•     Pied d'un calvaire à Jupille.


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  • Association de la forme des lettres en langue des signes et de la forme de la bouche pour former le mot ''con'', injure que vous lanceront les muets si vous les embêtez !


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  • La création d'Urville, qui a été au départ un aéroport, a beaucoup évolué en plus de 20 ans.

    A la suite de la publication du livre en 2004, c'est passé d'une grande ville avec une petite région à une grande ville avec une grande région, et aujourd'hui, c'est carrément devenu un grand État avec plusieurs grandes villes (mais une petite capitale!)...

    Gilles a passé une grande partie de son temps à écrire l'historique d'Urville et de sa région, et aujourd'hui, il le passe surtout à dresser d'immenses tableaux de calculs relatifs à des aspects géographiques physiques et humains de son projet, qui sont essentiels pour sa viabilité.

    Il souhaite que son espace territorial soit organisé sous forme de réseaux décentralisés, à l'opposé de l'hypercentralisation de la France au niveau de l'aménagement du territoire, de l'économie, des médias, de la vie culturelle et politique, où tout est centralisé sur Paris...

    source : http://www.urville.com/

    illustration : Urville - Institut René-Descartes (Gilles Tréhin)


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  •     Se faire violence à soi : la seule guerre qui soit rentable.

    Claire Lejeune, Mémoire de Rien, La geste, Scories
    Editions Labor - Espace Nord, p.104


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  • La synesthésie, du grec syn (union) et aesthesis (sensation), est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés. Par exemple, dans un type de synesthésie connu sous le nom de synesthésie "graphèmes-couleurs", les lettres de l'alphabet ou nombres peuvent être perçus colorés. Dans un autre type de synesthésie, appelée "synesthésie numérique" (number form synesthesia), les nombres sont automatiquement et systématiquement associés avec des positions dans l'espace. Dans un autre type de synesthésie, appelé synesthésie de personnification ordinale/linguistique, les nombres, jours de la semaine, mois de l'année évoquent des personnalités. Dans d'autres types de synesthésie, la musique et d'autres sons peuvent être perçus colorés, ou ayant une forme particulière. La synesthésie impliquant des formes et couleurs est plutôt répandue, alors que la synesthésie impliquant des goûts et odeurs est plutôt rare.

    Alors que des métaphores exprimant un croisement de sens sont parfois qualifiées de "synesthétiques", une vraie synesthésie d'origine neurologique est involontaire et concernerait une personne sur 23, soit environ 4 pour cent de la population. (Simner). Il y a un facteur génétique probable, la synesthésie semble se transmettre par hérédité via le chromosome X. La synesthésie peut être acquise dès la naissance (la personne est alors appelée synesthète) ou bien (pour le cas des hallucinations synesthétiques) résulter de la prise de drogues hallucinogènes.


     Expériences synesthétiques
    Les synesthètes rapportent souvent qu'ils ne savaient même pas que leur synesthésie était inhabituelle jusqu'à ce qu'ils réalisent que la plupart des gens n'expérimentaient pas les mêmes sensations qu'eux. D'autres synesthètes avouent avoir gardé leur synesthésie secrète toute leur vie, de peur d'être incompris ou tournés en ridicule. La nature automatique et ineffable de la synesthésie montre bien que cette association de sens semble tout à fait ordinaire pour le synesthète. Le fait que la synesthésie soit involontaire et consistante montre que celle-ci est une expérience réelle.
    Se remémorant une expérience de son enfance, Patricia Lynne Duffy écrivait : « Un jour, je dis à mon père, "Je viens de me rendre compte que pour écrire la lettre "R", tout ce que j'ai à faire est de dessiner un "P", et ensuite une ligne partant de sa boucle." Et j'étais tellement surprise de constater que je pouvais transformer une lettre jaune en lettre orange, juste en ajoutant une ligne. »
    Malgré les généralités qui permettent la définition du phénomène de la synesthésie, on ne doit cependant pas oublier que les expériences individuelles varient en de nombreuses façons. Cette irrégularité fut remarquée au tout début de la recherche sur la synesthésie (Flournoy 1893), mais n'a été reconsidérée par les chercheurs modernes que récemment. Alors que certains synesthètes graphèmes → couleurs déclarent que leurs couleurs semblent "projetées" à l'extérieur, la plupart déclarent que leurs couleurs sont perçues "dans leur tête". Certains synesthètes déclarent que leurs voyelles sont davantage colorées, alors que pour d'autres il s'agit des consonnes (Day 2005). Les descriptions ci-dessous peuvent donner une idée d'à quoi peut ressembler une expérience synesthétique, mais ne peuvent pas en capturer toute la richesse.
    Certains calculateurs prodiges qui voient les réponses leur apparaître sont probablement atteints de synesthésie.

