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Par antoiniste le 9 Octobre 2009 à 10:43
Duisburg ist bis heute das bedeutendste Zentrum der Stahlindustrie in Mitteleuropa und verfügt über die größte Ausdehnung an Produktionsstätten dieses Bereichs weltweit.
Mittlerweile stehen sämtliche der sieben im Ruhrgebiet betriebenen Hochöfen in Duisburg. Etwa die Hälfte des in Deutschland erzeugten Roheisens und ein Drittel des Rohstahls werden in Duisburg produziert.
Alle Schachtanlagen, die zumeist im Duisburger Norden und dem heutigen Duisburger Westen lagen, sind nun geschlossen.
Durch den Strukturwandel in der Stahlindustrie kam es zu einem erheblichen Arbeitsplatzabbau. Noch in den 1960er Jahren zählte die Stadt zu jenen mit den höchsten Pro-Kopf-Steuereinnahmen in der Bundesrepublik. Gab es damals noch fast 70.000 Stahlarbeiter, so sind heute davon lediglich 16.000 übrig geblieben.
Die Zahl der sozialversicherungspflichtigen Arbeitsplätze ist so von knapp 280.000 auf nur noch 150.000 gesunken, so dass die Stadt heute noch in Folge dessen unter einer überdurchschnittlichen Arbeitslosigkeit leidet.
Die Zahl der sozialversicherungspflichtigen Arbeitsplätze entspricht nicht einmal einem Drittel der Einwohner Duisburgs. Damit liegt die Stadt auf dem gleichen Niveau wie Essen (0,3 Arbeitsplätze pro Einwohner). In der Nachbarstadt Krefeld beispielsweise kommen 0,67 Arbeitsplätze je Einwohner. Sie hat damit absolut sogar mehr Arbeitsplätze als Duisburg.source : https://de.wikipedia.org/wiki/Duisburg
Traduction :
Duisbourg est toujours le centre le plus important de l'industrie sidérurgique en Europe centrale et possède la plus grande expansion des installations de production dans ce secteur au monde.
Les sept hauts-fourneaux exploités dans la région de la Ruhr sont maintenant situés à Duisburg. Environ la moitié de la fonte brute produite en Allemagne et un tiers de l'acier brut sont produits à Duisburg.
Toutes les mines, dont la plupart étaient situées au nord et à l'ouest de Duisburg, ont maintenant été fermées.
Les changements structurels dans l'industrie sidérurgique ont entraîné d'importantes pertes d'emplois. Dans les années 1960, la ville avait encore l'une des recettes fiscales par habitant les plus élevées d'Allemagne. Alors qu'il y avait près de 70 000 travailleurs de l'acier à l'époque, il n'en reste plus que 16 000 aujourd'hui.
En conséquence, le nombre d'emplois soumis aux cotisations d'assurance sociale est passé d'un peu moins de 280 000 à un peu plus de 150 000, de sorte que la ville souffre toujours d'un chômage supérieur à la moyenne.
Le nombre d'emplois soumis aux cotisations d'assurance sociale ne correspond même pas à un tiers de la population de Duisburg. Cela place la ville au même niveau qu'Essen (0,3 emploi par habitant). Dans la ville voisine de Krefeld, par exemple, il y a 0,67 emploi par habitant. En termes absolus, elle compte donc encore plus d'emplois que Duisbourg.
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Par antoiniste le 20 Avril 2009 à 13:45
Auf dem Hüttenplatze der Gesellschaft „Phoenix“ wimmelt es, wie im Ameisenhaufen, von Bau- und Hüttenarbeitern. Große Ziegelöfen, sie sollen mehrere Millionen Ziegelsteine enthalten, sind zum Theil ausgebrannt, zum Theil noch in voller Glut und liefern die erforderlichen Steine. Zu den vorhandenen Bauhandwerkern werden gegenwärtig noch an 100 Mauerer gesucht, und da dieselben in der Gegend schwer zu haben sind, beabsichtigt die Direktion, Wallonen kommen zu lassen. Heute sieht man wieder ganze Scharen Belgier in kurzen Kitteln, ob es Hüttenarbeiter oder Maurer sind, weiß ich nicht, die die Straßen des Ortes durchziehen, sie scheinen bei der Hochofenanlage beschäftigt werden zu sollen. Die Gesellschaft will für die Wallonen, welche nur Französisch reden, eine eigene Kirche, Schule, und für sämtliche Arbeiter ein Krankenhaus erbauen; auch ist ein Arzt für die Arbeiter angestellt. Bis jetzt sendet sie die gefährlichen Kranken ins Krankenhaus der Diakonissenanstalt nach Duisburg, wo sie auf ihre Kosten verpflegt werden.
