• La Révélation, Nous ne pourrions posséder ni la foi ni l'amour sans les acquérir par la pratique de la charité (p.130)

       Nous savons que nous avons notre conscience pour guide et Dieu pour soutien.

    La Révélation, Nous ne pourrions posséder ni la foi ni l'amour sans les acquérir par la pratique de la charité, p.130


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        Celui qui pratique mon Enseignement est au-dessus de la loi, parce que ce n'est pas elle qui le dirige mais bien l'amour.

    Développement de l'Enseignement du Père, Comment on doit interpréter tout ce qui a été révélé, p.194


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  • La Révélation, Le Devoir impose la pratique des lois morales (p.113-14)    L'homme voit toujours mieux qu'il ne peut faire et s'efforce de paraître ce qu'il n'est pas. Il est vrai que vouloir donner plus qu'on ne possède, c'est déjà comprendre le progrès et y aspirer. Notre préparation à cet effet nous procure une telle réjouissance que nous nous croyons déjà au but et aimons de nous y montrer longtemps avant d'y être. Nous ne pensons pas mal faire, le monde agit ainsi généralement parce que le point de mire est la bonté suprême et qu'on affecte volontiers de la posséder.

    La Révélation, Le Devoir impose la pratique des lois morales, p.113-14


        Nous sommes déjà dans la vérité, mais notre degré d'évolution met un voile plus ou moins épais sur celle-ci. Avec patience et résignation, nous atteindrons l'unité absolue de l'ensemble. La vérité existe puisque nous voulons y arriver, sachons la cueillir en nous-même et ne cherchons pas à y arriver, cela serait de l'acharnement.
        Le mot "vérité" est le dernier mot de l'Auréole de la Conscience. La vérité est au bout du chemin. Et nous sommes sur le chemin, nous pouvons l'apercevoir, et nous l'atteindrons.


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  • La Révélation, Le Devoir impose la pratique des lois morales (p.113)

        C'est l'ignorance qui cause le parti pris.

    La Révélation, Le Devoir impose la pratique des lois morales, p.113


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        Vaudrait-il mieux ne rien dissimuler de ses défauts ? Je ne le pense pas. Tout a son bien et son mal. Nous sommes encore si imparfaits qu'une complète sincérité exciterait tout autour de nous l'antipathie et le mépris. Le voile qui nous couvre est donc plutôt heureux. Seulement il peut n'être que transparent et comme je l'ai déjà dit, en voulant nous montrer ce que nous ne sommes pas, nous montrons ce que nous sommes réellement. C'est encore une faiblesse qui nous pousse à vouloir paraître honnêtes, polis, afin d'éviter un plus grand fardeau par la haine et la vengeance de nos semblables ; nous croyons toujours être plus heureux par l'amour des autres que par le nôtre. Cependant nous sommes grandement dans l'erreur, c'est plutôt le moyen de se décourager car la moindre indifférence de l'un ou de l'autre de nos semblables nous le fait haïr. C'est ainsi que se développent l'orgueil et les mauvais sentiments.

    La Révélation, Le Devoir impose la pratique des lois morales, p.114


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  • La Révélation, L'efficacité des lois morales (p.116)

        Dans toutes société constituée dans un but d'avancement moral, une prescription est un obstacle car elle impose et entrave le libre arbitre ; on y travaille plutôt par instinct et l'on observe tous les statuts parce qu'ils s'assimilent à la loi de la conscience. Celle-ci est une lumière intérieure qui nous guide sûrement et infailliblement, nous montre partout le bien et nous invite à y coopérer. Mais l'intelligence la dérobe sous une sorte de voile qui est de l'imagination.

    La Révélation, L'efficacité des lois morales, p.116


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  •     Comparons la loi de l'évolution des êtres à une échelle immense, que l'on monte plus ou moins vite, en raison directe de son développement. Les êtres du premier échelon travaillent selon leur nature et ils sont dans la vérité, suivant leur degré d'évolution. Ceux qui occupent l'échelon suivant font déjà plus et mieux ; mais s'ils croyaient pouvoir redire aux agissements des premiers, ils seraient dans l'erreur et permettraient à de plus élevés de leur faire également des observations. Nous gravissons tous insensiblement l'échelle du progrès. Sauter des échelons serait contraire à la loi. L'école nous offre une image tout aussi juste de la vie : l'élève ne pourrait se servir du second livre avant de connaître le premier et parvenu dans les classes supérieures, il serait bien déraisonnable si, au lieu d'encourager et de protéger les plus jeunes, il se permettait de les blâmer parce qu'ils ne savent pas autant que lui.

