• Petite annonce pour l'Institut de mars à mai 1913 (Le Journal, 15 mars 1913)

    Petite annonce pour l'Institut de mars à mai 1913 (Le Journal, 15 mars 1913)

    En écrivant 4, avenue St-Joseph, Sin-le-Noble (Nord), on
    recevra gratuitement renseignements sur guérisons occultes et
    sur phénomènes spirites de l'Institut Psychosique.


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  • Nos cures (Le Fraterniste, 2 février 1911)

    (Le Fraterniste, 2 février 1911)

     

     

     

     

     

     

     Nos cures (Le Fraterniste, 18 mai 1911)

     

     

     

     

    (Le Fraterniste,
    18 mai 1911)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Des récits et comptes-rendus de cures sont publiés dans chaque numéro du Fraterniste et du Biéniste avec les noms des abandonnés de la médecine. Cependant il était rare d'y faire paraître une photo.


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  • Instituteur Engel à Bonn (Le Fraterniste, 15 février 1912)


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  • Le triomphe de la psychosie (Le Fraterniste, 11 janvier 1912)


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  • L'École de Douai (Le Fraterniste, 20 mars 1914)L'École de Douai (Le Fraterniste, 20 mars 1914)


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  • Institut N°4 Amiens - Rue Voiture

    Institut N°4 Amiens - Rue Voiture (anciennement)

    Institut N°4 Amiens - Rue Voiture (anciennement)

    Amiens - Rue Voiture (actuellement)


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  • Guérisseurs de l'Institut Général Psychosique (Le Biéniste, 1er juin 1922)

    Le Biéniste, 1er juin 1922


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  • Déclaration du ''Fraterniste'' (Le Fraterniste, 13 avril 1911)

    Le Fraterniste, 13 avril 1911


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  • Henri Lormier (18 août 1877-23 mars 1961)
    (Le Fraterniste, 1er janvier 1924)

    Henri Lormier (18 août 1877-23 mars 1961)

    Henri Lormier (18 août 1877-23 mars 1961)

                     Signature sur son acte de mariage                          Signature dans Le Fraterniste du 15 janvier 1923

        On en sait peut sur lui.
        Henri Lormier est présenté comme verrier dans son acte de mariage avec Clémence Gillot (née à Arques en 1880) du 25 août 1900 à Douai (lieu de son domicile) et né à Paris (20e arrdt) le 18 août 1877. Ils habitent à Trélon en 1906.

    Henri Lormier (18 août 1877-23 mars 1961)

    Acte de mariage à Douai 25 août 1900

       Un fils, Paul, né vers 1907 et décède à l'age de 15 ans, en juillet 1922.
        Il divorce le 13 octobre 1921. Il se remarie à Paris le 10 septembre 1929 avec Henriette Jolivet. Il est alors indiqué qu'il est facteur.

    Henri Lormier (18 août 1877-23 mars 1961)
    (Journal de Fourmies, 26 mars 1922)

        Présenté comme Directeur Fraterniste dans ce journal, comme directeur-gérant ailleurs. Dans son reportage "Au pays des guérisseurs", Pierre Scize indique qu'il officie toujours en 1934 à Sin-le-Noble dans l'Institut.
        En 1923, à sa reprise après guerre, le Fraterniste est situé à Arras, 12, Rue des Bouchers-de-Cité.

    Henri Lormier (18 août 1877-23 mars 1961)
    (La Croix, 29 octobre 1938)


        Il est acquitté lors d'un procès contre lui en 1938. En mars 1939, il s'exprime encore dans le Fraterniste, par l'intermédiaire de la Revue Spirite, comme directeur. Son adresse à Sin-le-Noble est alors 178, Avenue Salengro (anciennement Rue du Faubourg). Aurait-il quitté alors le bâtiment qui abritait l'Institut ?
        Il décède à Granville (dans la Manche) le 23 mars 1961.