Auf dem Werke sind bereits 3 Hochöfen und an 20 Puddelöfen seit einiger Zeit in Betrieb, 3 neue Hochöfen werden bald fertig sein, und in wenigen Monaten angeblasen werden. Die erforderlichen Maschinen, welche das Gebläse für die 6 Hochöfen treiben sollen, sind größtentheils vollendet, auch sind bereits eine Anzahl von Koaksöfen angezündet. Diese haben eine eigenthümliche Konstruktion, es sind nämlich 2 Reihen Oefen über einander errichtet. Die Einrichtung soll den Vortheil haben, das die obern Oefen noch die Hitze der untern erhalten. Zu der vorhandenen Kesselschmiede wird jetzt eine mechanische Werkstätte und eine Schlosserei erbaut, damit sämmtliche Maschinentheile des Werkes gleich hier angefertigt werden, wenigsten 200 Schmiede Beschäftigung finden.
Eine Eisenbahn führt von Süden nach Norden an der westlichen Gränze des Werkes vorbei, gegenwärtig wird eine Eisenbahn von der Ruhrorter Zweigbahn aus nach der Mitte des Hüttenplatzes angelegt.
Die Gesellschaft läßt auf der rechten Seite der Emscher Wohnungen für die Arbeiter errichten, 3 Häuser, jedes zu 4 Wohnungen, sind bereits vollendet, ein Landmann zu Stockum baut ebenfalle tüchtig, und doch findet die Menge der fremden Arbeiter hier im Orte kein Unterkommen, sie muß sich in der Umgegend einmiethen.
Die Direktion hat Eile das ganze Werk in Betrieb zu setzen, um das erforderliche Roheisen producieren zu können, für die nächsten 3 Monate hat sie sämmtliches Masseleisen, welches die Hochöfen bei Duisburg und Hochdahl fabricieren angekauft.
Unser Ort erhält aber bei alledem ein fremdartiges Aussehen, der ernste sittige Sinn der Väter schwindet und macht dem leichtfertigen Wesen der Fremdlinge Platz. Die Sache hat also auch eine Schattenseite.Historie »Phoenix« Stahlwerk in Ruhrort (Blickpunkt Ruhrort N°4 - 2009)
source : http://www.ruhrort.de/index.php?option=com_content&task=view&id=115&Itemid=53
Traduction :
Le site de l'entreprise "Phoenix" regorge d'ouvriers de la construction et de fabrique, comme dans une fourmilière. Les grands fours à briques, qui sont censés contenir plusieurs millions de briques, sont en partie brûlés, en partie encore en pleine lumière et fournissent les pierres nécessaires. En plus des ouvriers de la construction existants, 100 maçons sont actuellement recherchés, et comme ils sont difficiles à avoir dans la région, la direction a l'intention de faire venir des Wallons. Je ne sais pas s'il s'agit de fondeurs ou de maçons, ils traversent les rues de la ville, ils semblent être employés à l'usine du haut fourneau. La société veut construire une église, une école et un hôpital pour les Wallons, qui ne parlent que le français, et un médecin pour les ouvriers. Jusqu'à présent, elle a envoyé les malades dangereux à l'hôpital de la Diakonissenanstalt à Duisburg, où ils sont nourris à ses frais.
L'usine compte déjà 3 hauts fourneaux et 20 hauts fourneaux en service depuis un certain temps, 3 nouveaux hauts fourneaux seront bientôt terminés et seront mis en service dans quelques mois. Les machines nécessaires à l'entraînement de la soufflante des 6 hauts fourneaux sont en grande partie achevées et un certain nombre de fours à coke ont déjà été mis à feu. Ceux-ci ont une construction particulière, parce qu'il y a 2 rangées de fours construits l'un au-dessus de l'autre. L'équipement doit avoir l'avantage que les fours supérieurs reçoivent encore la chaleur des fours inférieurs. En plus de la chaudronnerie existante, un atelier mécanique et une serrurerie seront construits, de sorte que toutes les pièces de la machine puissent être fabriquées sur place et qu'au moins 200 forgerons trouvent un emploi.
