Politik den Aufstand - und reagieren. Reichskanzler Bismarck etwa verfolgt eine zweigleisige Strategie. Einerseits will er mit dem Sozialistengesetz von 1878, einem umfassenden Verbot sozialdemokratischer Organisationen, die Arbeiterbewegung schwächen; andererseits lindert er die schlimmsten Nöte mit einer Sozialgesetzgebung, die europaweit vorbildlich ist: Seit 1883 gibt es in Deutschland eine Krankenversicherung, seit 1884 eine Unfallversicherung, bald kommen noch Invaliditäts- und Rentenversicherung dazu. Parallel dazu rufen viele Unternehmen ihre eigene betriebliche Sozialpolitik ins Leben.


        Dans les villes, la demande de logements ne suivent pas : des familles entières se tassent dans une pièce, en laissant parfois même la possibilité de louer le dernier lit pour le dénommé le "venant dormir". Les toilettes dans le couloir se partagent avec les locataires d'à côté. En outre, les conditions de travail dans les fabriques sont souvent incroyablement difficile : en 1872, la semaine moyenne de travail est de 72 heures, mais dans de nombreux secteurs, y compris l'industrie émergente de produits chimiques, il n'existe presque pas de protection de santé.
        Même les propriétaires de l'usine et les Politiques craignent l'insurrection - et ils y répondent. Le chancelier Bismarck à propos poursuit une double stratégie concertée. D'une part, il veut affaiblir les lois socialistes de 1878, une interdiction complète des organisations sociales-démocrates, le mouvement ouvrier ; de l'autre, il soulage les pires troubles. Avec la législation sociale, l'Europe est exemplaire: Depuis 1883, il existe une assurance maladie en Allemagne, depuis 1884, une assurance sur les accidents, suivent l'assurance d'invalidité et l'assurance pension. En parallèle, de nombreuses entreprises forment leurs propre politique sociale sur la vie.

    source : http://www.planet-wissen.de/politik_geschichte/wirtschaft_und_finanzen/industrialisierung/index.jsp


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  •     Jean Leplat, de Seraing lui parle d'un article de la Meuse, "où l'on disait que la main d'oeuvre se faisait rare dans la région du Rhin et de la Roer : les Prussiens avaient eu trop de leurs ouvriers pris pour la guerre, et c'était au point qu'ils faisaient travailler des prisonniers français dans leurs fabriques."
    Robert Vivier, Délivrez-nous du mal, p.86
     
        "Cela n'avait pas été difficile. On demandait justement des hommes pour aller à Ruhrort, en Prusse rhénane, où il y avait des usines de la société Cockerill."
    Robert Vivier, Délivrez-nous du mal, p.94


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  • CORRESPONDANCE

    PATRONS ET OUVRIERS DANS LE BASSIN DE LA RUHR

        Depuis qu'un cours d'économie politique a été créé à l'École des Mines et confié à M. Cheysson, les élèves ingénieurs doivent, dans leurs journaux de mission, faire une part aux observations sociales. M. Fèvre, élève ingénieur, sur le désir exprimé par la Société d'économie sociale, et conformément au programme préparé par M. Cheysson, a étudié les populations du bassin de la Ruhr. En attendant le résultat complet de son enquête, nous détachons de sa correspondance quelques fragments qui intéresseront assurément les lecteurs de la Réforme sociale.
                                                                                                        A. D.