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  • Sin-le-Noble et Douai et les protestants
    Douai - Temple protestant

        L'apparition du protestantisme a amené les persécutions comme partout et de nombreux noms de martyrs pourraient être cités. Bien qu'il exista des églises protestantes dans les villes de garnisons hollandaises dites de « la barrière », il y eut aussi des assemblées du désert, des églises sous la croix et des pasteurs obligés de vivre cachés pour exercer leurs ministères.
        Ce n'est qu'en fin XIXème siècle que nos paroisses actuelles prirent naissance.
        A la fin du XIXème siècle, l'Église de Douai dépend du pasteur de Valenciennes. Le culte a lieu dans une salle de l'hôtel de ville. Un arrêté préfectoral du 8 août 1897 autorise la construction du temple, 70 rue de l'Hippodrome. Celui-ci est inauguré le 16 mai 1901. Le premier pasteur est Mr Paul Barde en 1906. Ce temple a été rénové à l'occasion de son centenaire en 2001.
    http://huguenotsinfo.free.fr/temples/douai_hist.htm

        La Rue du Temple à Douai, comme à Arras, fait référence aux Templiers et non à l'existance d'un Temple protestant.

    Sin-le-Noble et Douai et les protestants
    Paris - Église Évangélique Baptiste - 48, rue de Lille (wikipedia)


        Le baptisme est un courant chrétien évangélique issu d'un réveil démarré par les pasteurs anglais John Smyth en Hollande en 1609, puis Thomas Helwys en Angleterre en 1612.
        La fédération des Églises évangéliques baptistes de France (FEEBF) a ses origines dans une mission baptiste à Nomain, département du Nord, par le missionnaire suisse Henri Pyt et sa femme Jeanne Pyt, en 1820. En 1833, les confessions de foi baptiste sont instaurées par les églises. En 1834, l'œuvre baptiste s'implante en Bretagne avec l'arrivée à Morlaix du pasteur gallois John Jenkins. En 1836, l'école pastorale baptiste de Douai ouvre ses portes. En 1838, il y a 7 églises baptistes établies et 150 membres.

    Sin-le-Noble et Douai et les protestantsSin-le-Noble et Douai et les protestantsSin-le-Noble et Douai et les protestants
    Morlaix - Chapelle Évangélique Baptiste     Denain - Temple protestant     Église baptiste de Bruay-la-Buissière


        En 1910, dix églises constituées s'unissent et forment la Fédération des églises évangéliques baptistes du Nord de la France (et de la Belgique), qui rejoint en 1916 la Fédération Protestante de France. En 1913, 15 pasteurs sont à l'œuvre, 28 lieux de cultes rassemblent 883 membres baptisés.
        En 1922, la Fédération ne se limite plus au seul Nord de la France. Elle prend alors le nom de "Fédération des Églises Évangéliques Baptistes de France". La croissance ralentit dans l'entre-deux-guerres. Des dissensions doctrinales ont provoqué une division parmi les églises baptistes. Plusieurs églises ont formé l'association des églises évangéliques baptistes de langue française. En 1937, la Fédération des églises baptistes a fondé la Mission intérieure baptiste (MIB) dont le but est d'implanter de nouvelles églises en France, là où il n'y en a pas encore.
        En 1946 et jusqu'en 1960, 20 nouvelles églises sont fondées dans plusieurs diverses autres villes.
        En 2006, la Fédération comptait 111 églises et 6 284 membres.
        En 2015, le pasteur Thierry Auguste est devenu président de la fédération.
    source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fédération_des_Églises_Évangéliques_baptistes_de_France

    Sin-le-Noble et Douai et les protestants
    Sin-le-Noble - 280 Rue Henri Lemette (temple protestant)


        L'Église Protestante Baptiste "Cap Espérance" existe toujours à Douai, elle a ses locaux dans l'institut Saint-Jean, Avenue du Maréchal Leclerc, 59500 Douai. Comme à son habitude, les fidèles se rassemblent dans une maison, un garage, un hangar. Les seuls temples où ils se retrouvent sont ceux d'Auchel, Bruay-la-Buissière (dans le bassin minier de Lens) et de Sin-le-Noble, proche de Douai.
    Sin-le-Noble (1892) - 280 rue Henri Lemette (temple qui, aprês être devenu baptiste, a été vendu en 1978 et rénové par la Fédération Église Évangélique Baptiste (FEEB) membre de la FPF)