Une ligne de chemin de fer va du sud au nord au-delà des limites occidentales de l'usine et une ligne de chemin de fer est en cours de construction entre la voie de service de Ruhrort et le centre de la place de la fabrique.
L'entreprise fait construire des appartements pour les travailleurs sur le côté droit de l'Emscher, 3 maisons, chacune avec 4 appartements, ont déjà été achevées, un habitant de Stockum construit aussi bien, et pourtant la foule des travailleurs étrangers ne peut pas trouver refuge ici dans le village, ils doivent louer un logement dans les environs.
La direction est pressée de mettre en service l'ensemble de l'usine pour produire la fonte brute nécessaire. Pendant les 3 prochains mois, elle a acheté toute la fonte brute fabriquée dans les hauts fourneaux de Duisburg et Hochdahl.
Notre ville, cependant, prend une apparence étrange, le sens sérieux des pères disparaît et cède la place à la nature frivole des étrangers. C’est là tout le revers de la médaille.
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Par antoiniste le 6 Avril 2009 à 14:39
30 Jahre lang hat Jürgen Dreide im Hüttenbetrieb Duisburg-Meiderich gearbeitet. Jetzt führt er bereits seit mehr als einem Jahrzehnt Besucher durch "seine" Hütte. "Ich kann mich einfach nicht trennen", sagt Dreide.
Ein Beitrag von Michael Jung
Passion des haut-fourneaux d'usine - MEDIATHEQUE régionale - WDR.de
Durant 30 ans, Jürgen Dreide a travaillé dans le chalet d'exploitation Duisburg-Meiderich. Maintenant, il dirige depuis plus d'une décennie les visiteurs par "son" fourneau. "Je ne peux pas m'en séparer", dit Dreide.
Une contribution de Michael Jungsource : http://www.wdr.de/mediathek/html/regional/2008/06/21/a40_04.xml
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Par antoiniste le 6 Avril 2009 à 14:09
Un polar sorti l'année dernière en Allemagne, nous donne des indications sur la vie des ouvriers wallons émigrés à Ruhrort et Meiderich.
La rouge de la lune, de Silvia Kaffke, raconte l'histoire d'une jeune fille habitant Ruhrort en 1856. Je suis impatient de lire le livre pour vous communiquer un peu des morceaux de vie de ces ouvriers wallons dans la région Ruhr de cette époque. Cela pourra permettre de connaître un peu mieux le parcours de Louis Antoine.
En primauté, sur les articles que j'ai consulté, j'ai trouvé deux informations :
1° Dans une maison, à l'époque, pouvait habitait 100 personnes (source : http://kaffkescrimes.blogg.de/eintrag.php?id=97), bien sûr, il s'agit de maison comme on en voit encore beaucoup dans les quartiers ouvriers dans les grandes villes allemandes de la Ruhr, par exemple à Dortmund et bien sûr Meiderich (Duisburg).
2° Comme on pouvait s'en douter, la venue de beaucoup d'ouvriers étrangers, qualifié, dans les usines de métallurgie, était très mal vue par la population (source : http://www.derwesten.de/nachrichten/nachrichten/panorama/2008/8/14/news-69298109/detail.html). Ayant été formé en Belgique dans les Usines Cockerill, les ouvriers wallons, émigrant, devaient certainement recevoir des salaires supérieurs à la population locale qui devait se contenter des travaux subalternes, à des salaires minimes. C'est la raison pour laquelle Louis Antoine a pu "faire fortune" à l'étranger, et revenir avec une somme lui permettant de faire construire quelques maisons et le temple de Jemeppe.
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Par antoiniste le 29 Janvier 2009 à 20:00
Meiderich, où résidèrent Louis Antoine et sa femme, où son fils à passé ses toutes premières années.
source : Google Maps
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Par antoiniste le 29 Janvier 2009 à 19:58
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