• Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, L'Arbre de la Science de la Vue du Mal (p.VI)

        C'est alors qu'il imagine la matière pour s'en couvrir ; puisqu'il voyait l'erreur dans la réalité, la matière pouvait seule la voiler, car elle est autant compacte que la spiritualité est éthérée ; de même nous sommes autant opposés à Dieu que nous prétendons voir la réalité en la matière.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, L'Arbre de la Science de la Vue du Mal, p.VI


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, L'Arbre de la Science de la Vue du Mal (p.V)

        Il avait failli et cependant il l'ignorait, ne se figurant pas que Ève n'était pas réelle, qu'elle n'était qu'apparente, il avait cru trouver ainsi le bon chemin. Toutefois Dieu ne l'abandonna pas. Mais l'inspiration ne produisait plus sur lui la même impression qu'auparavant parce qu'il la confondait avec ses pensées. Voilà où le doute fait son apparition, où commencent les tribulations, les vicissitudes.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, L'Arbre de la Science de la Vue du Mal, p.V


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, L'Arbre de la Science de la Vue du Mal (p.IV)

        La Providence place toujours sur notre chemin ce qui est nécessaire à notre progrès.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, L'Arbre de la Science de la Vue du Mal, p.IV


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  • Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, L'Arbre de la Science de la Vue du Mal (p.III)

        Tous avaient une foi en Dieu, aucun d'eux ne faisait rien qui ne lui fût inspiré.

    Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, L'Arbre de la Science de la Vue du Mal, p.III


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  • La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien (p.195)

        Si nous voulons nous efforcer de comprendre la révélation du COURONNEMENT, nous y trouverons la raison parce qu'il est la véritable lumière ; il nous instruit de tout ce qui nous est indispensable ; il n'est pas seulement LE COURONNEMENT de mon enseignement, mais LE COURONNEMENT de l’œuvre accomplie, de tout ce qui a été révélé jusqu'à ce jour, par les prophètes qui sont venus rendre témoignage à la vérité.

    La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.195


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  • La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien (p.194)

        Nous le disons dans LE COURONNEMENT, il faut que ce soit le malheur qui nous fasse sentir ce qu'est le bonheur, car il faut la maladie pour apprécier la santé et il en est de même dans tous, c'est l'obscurité qui donne le prix à la lumière.

    La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.194


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  •  

        Toute révélation émane de Dieu, sa base est donc toujours la même ; les mots ni les phrases n'y sont rien ; seule la morale qui en découle, qui est amour divin, est tout.
        C'est ainsi qu'il faut apprécier mon enseignement. Je ne dirai pas que je suis venu en mission, je dis plutôt à l'épreuve, car il est de mon devoir de respecter cette révélation autant que j'ai voulu l'enseigner.

    La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.193


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  • La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien (p.192)

        Durant des milliers d'incarnations, nous avons développé notre intelligence qui, à son tour, fera comprendre à notre esprit que rien n'est inutile, que si elle nous a été donnée pour ne voir que le mal, c'est parce que nous devons passer par celui-ci pour apprécier le bien. C'est la preuve que l'intelligence nous rend un grand service ; elle nous est donc indispensable dans notre incarnation, mais efforçons-nous de lui faire respecter la conscience au lieu de la dominer, car elle est si envieuse qu'elle voudrait empêcher les autres de faire le bien naturellement ; elle nous égarerait tout en croyant nous ramener dans le bon chemin.
        Rappelons-nous qu'il a été dit : "Que celui qui voudra devenir le plus grand, soit votre serviteur et que celui qui voudra être le premier d'entre vous, soit votre esclave." Ce n'est qu'en agissant ainsi que nous serons avec Dieu et Dieu avec nous.

    La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.192


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  • La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien (p.191)

        Désirant alors être plus heureuse, elle [l'intelligence] croit que les autres devraient sortir de leur naturel, faire le bien. Mais c'est ce bien qui est le mal, car il consisterait dans l'hypocrisie, dans cette apparence dont nous avons raisonné, de laquelle on devrait s'entretenir pour nous satisfaire, car notre vue du mal nous empêche de supporter quelqu'un qui s'adresse à nous sans être froissé par sa réalité naturelle.

    La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.191


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  • La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien (p.190 §2)    N'avons-nous pas dit aussi que la sincérité est l'image de l'amour, la photographie du cœur ? Ce principe où Dieu dit : "Vous ne pouvez faire de la morale à personne, car ce serait prouver que nous ne faites pas bien" n'est-il pas logique et de vérité ? Faire la morale à quelqu'un, n'est-ce pas démontrer que nous la méritons nous-mêmes, oubliant que "Elle ne s'enseigne pas par la parole, mais par l'exemple et à ne voir le mal en rien."