    Sin-le-Noble et Douai et les protestants
    Auchel - Rue du Temple


    Bassin minier de Lens :
    Lens (1904) - 100 Avenue Alfred Maës 62300 Lens (détruit en 1918 sur un terrain situé entre la rue de la Bataille et l'actuelle rue du Temple, reconstruit en 1925-26, rénové en 2009)
    Auchel (1891) - 64 Rue Séraphin Cordier (anc. Rue du Temple, anc. Rue Cohet)/Rue du Général de Gaulle 62260 Auchel (désaffecté pendant un temps, fête ses 130 en 2019 avec une exposition photographique Le temple d'hier à aujourd'hui)
    Bruay-la-Buissière (1886) - ​115 Rue Louis Dussart 62700 Bruay-la-Buissière (Temple baptiste, agrandi en 1925, rénové en 1985)
    Divion (1926) - cité « résidence Croix de Grés » 62460 Divion (chapelle en bois construite par l'église baptiste de Lens, repris quelques années plus tard par les Charbonnages de France)

    Sin-le-Noble et Douai et les protestants
    Chauny (Congrès FEEBF, 1927)(wikipedia)


    Autres temples baptistes d'intérêt architectural :
    Nord :
    Denain (1870) - 57 Rue Jules Mousseron 59220 Denain (temple évangélique, le plus vieux du bassin minier, bâti par un ingénieur des mines, M. Chabaud-Latour, suivant les plans de la communauté, à l'architecture unique en France)
    Reumont (1870) - Rue du Temple 59980 Reumont (sur le modèle de Nomain, temple réformé puis baptiste et enfin irvingien, transformé en grange)
    Aisne :
    La Fère (1873) - 12 ‎Rue du Général de Gaulle 02304 La Fère (église baptiste, sur la Place d'Armes)
    Chauny (1927) - 24 Rue du Général-Leclerc 02300 Chauny (remplace un temple de 1850 détruit pendant 14-18)
    Somme :
    Compiègne (1868) - 6 bis Avenue Thiers 60200 Compiègne (par l’architecte parisien Louis Calla à partir des plans de l'architecte Thorton Shiels d’Edimbourg, à la suite d'un généreux don de Maria Jane Bowes-Lyon, parente de la reine Victoria, de style "premier art gothique anglais", originairement église anglicane Saint-Andrew, partiellement détruite lors du bombardement de Compiègne en 1918, restaurée qu'en 1926)

    Bretagne :
    Plougrescant (1902) - Route de Castel-Meur 22820 Plougrescant
    Paimpol (1905) - 36 Rue du Professeur Jean Renaud 22500 Paimpol (oeuvre pionnière par le pasteur quaker Charles Terrell (1865-1949), construction d'inspiration régionaliste)
    Morlaix (1846) - 32 rue de Paris 29600 Morlaix (reconstruit en 1923)

    Région parisienne :
    Paris (1874) - 48 rue de Lille 75007 Paris (construit à l'étage, le temple de l'Église protestante baptiste a une structure de métal et a été l'un des premiers bâtiments reconstruits sur les ruines des destructions par la Commune)
    Courbevoie (XXe siècle) - 40 Rue du 22 Septembre 92400 Courbevoie
    Nogent sur Marne (XXe siècle) - 39 Grande Rue Charles de Gaulle 94130 Nogent sur Marne

    Sud :
    Nice (1910) - 13 Rue Vernier 06000 Nice


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  • Sin-le-Noble - Rue  Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

