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  •     Arcelor-Mittal était l'entreprise Cockerill : Louis Antoine fut encore un temps machiniste au charbonnage des Kessales qui travaillait à approvisionner en charbon l'acirie.


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  •    La rue Bois-de-Mont, mène au lieu-dit Bois-de-Mont, où est né et à grandi Catherine Collon, qui deviendra la femme de Louis.

       C'est en au de cette rue que Louis et Catherine loueront une maison avec un jardinnet où cultiver des légumes pour les vendre.


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  • Polen - Jüdischer Arbeiter  --  Polska - Zydowski robotnik  --  Pologne - Ouvrier juif

        Le séjour de Louis Antoine comme ouvrier métallurgiste, lui donna l'occasion d'être en contact avec une population juive. Cela ne manqua pas d'influencer son parcours, ainsi quelques similitudes peuvent être faire entre la religion juive et l'antoinisme.

    - Yom Kippour, bilan, pour les juifs sur l'année, chez les Antoinistes, le bilan se fera à la désincarnation.

    - La Prière chez les hassidim est plus un constant remerciement à Dieu, qu'une suite de demandes plus ou moins matérielles.


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  •     Dimanche dernier donc, je me suis rendu au Temple de Jemeppe à 9h30. Moi et Andi avons été salué par un "Bonjour frère". Puis j'ai expliqué que nous venions pour la première fois et demandé les choses basiques : où mettre son manteau, que faire, et si je pouvais faire des photos. Réponses : il y a des portes-manteaux dans la salle du Temple. Je peux faire des photos maintenant car nous sommes les premiers arrivés et discrètement, ce n'est pas un problème puisque cela peut constituer un travail moral pour moi. Puis le frère qui nous a accueilli nous demandais de nous recueillir en silence. Rappelons que le silence doit régner au maximum dans le Temple (il arrive donc qu'on entende les oiseaux chanter).

        Une dame est entrée dans le Temple quand je finissais de faire mes photos et s'est recueillie. Moi et Andi avons suivi son exemple. Un détail important : on se sent presque obligé, en tout cas pour un premier contact, de lire l'Auréole de la Conscience, inscrite assez haut sur le mur du fond. Notre posture est alors tête haute.

        D'autres personnes nous ont rejoints : nous étions en tout 6 à assister à la lecture, mais quand on pense qu'il y a une trentaine de temples, dont plus de 10 aux environs de Liège, cela peut expliquer le petit nombre de personnes. Quelques minutes avant 10h, le lecteur s'est recueilli assis au premier rang (en prenant soin de ne pas s'assoir sur sa robe). Puis il est passé au pupitre.

         Hier, au Temple de Jemeppe, la lecture du Développement commençait par le premier chapitre, où le Père explique sont parcours de progrès. Avec une voix cérémonielle (cela est en fonction du lecteur, mais la lecture est assez lente pour s'en imprégner le mieux), le lecteur à lu : l'Auréole de la Conscience puis les 10 principes, et enfin le début du Développement.

        Puis tous se lèvent et se recueillent en silence. La cérémonie est terminée.

        Nous sommes ensuite passé dans un cabinet de consultation pour pouvoir parler librement. Le Frère nous remis (gratuitement) alors divers documents sur le culte et son organisation. Et j'ai posé divers questions.Je lui ai dis mon intention d'acheter la Révélation, qu'il consenti à me vendre (en me faisant comprendre que cela n'était d'aucune obligation).

        Pendant ce temps, une soeur sortait de consultation d'avec une soeur chargée de recevoir dans un autre cabinet de consultation, celui-là même où recevait le Père, situé derrière la porte du mur gauche, à l'intérieur de la salle du Temple. Cette soeur lui remit son jeton (jeton que l'on prend ou que l'on demande à la personne qui nous accueille qui nous indique notre ordre de passage dans le cabinet de consultation). Puis l'achat réglé et les questions terminés, le frère nous saluèrent par une formule que j'ai oublié, mais qui donné ses "voeux de bonheur" (en quelques sortes) à moi et Andi et toute notre famille.

        Puis nous partirent. L'après-midi, nous avions fixé une rencontre avec la Soeur du Temple d'Angleur, pour parler encore de divers choses. Et là encore j'ai remarqué qu'elle ne nous ouvrit pas la porte : c'est nous même qui pouvons choisir (selon notre libre-arbitre) d'entrer et de sortir quand nous le voulons du temple.

        Avec la soeur du Temple d'Angleur, nous nous sommes recueilli dans le Temple : et j'ai voulu interrompre le recueillement en demandant si je pouvais faire des photos : soeur m'a signalé en silence qu'on en parlera plus tard à l'extérieur. Après le recueillement, je me suis excusé, elle compris tout à fait qu'on ne puisse avoir les habitudes de recueillement en découvrant le culte. Puis m'expliqua pourquoi, elle, ne souhaitait pas qu'on fasse des photos du temple : Père Antoine n'était pas spécifiquement pour. En effet, l'important est ce qui se passe lors de la lecture, du recueillement, de l'opération générale, et pas un souvenir sur papier ou écran du temple. Il est mieux d'essayer de se souvenir ce ces moments que de chercher à les faire ressurgir en regardant une photo.