                    Gelsenkirchen, 14 octobre.
        La population dans le bassin de la Ruhr se compose en majeure partie d'ouvriers émigrés de différentes parties de l'Allemagne, principalement des provinces voisines (Westphalie, Nassau, etc.) et aussi de la Silésie et de la Pologne. Elle se fait remarquer par son esprit religieux : catholiques et protestants accomplissent les devoirs de leurs cultes, et sont sincèrement croyants. Les députés qui les représentent au Reichstag sont, l'un clérical, l'autre « démocrate chrétien ». Le socialisme n'a guère pénétré ici. Tout au contraire, les gens me paraissent encore profondément empreints de ce sentiment inné de la hiérarchie sociale qui m'a frappé en Allemagne ; ils ont du respect pour leurs patrons, et me semblent vivre en bonne intelligence avec eux.
        Ceux-ci d'ailleurs ont assez souvent fait beaucoup pour leurs ouvriers. On a construit un grand nombre de maisons ouvrières, qui sont toujours remplies; on a fondé des économats, qui livrent les marchandises au prix d'achat (et au comptant); on donne le charbon à prix réduit. Dans beaucoup d'exploitations existent aussi, à côté des caisses obligatoires d'assurances, des caisses supplémentaires de secours, alimentées surtout par des subventions des compagnies, et qui viennent augmenter, et quelquefois dans une proportion considérable, les secours fixés par la loi.
        Un assez grand nombre d'ouvriers ont aussi leurs maisons à eux, qu'ils ont bâties avec leurs épargnes,et dont ils louent une partie à des camarades. Ceci contribue naturellement à rendre ces ouvriers stables, et attachés à une exploitation.
        Quant à ce qui concerne les lois d'Empire sur l'assurance obligatoire, elles ont été en général et sont toujours regardées d'un bon oeil et par les exploitants et par les ouvriers. Elles ont d'abord le mérite d'être très pratiques, en ce qu'elles coupent court à la plupart des procès, qui auparavant intervenaient constamment entre le patron et l'ouvrier, celui-ci prétendant que la cause de l'accident se trouvait dans une négligence du patron ou d'un de ses employés. M. Ichon dit, dans son article paru dans les Annales des Mines, que ces procès étaient beaucoup plus rares dans l'industrie des mines que dans les autres, a cause de l'existence des caisses de Knappschaft, qui donnaient un secours à l'ouvrier. Mais ce secours accordé n'enlevait pas à l'ouvrier son droit à une indemnité plus forte, si celle-ci était réellement due par le patron, et n'empêchait pas les procès, du moins d'après le témoignage des exploitants de ce district, procès donnant lieu naturellement à des débats irritants. Aussi leur suppression me paraît avoir été très favorablement accueillie des deux côtés, et avoir été un des principaux éléments de succès des nouvelles lois.
        Les patrons ont à supporter, d'après celles ci, d'assez lourdes charges. Mais ils paraissent encore préférer cela aux procès auparavant engagés en vertu de la loi de responsabilité (Haftpflicht) de 1871.  Du reste ils contribuent encore souvent à des caisses de secours non obligatoires (Unterstutzungkassen), spéciales à chaque exploitation.
        Quant aux ouvriers, ils se sentent, suivant leur expression, « plus libres», mais non dans ce sens qu'ils sont plus indépendants de leurs patrons et se croient dégagés envers eux de toute reconnaissance, mais en ce qu'ils peuvent envisager l'avenir avec plus de sécurité, et appliquer leurs épargnes à leur bien être, sans crainte de les voir, à un moment donné, se fondre dans leurs mains, si le mari devient incapable de travailler.
        En somme, et dans les conditions de bonne intelligence régnant actuellement ici entre les patrons et les ouvriers, les lois d'assurance obligatoire ont été favorablement accueillies des deux côtés, et regardées comme un bien.
        Quant à la transformation des anciennes Knappschaftskassen, voici comment elle a eu lieu en général. Dans les ressorts correspondant aux anciennes, se sont fondées les caisses de maladie (Krankenkassen), qui sont plutôt une dérivation des anciennes caisses qu'une fondation nouvelle. Les anciennes Knappschaftsvereine subsistent toujours, mais n'ont plus à s'occuper que des pensions de retraites, et des secours à accorder aux veuves et aux orphelins (dont le chef de famille n'est pas mort à la suite d'un accident).
        A cet effet, plusieurs anciennes sociétés se sont quelquefois réunies en une seule (ainsi dans le Harz). Ces deux caisses (de maladie et de Knappschaft) ont des comptabilités distinctes, mais conservent la même administration, sauf dans le Hartz où la séparation est complète.
        Enfin vient la caisse d'assurance contre les accidents. A cet égard tous les exploitants de mines de l'Allemagne forment une vaste et unique association professionnelle. Celle-ci est divisée en 8 sections, dont la Westphalie forme la seconde. Les exploitations doivent être rangées dans des catégories différentes, quant au taux de leur contribution, catégories établies suivant les risques; ceux-ci seront d'ailleurs probablement indiqués par les accidents arrivés dans les dernières années. Mais ces tableaux ne sont pas encore fixés.
        L'ouvrier n'a qu'une crainte au sujet de la loi d'assurance contre les accidents, crainte relative à l'exécution de la loi. Il peut arriver en effet que des ouvriers blessés dans la mine, mais encore capables de travailler, deviennent prématurément invalides par une suite indirecte de leur blessure, et retombent ainsi à la charge de la Knappschaftskasse. Les exploitants ont tout intérêt à en augmenter le nombre le plus possible, et c'est dans ce sens que les ouvriers redoutent quelques abus. Mais quant à l'esprit même de la loi, ils le trouvent excelent. C'est aussi l'avis des exploitants, et tant que dureront les bonnes relations existant actuellement, il me semble que le fonctionnement des caisses se fera sans beaucoup de difficultés, et aura plutôt pour effet de maintenir cette bonne intelligence que de l'altérer. L'ouvrier n'est pas en effet ici, comme l'ouvrier français, mécontent de sa position et visant toujours plus haut. Il ne songe pas à s'élever au-delà. Et pourvu qu'on lui procure les moyens de gagner sa vie en lui permettant par des mesures protectrices analogues aux caisses d'assurances de dépenser ce qu'il gagne, et d'être dégagé de tout souci d'épargne, c'est tout ce qu'il demande.
        Sans doute ceci n'est point fait pour encourager la prévoyance. Mais l'ouvrier ne pense pas si loin. Qu'il soit sûr de vivre, sans avoir à craindre de trop grosses difficultés à un moment donné, c'est tout ce qu'il demande. Resterait à voir d'ailleurs si un système de liberté encouragerait effectivement beaucoup plus l'épargne. Car ceux des ouvriers qui ont l'esprit de prévoyance, peuvent amasser maintenant en toute sécurité, et appliquer l'argent ainsi mis de côté à acheter une maison ou un jardin, etc.
        En un mot le système n'empêche pas l'épargne ; il en restreint seulement le but, tout en lui donnant plus de sécurité.
        Ceci, direz-vous, ressemble bien un peu à un panégyrique. Mais j'avoue que je suis arrivé ici avec des idées un peu préconçues, et que le spectacle que j'y ai trouvé de patrons unis pour le bien des ouvriers, et d'ouvriers attachés à leurs patrons et à leur métier, ne perdant point leur temps ni leur esprit en récriminations stériles, m'a réchauffé le coeur, et m'a rendu un peu enthousiaste.
    Agréez, etc...
                                          L. FÈVRE.