        L'église Saint-Joseph, érigée au faubourg ouvrier Notre-Dame de Sin-le-Noble, a été bâtie sur les fonds propres de l'abbé Joseph Masure, appartenant à une famille tourquennoise d'industriels textiles, et alors vicaire de l'église paroissiale Saint-Martin de Sin-le-Noble. La première pierre fut posée le 19 mars 1901, jour de la fête de saint Joseph. La construction avait été confiée à l'architecte lillois Louis Meurillon, sans doute choisi par l'abbé Masure. L'entreprise Leblan frères fut chargée des travaux. Le montant de la construction s'éleva à 100 000 F. L'ouverture au culte se fit le 19 mars 1906. En septembre 1914, l'église fut touchée par un bombardement qui brisa les vitraux et lézarda les murs. Il semble que la tour ne reçut jamais de flèche.
    A la mort de l'abbé Masure, en 1919, la propriété de l'église passa à son frère, François Masure, par ailleurs adjoint au maire de Tourcoing, qui prit en charge le coût des réparations nécessitées par les dégradations dues au conflit, après avoir perçu les indemnités de dommages de guerre. La propriété de l'édifice fut ensuite transmise à l'association diocésaine de Cambrai (en 1927 ?).
    L'église a été fermée en 2007 pour cause de dangerosité. Le principe de la fondation, qui serait constituée de six piliers [...] simplement retenus entre eux par des poutrelles métalliques, leur dilatation et leur oxydation, est mis en cause (article de la Voix du Nord, édition Douai, 21-12-2009). D'autre part, la toiture fuit et le mérule a infesté la charpente. Renonçant à restaurer l'église, le diocèse de Cambrai l'a cédée au bailleur social Norévie, à charge pour celui-ci de la démolir. Cette démolition doit intervenir en 2011 et des logements sociaux succéder à l'édifice.
    source : https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA59004481

        Grâce à une vidéo de la démolition en 2007 de l'Église Saint-Joseph [https://www.dailymotion.com/video/xmlfq7], on se rend compte de l'emplacement de l'église, aujourd'hui détruite donc, et ainsi de l'Institut des forces psychosiques, dont le bâtiment avait déjà disparu depuis longtemps (sur une carte des années 2000 du site remonterletemps.ign.fr, le bâtiment semble encore visible).

    Sin-le-Noble - Rue Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)Sin-le-Noble - Rue Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

    Gauche : Rue Saint Joseph, photo aérienne du 05-07-1959 (remonterletemps.ign.fr)
    Droite : Rue Saint Joseph, photo aérienne du 12-07-1990 (remonterletemps.ign.fr)

    Sin-le-Noble - Rue  Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)Sin-le-Noble - Rue  Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

       

    www.pop.culture.gouv.fr

    Comme on le voit sur une photo publiée dans le Fraterniste du 1er août 1912 pour présenter l'Institut, le bâtiment est alors sur le parvis de l'église Saint-Joseph (4 Avenue Saint-Joseph selon l'adresse indiquée par le journal), et on aperçoit ainsi un morceau de la façade.

    Sin-le-Noble - Rue  Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)
        Sur une carte postale, on voit encore en vue aérienne le dos du bâtiment qui abritait l'Institut. Il est prévu de construire des logements sociaux à la place de l'église, faisant sombrer encore plus dans l'oubli l'histoire de l'Institut des Forces Psychosiques.

    Sin-le-Noble - Rue Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

    Sin-le-Noble - Rue du Faubourg Notre-Dame (maintenant Avenue Roger Salengro)
    à droite le rue Saint-Joseph (alors Avenue Saint-Joseph) et le dos de l'Institut (avec le toit colorisé en bleu)


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  • Les Instituts Généraux Psychosiques (Le Fraterniste, 3 octobre 1913)

    Les Instituts Généraux Psychosiques (Le Fraterniste, 3 octobre 1913)


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  • Les Fraternelles et les Instituts psychosique

    Nos Fraternelles (Le Fraterniste, 2 février 1911)

    Les Fraternelles et les Instituts psychosique

    Nos Fraternelles (Le Fraterniste, 25 avril 1912)

    Institut n°1 de Douai-Sin-le-Noble (4, avenue St-Joseph)
    Institut n°2 de Béthune (117 bis, rue de Lille)
    Institut n°3 de Lens (126, rue Émile Zola)
    Institut n°4 d'Amiens (2, rue Voiture)
    Institut n°5 de Roubaix (56 bis, rue d'Alsace)
    Institut n°6 de Malo-les-Bains (42, avenue du Casino)