    La Révélation, L'efficacité des lois morales, p.117


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  • La Révélation, L'efficacité des lois morales (p.118)

        Le travail moral nous amène à surmonter nos imperfections et avec elles les connaissances. La foi qui les remplace donne l'instinct et permet d'agir sans penser, puisqu'avec elle toute erreur est impossible. Elle nous protège, nous n'apercevons plus aucun effet de la matière parce que nous n'avons plus d'imperfections.

    La Révélation, L'efficacité des lois morales, p.118


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  • La Révélation, L'efficacité des lois morales (p.119)

        Une loi domine le monde physique, protégeant tous ceux qui prennent la conscience pour guide ; elle dit : « Fais bien tu trouveras bien. » Il est vrai que nous ne pourrions toujours y parvenir et peut-être vaut-il mieux qu'il en soit ainsi ; car nous sommes encore trop faibles, nous devenons trop vite familiers avec les nobles inspirations et nous les profanons ; nous avons encore besoin de travailler et de ressentir l'écho de nos actes mal accomplis, avant d'avoir acquis cette sensibilité.

    La Révélation, L'efficacité des lois morales, p.119


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  • Arbre de la Science de la Vue du Mal, le Bien, interprété l'opposé de la réalité (p.297-303)

        Un visiteur. - Père, n'est-ce pas aller un peu loin de dire que tous nous arriverons à l'unité absolue, à être Dieu même ?
        Le Père.- Il nous a toujours été enseigné que Dieu est notre Père, que nous sommes tous ses enfants. Cette question n'est pas bien comprise, peut-être parce qu'elle n'est pas non plus bien raisonnée. Il importe de savoir si c'est Dieu qui nous a donné la vie, car vouloir démonter une chose, qui est encore pour nous un mystère, ce serait croire de parti pris.
        Pouvons-nous dire que Dieu nous a donné la vie, qu'Il nous a tirés du néant ? Ce serait vouloir proclamer une grande vérité et ensuite la dénaturer. Si Dieu nous faisait sortir du néant, n'étant pas issus de Lui, Il n'est pas notre Père, pas plus que nous ne sommes ses enfants. Dire que Dieu nous a tirés du néant n'est-ce pas donner à croire que la vérité elle-même en est sortie ? Ce serait enseigner qu'elle résulte de l'erreur car tout ce qui existe réellement a toujours existé et ce qui n'existe pas ne peut être que l'erreur.
        Il nous a également été enseigner que Dieu a fait sa créature à son image. Un père aurait-il bien des enfants que ne seraient pas à son image ? peut-il y avoir entre un père et sa progéniture une dissemblance naturelle ? Nous ne devons pas encore aller trop loin dans cette question, car si Dieu nous avait créés et qu'Il nous eût faits d'une nature différente de la sienne, Il ne pourrait plus être notre père ni nous ses enfants, Il nous aurait dénaturés, nous serions dans la raison en Le haïssant au lieu de L'aimer, nous ne pourrions plus avoir aucune considération pour Lui parce qu'Il aurait Lui-même démenti son amour. Un père ne cherche-t-il pas à faire toujours son enfant plus grand que lui ? Proclamer Dieu autrement, ce n'est plus proclamer sa toute-puissance et sa bonté, ses grandes vertus, au contraire, c'est inciter plutôt à Le déprécier ; c'est Le faire plus petit que sa créature, car l'amour de celle-ci pourtant imparfait ne lui permettrait pas de refuser à ses enfants ce que Dieu pourrait refuser aux siens. A quoi Lui servirait son amour s'il en était autrement ? Quelle autre chose que notre grandeur peut faire son bonheur ? Douter de cette vérité, c'est douter de son existence, renoncer à se rapprocher de Lui, ignorer l'efficacité du travail moral qui permet de s'acquérir la foi. Tous ceux qui suivent l'enseignement ne doivent pas se récrier de m'entendre proclamer que nous sommes tous des dieux et qu'en surmontant l'imperfection, nous formerons l'unité absolue de l'ensemble, Dieu Lui-même. Ne rendons-nous pas encore un plus grand témoignage à sa bonté et à son amour ? Où pourrions-nous puiser qu'en Lui ? N'est-ce pas Lui qui nous revêt de toute sa puissance et de toutes ses vertus, en nous disant : « Vous vous êtes donné la peine de venir à moi, eh bien ! à présent, agissez ; cest vous qui êtes moi et moi qui suis vous, vous êtes dans mon amour et moi dans le vôtre parce que vous vous l'êtes acquis. » Dieu n'est-Il pas ainsi plus encore que notre Père, puisqu'il s'efface complètement pour nous, tout en nous laissant puiser à notre gré dans son amour ? Et ne sommes-nous pas plus près de Lui encore que des enfants vis à vis de leur père, car plus nous sommes grands, plus est grand son bonheur ?
        Nous avons souvent répété que la foi seule peut comprendre la foi et sans travailler à l'acquérir, ces questions sublimes nous restent ignorées. La foi seule fera d nous le vrai Dieu.
        Dieu possédant toutes les vertus à un degré infini, le bonheur dont Il jouit ne le puise-t-il pas dans le nôtre ? Qui autre que nous pourrait être l'objet de son amour ? N'ayons alors nulle crainte de proclamer que nous sommes Dieu nous-mêmes, que nous voulons aussi aimer à l'infini ; car plus grands nous ferons-nous, plus grand sera le bonheur de Celui qui a toujours été proclamé Dieu, notre Père.