    Les Études sociales : organe de la Société des études pratiques d'économie sociale et de la Société internationale de science sociales
    1886/07 (A6,SER2,T2)-1886/12.  (p.488)
    source : gallica


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  •     Aujourd'hui, plus de 10 millions d'ouvriers sont répartis en 3 millions et demi d'exploitations industrielles, dont 19,000 plus importantes avec 3 millions d'ouvriers et 255 entreprises géantes, avec 430,000 employés (plus de 1,000 chacune). L'industrie en chambre, dont les quatre cinquièmes s'emploient au lissage, à la papeterie, à l'habillement, occupe 430,000 personnes, pour moitié des femmes. Si au développement de la
    main-d'oeuvre, s'ajoute la puissance des machines tous les jours croissante, l'on arrive pour toute l'industrie à une capacité de travail vraiment colossale.
        On industrialise même la terre : fromageries et laiteries compensent le bas prix des céréales; de grands espaces sont donnés à la culture de la  betterave; raffineries et distilleries se multiplient. Cependant il faut demander à l'importation les denrées alimentaires qui font défaut, des céréales, des produits agricoles de tout genre, légumes, semences, jusqu'à des pommes de terre, du bétail, moutons et porcs, etc. On mange ferme là-bas : le pain manque à côté des montagnes de sucre et des ruisseaux d'alcool. Les deux cinquièmes de la population industrielle de l'Allemagne sont à la merci des Etats producteurs mieux pourvus. Cependant on continue à se ruer vers les villes; les usines deviennent des villages qui se soudent entre eux et forment des agglomérations colossales,
    comme Elberfeld-Barmen, ce grand emporium de 157,000 et 142,000 habitants, qui s'entasse dans la vallée de la Wupper, sur une longueur de 8 kilomètres, là où jadis végétaient
    quelques pauvres bourgades. On se presse, on se hâte, et dans cette région de la Wupper et de la Ruhr, les manufactures coudoient les fonderies, les ronflements des métiers se mêlent aux éclats des forges : c'est partout un fourmillement, une fureur de vivre. Ruhrort est la grande porte de sortie de cet enfer industriel sur le Rhin. C'est une
    tête rayonnante et, dans toute sa beauté, l'enchevêtrement des hommes et du fer.

    Paul Jousset, L'Allemagne contemporaine illustrée (1901), p.168
    source: gallica


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  • source : deutschefotothek.de


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  •     Louis Antoine habita, selon Pierre Debouxhtay, dans la Vohwinkelstraße au numéro 6. Si l'ordre des numéros est resté le même, le bâtiment devait être en haut de la rue. La maison à disparu : il n'y a plus de numéro 6. L'usine où Louis Antoine travailla à Meiderich est en bas de l'image. Il travailla certainement dans la même usine quand il habitait Ruhrort, qui se trouve plus bas.


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  •     C'est maintenant un parc, oui, oui, pour se promener avec les enfants. Du temps de son activité, ce n'était pas fait pour la famille, mais pour les travailleurs de l'acier de Duisburg-Nord, dans la ville de Meiderich. Cela donne un aperçue de la vie de ces ouvriers métallurgiques : il manque le bruit, la chaleur, l'effort renouvelé chaque jour, la fatigue, la cadence, les chefs, le manque d'argent...

    pour en savoir plus : article wikipedia en allemand


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