    Fraternelle n°1 d'Avion
    Fraternelle n°2 et 2bis de Billy-Montigny
    Fraternelle n°3 de Calais
    Fraternelle n°4 de Denain
    Fraternelle n°5 (Roubaix) et n°5 bis de Tourcoing (4, place des Halles)
    Fraternelle n°6 de Rosendaël-Dunkerque
    Fraternelle n°7 de Vendin-le-Vieil
    Fraternelle n°8 de Valenciennes
    Fraternelle n°9 de Liévin
    Fraternelle n°10 de Waziers
    Fraternelle n°11 de Paris
    Fraternelle n°12 de Lille (297, rue Léon Gambetta, puis 47, rue de Paris)
    Fraternelle n°13 ou n°14 de Ferfay

    Fraternelle n°15 de Fourmies
    Fraternelle n°16 & 16 bis de Montigny-en-Gohelle
    Fraternelle n°17 d'Haumont
    Fraternelle n°18 de Lens (128, rue Émile Zola)
    Fraternelle n°19 de Caudry
    Fraternelle n°20 de Bordeaux (Gironde)
    Fraternelle n°21 de Roanne (Loire)
    Fraternelle n°22 de Chauny (Aisnes)
    Fraternelle n°23 de Méricourt-sous-Lens
    Fraternelle n°24 d'Ath (Belgique)
    Fraternelle n°25 d'Evin-Malmaison (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°26 d'Orchies
    Fraternelle n°27 de Brébières (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°28 de Saint-Chamond (Loire)
    Fraternelle n°29 d'Hénin-Liétard
    Fraternelle n°30 d'Oran (Algérie)
    Fraternelle n°31 de Montbrison (Loire)
    Fraternelle n°32 de Paris
    Fraternelle n°34 de Tihange-Huy (Belgique)
    Fraternelle n°35 de Raimbeaucourt
    Fraternelle n°36 de Courrières (rue d'Harnes)
    Fraternelle n°37 de Trivières (Belgique)
    Fraternelle n°38 de Lestrem (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°39 de Fouquières-lez-Lens (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°40 de St-Sylvestre-Cappel
    Fraternelle n°41 de Courcelles-lez-Lens
    Fraternelle n°42 de Boston (États-Unis)
    Fraternelle n°43 de Vendôme (Loir-et-Cher)
    Fraternelle n°44 de Montpellier (Hérault)
    Fraternelle n°45 de Rouen (Seine-Maritime)
    Fraternelle n°46 de Charleroi (Belgique)
    Fraternelle n°47 de Meurchin (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°48 de Paris
    Fraternelle n°49 de Montluçon (Allier)
    Fraternelle n°50 de Brugelette (Belgique)
    Fraternelle n°51 de Bracquignies (Belgique)
    Fraternelle n°52 de Saint-Omer-Arques (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°53 de Grenoble
    Fraternelle n°54 de Plouvain (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°55 de Sallaumines
    Fraternelle n°56 de Quieux-Saulcy, près Senones (Vosges)
    Fraternelle n°56 d'Anserœul (Hainaut belge)
    Fraternelle n°57 de Bruxelles (Belgique)
    Fraternelle n°58 de Malo-les-Bains (83, rue de Bel-Air)
    Fraternelle n°59 de Rennes (Ille-et-Vilaine)
    Fraternelle n°60 de Sallaumines (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°61 de Nottingham (Jean et Auguste Gossein, 145, Sawley Road, Long-Eaton, Derbyshire)
    Fraternelle n°62 de Béthune (Pas-de-Calais, rue des Deux Moulins)
    Fraternelle n°63 d'Amiens (Somme)
    Fraternelle n°64 d'Aulnoy lez Valenciennes
    Fraternelle n°65 de Lyon
    Fraternelle n°66 Perpignan
    Fraternelle n°67 d'Alexandrie (Égypte)
    Fraternelle n°68 d'Anvers
    Fraternelle n°69 de Cambrai
    Fraternelle n°70 de Soissons
    Fraternelle n°71 de Bavinchove
    Fraternelle n°72 de Pont-à-Vendin (Pas-de-Calais, chez Adrien Loez, rue du Cimetière)
    Fraternelle n°73 d'Anzin
    Fraternelle n°74 de Carnières (Hainaut belge)
    Fraternelle n°75 de Lillers (Pas-de-Calais)