     Synesthésie ésotérique
    L'ésotérisme, l'occultisme, le symbolisme reposent en grande partie sur la doctrine des analogies et correspondances. Pour eux, les divers ensembles du monde sont analogues et leurs éléments entrent en correspondances. Ainsi, pour les Chinois traditionnalistes, auteurs du Hong fang ou du Li yun ou du Yue ling, les goûts, les organes des sens entrent en corrélations ; par exemple, les cinq saveurs (acide, amer, doux, âcre, salé) entrent en correspondance, non seulement avec d'autres sens (vert / acide / rance ; rouge / amer / brûlé...), mais encore avec d'autres domaines (les Éléments, les passions, les vertus... : vert / Bois / Est / acide / rance / blé / mouton...).



        Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
        Doux comme des hautbois, verts comme des prairies,
        - Et d'autres corrompus, riches et triomphants.

    Charles Baudelaire, Correspondances



    source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Synesth%C3%A9sie


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  • Let your conscience be your guide
    Let your conscience be your guide, oh baby

    If you want to leave me, go on girl
    Go on and leave, oh leave me
    But oh darlin', oh darlin', oh yeah
    Let your conscience be your guide

    You know I've never done you wrong
    I've always stuck right by your side, oh baby
    You only had to call my name and oh baby
    If you could feel, oh, feel the same
    Oh darlin', my darlin', oh yeah
    Let your conscience be your guide

    If only you could remember just hard I tried
    Please, oh please, don't forget
    I've given you the best years of my life
    You know I've never, never, no, no, no, never done you wrong
    I've always stuck right by your side, oh baby
    You only had to call my name
    Oh, oooh girl, if could feel the same
    Oh darlin', my darlin', oh yeah
    Let your conscience be your guide


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  • dervicheRefrain:
    Je danse donc je suis,
    Tu danses et je te suis,
    mais si je te suis
    ce n’est pas pour ce que tu penses,
    c’est pour la danse, pas pour la vie.

    Ne prends pas cet air triste,
    et ne prends pas la peine
    de prendre tout ton temps à me dire
    que tu m’aimes.

    Je ne me fixe pas,
    je ne prends pas racine.
    Je ne suis pas de celles
    Qu'un regard assine.

    Refrain

    Mais si je te suis
    C’est à toi de jouer
    Et de savoir me plaire
    Je ne dis pas qu’un jour

    Il ne puisse se faire,
    Que la danse finie
    Je reste prise au piège.
    Qui sera celui-là?
    Peut-être toi qu‘en sais-je!

    Refrain


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  • Что написано пером, не вырубишь топором.

    Ce que trace la plume, la hache de l'entamera.

    A rapprocher du verset :
    Ni par la puissance ni par la force, mais bien par mon esprit !
    לֹא בְחַיִל, וְלֹא בְכֹחַ--כִּי אִם-בְּרוּחִי, אָמַר ה׳
    Zacharie 4:6


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  •     Der Mensch denkt und Gott lenkt.

    L'homme pense et Dieu dirige.