    La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.190 §2


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  • La Révélation, l'arbre de la science de la vue du bien (p.190)

        Vous pourriez me demander pourquoi, si nous démontrons le bien, notre devise représente la vue du mal ; je vais vous l'expliquer : Notre intelligence qui a cette vue, semblable à un manomètre marque notre infériorité ; nous apercevons le mal que pour autant que nous en possédons. S'il n'est que le reflet de notre imperfection, ne devrions-nous pas baisser les yeux d'autant plus qu'il nous apparaît davantage dans nos semblables et ne devrions-nous pas rougir de prétendre travailler pour l'humanité plutôt que pour nous-même.

    La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.190


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  • La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.189)

        Au milieu des souffrances qui nous accablent et surtout dans les plus accentuées, n'oublions pas que c'est Dieu qui cherche à s'installer en nous et à démolir à cet effet tout ce que nous y avons construit en dehors de la réalité. Je l'ai encore dit, nous sommes plus malheureux que l'animal et d'autant plus que notre intelligence est développée.

    La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien, p.189


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  • La Révélation, l'arbre de la science de la vue du bien (p.188)
        Certaines personnes disent que, s'il y a un Dieu, la science saura le découvrir ; on tient ce raisonnement, fort de l'opinion des savants qui se sont prononcés dans ce sens. Mais je viens de démontrer que si la science devait découvrir Dieu, elle ne résulterait plus de l'intelligence dont les investigations tendent à prouver le contraire, sa non-réalité ; il nous est impossible de trouver la vérité dans l'erreur. La science est inhérente à l'intelligence, elle en est inséparable ; elle n'a de raison d'être que pour pénétrer la matière, qu'il faut surmonter pour arriver à Dieu.

    La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.188


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  • La Révélation, l'arbre de la science de la vue du bien (p.187)

        Ne pouvant rien recevoir que par nos sens, ses attributs, nous éclairent seulement pour tout ce qui est indispensable matériellement. Ignorant ainsi notre propre essence, nous sommes incapables de concevoir la vie spirituelle.

    La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.187


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  • La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.186)

        Nous avons tant manié les fluides qui nous relient à cette matière que ce n'est plus qu'un instinct pour notre esprit, un pur caprice. Il s'imagine même en être inséparable, se refuse à croire qu'il y a d'autres sens et qu'on peut se les acquérir en travaillant moralement.

    La Révélation, l'arbre de la science de la vue du bien, p.186


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  • La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.185)

        Nous voyons dans cette histoire que Adam pose la première pierre à la science qui est la vue du mal, vue de la matière. Celle-ci s'efforce de raisonner tous les phénomènes de la pensée par le nombre, la qualité, la disposition des cellules cérébrales. Rien d'étonnant à ce qu'elle en vienne à nier l'âme, le principe spirituel puisqu'elle ne se base que sur cette matière ; il lui serait impossible d'admettre sérieusement rien qui soit en dehors d'elle.

    La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien, p.185


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  • La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.183 §3)

        Pourquoi est-il dit qu'il faut aimer ses ennemis ? Parce que ce qui nous froisse en eux est leur côté réel, le côté divin, ce germe de Dieu qui est en nous. Voilà pourquoi nous disons que notre ennemi est notre Dieu. En effet, il n'est notre ennemi que par notre imperfection qui ne sait supporter Dieu puisqu'elle s'y oppose.

    La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien, p.183 §3


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  • La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.183 §1)

        C'est la raison pour laquelle nous sommes incompatibles avec Dieu ; notre incarnation qui est la matière imaginée par Adam pour se couvrir, je le répète, cache à notre être tout ce qui est réel.

    La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien, p.183 §1


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  • La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.182)

        Sans nous être rendu compte du but de la vie, nous recherchons le bonheur dans l'imperfection, mais ce bonheur n'est qu'apparent, il ne fait qu'augmenter nos faiblesses et nous empêche d'autant plus de supporter la réalité, Dieu, puisque, dans l'incarnation, nous sommes dans l'opposé de la réalité.

    La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien, p.182


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  • La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.181)

        L'imperfection proprement dite n'est pas là où nous nous la figurons ; elle consiste en tout notre être matériel qui est tout l'opposé de perfection. Nous pourrions croire en un Dieu et nous imaginer que nous Le servons bien tandis que nous ferions tout le contraire, car nous ne voyons le bien qu'artificiellement, c'est-à-dire par l'intermédiaire d'un sens matériel, par l'intelligence qui voit de même le mal dans ce qui est bien.

    La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien, p.181


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