    Fraternelle n°77 d'Oignies (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°78 du Havre

    Fraternelle n°81 de Saint-Vallier (Saône-et-Loire)
    Fraternelle n°82 de Neuville-du-Poitou (Vienne)
    Fraternelle n°83 de Fives-Lille
    Fraternelle n°84 de Dourges (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°85 de Carvin (Pas-de-Calais)
    Fraternelle n°86 de Viesly
    Fraternelle n°87 de Lyon (Rhône)
    Fraternelle n°88 de Toulon (Var)
    Fraternelle n°89 de Marcillac-la-Croisille (Corrèze)
    Fraternelle n°90 de Reims (Marne)
    Fraternelle n°91 de Genève (Suisse)

        Et d'autres encore se préparent à :
    Tours (Indre-et Loire)
    Blois (Loir-et-Cher)
    Angoulême (Charente)
    Bel-Abbes (Algérie)

    Les Fraternelles et les Instituts psychosique

    Nos nouveaux instituts (Le Fraterniste 3 octobre 1913)


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  • Institut - Paul Pillault (Le Fraterniste, 1 août 1912)

    (Le Fraterniste, 1 août 1912)

    Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)
    Signature de Paul Pillault

        Il est né à Douai en le 27 avril 1854. Le recensement de la population le situe en 1906 à Auby (au nord de Douai) comme négociant en épicerie. Il habite avec Marie Coutelier (et sa soeur Delphine Coutelier), née en 1856 à Douai, à qui il est mariée depuis le 12 juin 1902 (mariage à Douai).

    Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

    acte de mariage à Douai avec Marie Coutelier le 12 juin 1902

    Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

        Paul Pillault, négociant à Auby, et Jules Jésupret, propriétaire, délégué municipal aux hospices, ont été les fondateurs auvec d'autres d'un journal douaisien, paru en vue des élections municipales programmées le 6 mai 1900, et qui prendre fin en 1902.
    source : http://start1g.ovh.net/~panckouc/Abeille/Abeille22.pdf

        Après avoir accompagné pendant 5 ans, de 1909 à 1914, Jean Béziat et Henri Lormier dans l'aventure de l'Institut des Forces Psychosiques. Dans la tourmente de la guerre, séparé, il continue son chemin pour professer le Déterminisme Divin avec Le Biéniste. "Il en arriva à ne plus rien laisser au libre arbitre, faisant de l'être humain simplement une machine", ce que lui reproche Jean Béziat, alors parti pour Toulouse.

        Le Biéniste, fondé par Paul Pillault et tenu par Jules Berthelin, reprend des textes de Paul Pillault après sa déesincarnation et vend des ouvrages, puis lance une souscription pour l'érection d'un monument funéraire après la désincarnation de son fondateur le 8 juillet 1821, à Aubervilliers.

    Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

    (Le Biéniste, 1er juin 1922)

     

     

     

        L'Institut des Forces Psychosiques continue son oeuvre à Aubervilliers aidé de Madame Dubuc et Mlle Duval, ses secrétaires :

    Institut des Forces Psychosiques à Aubervilliers (Le Biéniste, 1er avril 1922)

    Le Biéniste, 1er avril 1922

    Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)
    A.Dubuc, signature en bas de la dernière page de Le Biéniste, 1er juillet 1922 (gallica)

    Institut des Forces Psychosiques à Aubervilliers (Le Biéniste, 1er avril 1922)

    Aubervilliers - L'Avenue de la République et la Rue des Cités (le Numéro 100 de la rue des Cités est en face de ce bâtiment en brique rouge)

    Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

    Acte de décès de Paul Pillault (8 juillet 1921, Aubervilliers, Seine-Saint-Denis)

        Un In Mémoriam est publié dans la Revue scientifique et morale du spiritisme en janvier 1921.