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  • L’auto-réalisation de la prédiction (ou « effet Pygmalion »), ce mécanisme bien connu en psychologie sociale qui veut que tout sujet tend à répondre aux attentes que l’on place en lui - que celles-ci soient positives ou négatives. Autrement dit, valorisez un individu, il voit ses performances augmenter objectivement. A contrario, rabaissez-le, brimez-le dans ses initiatives, dans ses possibilités d’expression, son estime de soi dégringole et le voilà qui fonctionne de moins en moins bien.

    source : http://www.mrax.be/article.php3?id_article=290#nh1


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  •     Comment s'explique la haine fanatique des nazis pour les juifs ?
        L'aversion pour les juifs, improprement appelée antisémitisme, n'est qu'un cas particulier d'un phénomène plus général, à savoir l'aversion pour ce qui est différent de nous. Indubitablement, il s'agit à l'origine d'un phénomène zoologique : les animaux d'une même espèce, mais appartenant à des groupes différents, manifestent entre eux des réactions d'intolérance. cela se produit également chez les animaux domestiques : il est bien connu que si on introduit une poule provenant d'un certain poulailler dans un autre poulailler, elle est repoussée à coups de bec pendant plusieurs jours. On observe le même comportement chez les rats et les abeilles, et en général chez toutes les espèces d'animaux sociaux. Il se trouve que l'homme est lui aussi un animal social (Aristote l'avait déjà dit), mais que deviendrait-il si toutes les impulsions animales qui subsistent en lui devaient être tolérées ! Les lois humaines servent justement à ceci : limiter l'instinct animal.
        L'antisémitisme est un phénomène typique d'intolérance. Pour qu'une intolérance se manifeste, il faut qu'il y ait entre deux groupes en contact une différence perceptible : ce peut être une différence physique (les Noirs et les Blancs, les bruns et les blonds), mais notre civilisation compliquée nous a rendus sensibles à des différences plus subtiles, comme la langue ou le dialecte, ou même l'accent (nos Méridionaux contraints à émigrer dans le nord en savent quelque chose), ou bien la religion avec toutes ses manifestations extérieures et sa profonde influence sur la manière de vivre, ou encore la façon de s'habiller et de gesticuler, les habitudes publiques et privées. L'histoire tourmentée du peuple juif a voulu que presque partout les juifs aient manifesté une ou plusieurs de ces différences.
    [...]
        Parce qu'ils sont les héritiers d'une culture qui veut qu'on raisonne et qu'on discute avant d'obéir, et qui interdit de s'incliner devant les idoles, alors que lui-même [Hitler] aspire précisément à être vénéré comme une idole et n'hésite pas à proclamer que "nous devons nous méfier de l'intelligence et de la conscience, et mettre toute notre foi dans les instincts".
    [...]
        Peut-être que ce qui s'est passé ne peut pas être compris, et même ne doit pas être compris, dans la mesure où comprendre, c'est presque justifier. En effet, "comprendre" la décision ou la conduite de quelqu'un, cela veut dire (et c'est aussi le sens étymologique du mot), les mettre en soi, mettre en soi celui qui en est responsable, se mettre à sa place, s'identifier à lui.
    [...]
        Puisqu'il est difficile de distinguer les vrais prophètes des faux, méfions-nous de tous les prophètes ; il vaut mieux renoncer aux vérités révélées, même si elles nous transportent par leur simplicité et par leur éclat, même si nous les trouvons commodes parce qu'on les a gratis. Il vaut mieux se contenter d'autres vérités plus modestes et moins enthousiasmantes, de celles que l'on conquiert laborieusement, progressivement et sans brûler les étapes, par l'étude, la discussion et le raisonnement, et qui peuvent être vérifiées et démontrées.

    Primo Levi, Si c'est un homme (Appendice)
    Pocket, Paris, 1990 (p.205-212)

        Beaucoup d'entre nous, individus ou peuples, sont à la merci de cette idée, consciente ou inconsciente, que "l'étranger c'est l'ennemi". Le plus souvent, cette conviction sommeille dans les esprits, comme une infection latente ; elle ne se manifeste que par des actes isolés, sans lien entre eux, elle ne fonde pas un système. Mais lorsque cela se produit, lorsque le dogme informulé est promu au rang de prémisse majeure d'un syllogisme, alors au bout de la chaîne logique, il y a le Lager ; c'est-à-dire le produit d'une conception du monde poussée à ses plus extrêmes conséquences avec une cohérence rigoureuse ; tant que la conception a cours, les conséquences nous menacent. Puisse l'histoire des camps d'extermination retentir pour tous comme un sinistre signal d'alarme.