    Le Développement de l'Enseignement du Père, Arbre de la Science de la Vue du Mal, le Bien, interprété l'opposé de la réalité, p.297-303


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        Nous faut-il croire que le soleil, les astres et tant d'autres merveilles ne soient qu'illusion ? Nullement, ce n'est pas ainsi que nous devons les envisager. Les soi-disant découvertes sont des révélations que l'intelligence traduit en les analysant matériellement.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Intelligence, p.XXIX

     

     


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Intelligence (p.XXVIII)

        Toutes les connaissances imaginables sont impuissantes à nous convaincre de la réalité parce qu'elles ne sont pas le fruit d'un travail personnel ; nous ne faisons toujours que les emprunter à un autre qui les a reçues à son tour au même titre ; voilà pour quelle raison nous ne pourrions les garder. Mais il en est tout autrement du savoir que l'on acquiert en apprenant à se connaître. Rien ne peut équivaloir à ce patrimoine qui nous donne la sensibilité des lois morales par lesquelles nous touchons la réalité. Nous trouvons alors Dieu au sein de nos semblables, nous les aimons et sommes aimés d'eux, goûtant dans cette réciprocité un bonheur inexprimable.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Intelligence, p.XXVIII


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Intelligence (p.XXVII)

        Libre à nous de nous améliorer, de surmonter notre imperfection pour nous acquérir les vertus, si nous ne voulons plus nous réincarner.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Intelligence, p.XXVII


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Intelligence (p.XXVI)

        Nous avons enseigné que l'intelligence est la faculté qui sert à nous assimiler les fluides pour en obtenir la pensée. Mais nous savons que les fluides sont matériels, par conséquent la pensée ne l'est pas moins ; nous devons les surmonter pour progresser. Arrivés à ce point, l'intelligence n'a plus sa raison d'être.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Intelligence, p.XXVI


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Réincarnation (p.XXV)

        Il est parfois bien pénible d'entendre avancer des opinions contraires aux siennes. C'est bien là, cependant, que l'on nous rend les plus grands services en nous corrigeant du parti pris.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Réincarnation, p.XXV


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        Si nous pouvions pendant le jour, nous rappeler les jouissances que nous éprouvons la nuit au contact de nos chers disparus ! Malheureusement cette maudite matière nous met l'oubli, nous le savons, elle est opposée à la foi. Ah ! Quand pourrons-nous nous éveiller, sortir de l'affreux cauchemar de l'incarnation ?

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Réincarnation, p.XXIV


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Réincarnation (p.XXIV)

         Tout autre et bien plus consolante est la réalité : la mort n'existe pas ; nos êtres chéris soi-disant disparus ne le sont qu'en apparence : nous ne cessons pas un instant de les voir et de nous entretenir avec eux, la vie corporelle n'est qu'illusion.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Réincarnation, p.XXIV


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  •      Nous croyons qu'à la mort les âmes quittent le monde et vont dans l'au-delà et l'au-delà est ici.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Réincarnation, p.XXIII


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Apparence de la réalité (p.XXII)

        Mais l'intelligence a manié tant de fluides depuis que nous existons qu'elle peut d'autant plus facilement imiter la vertu qu'il lui est impossible de la pratiquer. C'est ce qui me fait dire que nous éprouvons autant de peine pour reconnaître la réalité que nous sommes moins en état de la respecter. Pour la pénétrer, nous devons démolir la vue du mal, c'est-à-dire reprendre le chemin entrepris dès le principe pour débarrasser l'Arbre de la science du dernier atome de cette matière par laquelle il nous a engendrés.
        Dès ce jour, on ne dira plus l'arbre de la science, du bien et du mal mais de la vue du mal ; tel est son véritable sens.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Apparence de la réalité, p.XXII


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Apparence de la réalité (p.XXI)

        Il nous arrive de nous plaindre d'une personne et de la dire méchante parce quelle nous froisse à tout propos. Si nous voulions être sincères, nous devrions la bénir, car elle ne peut nous atteindre que dans notre culpabilité ; il n'y a que le mal qui puisse guérir le mal pour faire place à la réalité. Résistons donc de toute nos forces contre la mauvaise pensée qui nous empêche de prendre tout ce que l'on nous fait pour un bien.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Apparence de la réalité, p.XXI


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