        Il est enterré au cimetière d'Aubervilliers :

    Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

    Le Biéniste, 15 juin 1922

        La commémoration de sa mort est relatée dans le Biéniste du 15 juillet 1922, occasion pour les fidèles du "frère et maître" de se rendre au cimetière pour inauguré le monument funéraire d'une "charmante simplicité, en granit poli sur laquelle sont gravés en lettres  d'or un nom !... deux dates !..."


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  • Le Biéniste (1er avril 1922)

        Le Biéniste est fondé en avril 1922 (alors que le n° du 1er juin 1922 en fête les deux ans, il a du exister sous une forme plus précaire avant 1922) par Jules  Berthelin, avec Mme A. Dubuc (directrice-gérante) et Mlle Denise Duval (secrétaire de la rédaction). Son siège est à Aubervilliers, 100, Rue des Cités.

        Des questions matérielles, la perversité de certaines personnes qui ne savent pas résister à l'attrait de l'argent, nuisent à l'essor du mouvement, le journal sombre. Mais Le Fraterniste reprend sa parution imprimée en janvier 1923. Le Petit Fraterniste a paru lui du 1er mai 1922 au 15 juillet 1922 en version manuscrite et du 1er août au 15 novembre 1922.


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  •  Institut des Forces Psychosiques après guerre

    Fondateurs de notre Institut Spirituel

    Monsieur Jules BERTHELIN « PAPA JULES »

        1914. Déchainement des forces du mal. Les Instituts sont séparés, isolés, pillés. Pourtant les Guérisseurs poursuivent leur œuvre et Jules Berthelin soigne sans trêve tout en travaillant durement à la mine.
        Tout l'argent que lui donnent en reconnaissance ceux qu'il soulage va à sa caisse de secours et, à la fin de la guerre, il remet à Paul Pillaut la somme, considérable pour cette époque, de 26.000 francs.
        Après la guerre, Jean Béziat se retire dans le Midi et continue à soigner ; Pillault est à Aubervilliers. Mais les Instituts et les Fraternelles manquent de liaison et disparaissent l'un après l'autre.
        Cependant, l'Institut de Nœux-les-Mines reste debout. Son grand animateur, fidèle à la doctrine des Forces Psychosiques, maintient le contact avec Paul Pillault qui meurt en 1921.
        Berthelin fonde un journal « Le Bieniste » avec Mme Dubuc et Mlle Duval, secrétaire de Paul Pillault. Des questions matérielles, la perversité de certaines personnes qui ne savent pas résister à l'attrait de l'argent, nuisent à l'essor du mouvement, le journal sombre.
        Sans se lasser, notre ami reprend avec Mlle Denise Duval un autre journal, « L'Avenir Spirite » (135, avenue Louis Blanc, à Amiens), grâce aux dons des malades reconnaissants. Toujours pour les mêmes raisons, nouvel échec.
        Qu'importe, il continuera seul. Plus de journal. Plus de Fraternelles, mais l'œuvre se maintiendra, attendant des forces neuves. Sans bruit, sans vain tapage. Jules Berthelin, maintenant secondé par le jeune médium guérisseur Marcel Lhomme, porte haut et ferme le drapeau de l'Amour et de la Bonté.
        De nombreux groupements de solidarité et d'entraide font appel à eux, plusieurs Centres d'études spirites, les Orphelins d'Auteuil, les Prisonniers et Déportés de Paris, les Enfants abandonnés, le Bureau de Bienfaisance de Nœux-les-Mines, la Caisse de secours de l'Alliance des travailleurs de Nœux-les-Mines, etc... etc..., sans citer tous les cas particuliers dont la liste serait trop longue.
        S'il fallait d'autres preuves, le rapport 1951 signale qu'il a été distribué aux œuvres et aux nécessiteux presque un demi-million de francs, soit : Jules Berthelin : 280.000 et Marcel Lhomme : 200.000 ceci contrôlé pour une part par la Préfecture du Pas-de-Calais.
        Tout ce travail humanitaire dont Berthelin est le pilier a valu à ce pionnier de la charité l'hommage de la Nation.
        Les Pouvoirs publics lui ont décerné la Croix du Mérite Social avec félicitations de M. le Ministre de la Santé Publique.
        Après cela, que dire ? Devant ce désintéressement total, combien peuvent nous sembler légers les quelques efforts auxquels nous consentons parfois pour aider notre prochain. Jules Berthelin est père de famille, il est pauvre.
        En toute logique, il pourrait peut-être penser aux siens.
        A cette question, il vous répond simplement : « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Je remercie Dieu de m'avoir permis d'arriver à cette évolution par l'expiation subie en cette planète. »
        « Avant de consulter le guérisseur demandez à Dieu de vous éclairer sur votre imperfection et de vous aider à fuir le mal qui se présente à vous. »
        Si nous voulons la paix, il faut la faire chez nous et en nous et réaliser la parole de Jésus : « Aimez-vous les uns les autres ».
        Et l'Institut général revit. Les Guérisseurs se lancent à nouveau à l'assaut du mal. Marcel Lhomme est accrédité Guérisseur en 1932 ; en 1951, c'est le tour de A. Deswante et W. Stodolny : et ensuite de Georges Gelé.
        Par leur foi, ils font rayonner le Bien, en une activité et un dévouement inlassables, sous l'égide de leurs guides spirituels et de leur guide terrestre, Jules Berthelin.
        Des lendemains plus rayonnants encore leur sont promis ; lentement, mais sûrement, l'Institut s'est reformé et s'organise pour une grande Œuvre revivifiée.
        Certains se souviendront du retentissant Rapport de I’Institut sur le statut des Guérisseurs, paru dans « Forces Spirituelles », «L'Aube Nouvelle », etc...
        Mais l'Institut Général des Forces Psychosiques voit à nouveau surgir de jeunes rameaux : trois nouveaux groupes viennent de se créer : Berck, Bully et Liévin. Le Groupe Triangulaire de Nœux-les-Mines les guide et les aide à réaliser leur mission. Le Médium-Guérisseur Marcel Lhomme a été désigné pour les diriger. Comment ne pas remercier Dieu et ne pas garder confiance en l'avenir ?
        Et Jules Berthelin est toujours à la tâche que le Maitre lui a fixée...
        Il était bon de mettre en lumière cette vie simple et splendide, la grandeur et l'extension promise de l'œuvre de ce grand cœur pour qui seuls comptent Bonté et Dévouement.
        Ajoutons que nous le citons volontiers en exemple à tous ceux qui aspirent épouser le même apostolat.