    Primo Levi, Si c'est un homme (Préface)
    Pocket, Paris, 1990 (p.7)


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  •     Le sentiment de notre existence dépend pour une bonne part du regard que les autres portent sur nous : aussi peut-on qualifier de non humaine l'expérience de qui a vécu des jours où l'homme a été un objet aux yeux de l'homme.

    Primo Levi, Si c'est un homme
    Pocket, Paris, 1990 (p.185)


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  • 2 Corinthiens 3, 18
    Nous tous, le visage découvert, nous reflétons la gloire du Seigneur ; ainsi, nous sommes transformés pour être semblables au Seigneur et nous passons d'une gloire à une gloire plus grande encore. Voilà en effet ce que réalise le Seigneur, qui est l'Esprit.

    source : Le crapaud de bénitier [www.blogg.org/blog-12161-date-2009-06-4.html]


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  • On ne tire aucun avantage d’une possession ou d’un privilège obtenu par malhonnêteté.

    Un exemple de la force du désintéressement.


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  •     Il ne restait plus trace de mes confuses rumeurs intérieurs, de ces choses obscures, venues d'on ne sait où, qui se mettent à bouger en vous et à vous grignoter jusqu'à la paralysie de la volonté et l'acceptation, qui sont en même temps leurs propres excréments et leur nourriture.

    Romain Gary, Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable, p.174
    Folio n°1048, Paris, 2008 (1975 pour l'édition originale)


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  • illustration sonore : France Info - Chronique On dit que... - L'interview de Christophe André par Bernard Thomasson (3'51'')

        Mais la justice divine est partout présente et ne confondons pas : connaître ce n'est pas savoir. C'est notre propre effort qui doit tout nous révéler et nous ne pouvons rien devoir qu'à nous mêmes. Au fur et à mesure que nous nous améliorons, nous montons l'échelle du progrès, nous atteignons à des fluides de plus en plus éthérés. Lorsque, travaillant à notre avancement moral, nous avons utilisé tout l'amour que renferme certain fluide, nous avons le mérite d'en atteindre un autre plus éthéré, qui possède d'autant plus d'amour, par conséquent plus de lumière.

    La Révélation, La science et la foi, p.18


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  • illustration sonore :
    Eartha Kitt lit Sensemaya,
    chant for killing a snake (poem by Nicolas Guillen)

    THE DIVINE SERPENT IN MYTH and LEGEND
    [AS OF JUNE 1999] Robert T. Mason, Ph.D., D.D.

    Since the very beginnings of time, on every continent of this earth where humanity has worshipped divinity the serpent has been recognized and accepted as a god. From Africa's steaming jungle to the icy wastes of northern Europe; from the fertile crescent to the deserted outback of Australia the serpent has been worshipped, feared and adored.
    Serpent mythology is arguably the most widespread mythology known to mankind.
    [...]
    In the theories of the eminent Swiss psychologist, Karl Jung, the fantasies of the collective unconscious stem from the actual experiences of ancient ancestors, and the development of prehistory as a serious field of study is of considerable importance to the creators of myth. Certain facts exist in human history, and these are most often found hidden in myths. I have even been led to muse on the fact that the usual depiction of the double helix representing DNA is remarkably similar to the ancient depiction of the serpents guarding the world tree, a figure still found in the caduceus.
    [...]
    One must consider, for example, not only the serpent's seeming immortality but also its ability to periodically desquamate the integument covering its entire body without bleeding, illness or infection and immediately replete a new body covering. In accomplishing this 'miraculous' function the serpent liberates itself from scars, dermatoses and ticks. Such ability is beyond the scope of human efforts. This early connection between the serpent and healing becomes a permanent facet of serpent worship.
    [...]
    The Serpent is emblematical;
    1. Of wisdom… [Biblical: "be ye therefore wise as serpents "Matt 10:16]
    2. Of subtlety…[Biblical: " Now the serpent was more subtle than an beast of the field" Gen. 3:1]
    The Serpent is symbolical;
    1. Of deity: Plutarch et al
    2. Of eternity: forming a circle with tail in mouth
    3. Of renovation and resurrection: the old becomes young [skin shedding]
    4. Of guardian spirits: Greek and Roman temple altars