    La Lettre de l'Institut, avril-juin 2010

     

     

    Institut des Forces Psychosiques après guerre

    L’Institut de Nœux-les-Mines : Après la guerre 1914-1918, le spiritisme a retrouvé ses activités, mais sans jamais connaitre l’essor précédent…
        L’institut de Nœux-les-Mines sous la direction de Mr Jules Berthelin regroupait vers 1930 environ 130 groupes (fraternelles) constitués de 12 personnes (> 1500 personnes).

    Institut des Forces Psychosiques après guerre

    André Fardel, Fondateur de l’Institut Spirituel de Calonne-Ricouard : André Fardel (1921-2005) rencontre Mr Berthelin, guérisseur spirituel en 1953 et devient à son tour guérisseur jusqu’à la fin de sa vie.

    Institut des Forces Psychosiques après guerre

    L’Institut de Calonne aujourd’hui : pour assurer la continuité des travaux de l’Institut, André Tassin, élève de Mr André Fardel depuis les années 70, reprend le flambeau. Aujourd’hui l’Institut est composé d’un groupe de plus de 12 personnes…

    Institut des Forces Psychosiques après guerre

    Institut des Forces Psychosiques après guerre

    Fascicule Réincarnation par l’Institut Spirituel


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  • Jean BÉZIAT, Directeur du Fraterniste et de l'Institut Psychosique (Le Fraterniste, 9 mai 1912)

    Le Fraterniste, 9 mai 1912


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  • Institut - Paul Pillault (Le Fraterniste, 1 août 1912)

    Le Fraterniste, 1 août 1912


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