    [...]Before leaving Africa we journey back to the Middle East to spend some time examining the Hebrew attitude toward the divine serpent. To do so we will use the best source available, the Jewish Holy Scripture. When the Hebrews emigrated from Egypt during the XIX dynasty they took with them a caricature of Set and gave him the title Satan from the hieroglyphic Set-hen which was one of this god's formal titles.
    [...]
    But, to continue with the Biblical picture, the ass was given speech to deliver the 'word of God'. Can we assume that the snake had the gift for any other reason? We find here the serpent guarding the tree of life and knowledge just like he did in Sumer. There are too many similarities in the tree and the serpent to be accidental.
    It is evident to me that the account of the "fall of man" from Eden was adapted by biblical writers from pre-Judaic polytheistic traditions in which a divine and omniscient serpent, representing the female creative nature, was pitted against the created order of a male oriented divinity. It is for this reason that the serpent is stressed as demonic, in spite of the fact that the Genesis authors are compelled to harmonize their account with those of the surrounding peoples, and therefore must write that the serpent is a creature of God, and "more 'subtil' (sic) [ Genesis 3:1] than any beast of the field which the Lord God has made."
    Here we might suggest that the serpent saves humanity by putting it in touch with nature; death is recognized as a function of all nature, including humanity, and this knowledge is necessary for new life to begin. This would bring Jewish legends into more equivalent to other Near East traditions.
    In Genesis the serpent is not only sentient of God's prohibition against partaking from the Tree of Knowledge; it knows why God will enforce that command; it knows the gift of the Tree of Knowledge, as if it possessed that gift.
    [...]
    When he considers the place of the serpent. Carl Jung appears like the Gnostics of Christianity who identified the serpent with the human medulla and spinal cord. Jung regards the serpent as the psychic representative of the human functions which are governed by these parts of the body.
    The serpent would correspond to what is unconscious and incapable of becoming conscious, but which, as the collective unconscious seems to possess a wisdom of its own and a knowledge that is often felt to be supernatural.
    [...]
    This symbolic rod was then carried by the Roman Hermes , Mercury. It was also carried by Roman soldiers during a flag of truce. The serpents may come from the tradition that Sesculapius, the god of medicine appeared during a plague in the form of a serpent. Romans, like most ancients, not only believed that snakes held the secret of eternal life, since they shed their skins and appeared new each year, but they also believed that snakes as being able to search out health-giving medicinal herbs. Thus, this combination of rod, wings and snakes represented speed, authority and peace. The caduceus is still the common symbol of the medical profession.
    [...]
    The Rainbow Serpent is one of the most powerful mythological figure for all aboriginal people throughout Australia. Characteristics of the rainbow serpent may vary from group to group and tribe to tribe, but the significance of the serpent is never questioned. Aboriginal people today respect and are the caretakers of the sacred sites where the rainbow serpent is said to reside. Often these sites are considered taboo, or too sacred for normal activities.
    One tale tells of the time that the great serpent traveled through Australia, looking for his tribe. He traveled from North to South until he reached Cape York. Goorialla, which was the name of this rainbow serpent, created animals, plant life and all natural features of the earth.


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  •     Sans doute nos sociétés néolibérales, qui sont abandonnées au matérialisme de l'argent roi, ne se sauveront-elles que grâce à un regain de spiritualité.

    Jean-François Kahn, Dieu est-il criminel ?, p.59
    Marianne - 12 au 18 novembre 2001


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