        J'étais d'accord avec cette idée, car il m'est venue l'idée que de plus en plus, je cherchais à faire d'abord une photo, plutôt que de vivre le moment quelque part (ce qui est parfois très énervant pour Andi notamment). Encore une fois, soeur répondit avec coeur, bonne humeur, humilité et amour à toutes mes questions. Puis elle proposa de faire une Élévation de pensée, ce que nous fîmes debout dans le cabinet. Enfin, elle nous remit un papier avec les horaires et lieu des classes du nouveau spiritualisme. Je n'achetai pas le Développement, soeur me disant qu'il est bien de commencer par le début de l'Enseignement (la Révélation que j'avais déjà acheté à Jemeppe), et nous partîmes. Andi et moi avons encore discutés longtemps sur le chemin vers la voiture, car on ne ressort pas de tant de "bons fluides" sans en ressentir le besoin d'encore en parler. Et moi, j'ai la chance d'avoir rencontré Andi pour parler de tout. Cependant, une consultation est également possible.


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  • source : Base Mémoire


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  • Le Quartier Saint-Maurice se trouve tout au Nord, à la fin du Nice urbanisé.

    source : lib.utexas.edu


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  •     Observations sur la préparation de la créosote par M. Koene

       M. Koene a reconnu que le goudron de pin ne fournissait qu'une très petite quantité de créosote pure, et que celle que d'autres chimistes prétendaient en avoir obtenue était une huile pesante particulière imprégnée seulement de créosote ; mais en opérant de la manière suivante sur le goudron de la houille, il a recueilli dix gros de créosote par litre.
        M Koene distille le goudron de la houille dans une cornue munie d'une longue alonge à large ouverture, sous laquelle il place une capsule. Il obtient d'abord une huile volatile légère, puis en changeant de temps en temps le récipient, il recueille une huile pesante, il continue la distillation en élevant la température jusqu'à ce que la naphtaline se condense dans le col de la cornue, il reste dans l'alonge une certaine quantité d'huile pesante unie à la naphtaline, et formant un mélange de consistance butyreuse ; en chauffant légèrement l'alonge, il le fait écouler dans la capsule.
        Il expose ensuite le produit au froid et en sépare la naphtaline par l'expression. Pour enlever toute la créosote, il chauffe la naphtaline exprimée avec son poids de vinaigre de bois jusqu'à ce qu'elle entre en fusion. En refroidissant, la naphtaline cristallise et peut être séparée par la pression de la liqueur que l'on sature ensuite avec le sous carbonate de potasse. Les huiles pesantes obtenues sont traitées successivement par 1/40 de leur poids d'acide phosphorique et par un volume d'eau égal au leur. On sépare l'eau et on rectifie en ayant soin de mettre à part l'huile légère qui distille d'abord.
        On dissout alors l'huile rectifiée dans la potasse, et on isole la créosote libre au moyen d'un léger excès d'acide phosphorique étendu, on rectifie de nouveau, et en séparant l'eau qui distille d'abord on obtient de la créosote parfaitement pure.

    Journal de pharmacie et des sciences accessoires, 1836, p.90 (Google Books)

        Huile de goudrons de houilles, la créosote du grec kréas : chair, et sôzein : conserver, découverte par Karl von Reichenbach, est un dépôt croûteux formé par la fumée montant et se déposant sur les parois d'une cheminée, pouvant s'enflammer lorsqu'il y a accumulation. La créosote est le produit d'une combustion incomplète du bois, donc la plupart des cheminées traditionnelles. (wikipedia)


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  •     Thé de Saint-Germain: Fleurs de sureau, semences de fenouil, anis... Chaque matin une tasse d'infusion préparée avec un de ces paquets (Bouchardat, Nouv. formulaire, 1894, p. 235).

    source : Trésor de la Langue Française Informatisé, article Thé

    Espèces purgatives de Saint Germain.
    Thé de santé, Thé de Saint-Germain, Poudre de longue vie, species purgativoe

    Séné 120
    Anis 50
    Sureau 50
    Crème de tartre 30
    Fenouil 30
        Incisez et divisez en paquets de 5 gr. dont chacun sert pour une tasse d'infusion (Codex).
        Dose : une cuillerée a café pour six tasses d'eau (Jourd.) 5 à 10 gr. (1 à 2 cuillerées à bouche) infusés pendant 1/4 d'heure dans une tasse à thé d'eau bouillante, prise le soir ou le matin. (Pierlot.) C'est, paraît-il, un bon moyen à opposer à la constipation ; en Prusse, il est populaire. 

    François Dorvault, L'officine ou répertoire général de pharmacie pratique, p.466 (Google Books)


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  •     "Ils se rendirent à Bethsaïda ; et on amena vers Jésus un aveugle, qu'on le pria de toucher. Il prit l'aveugle par la main, et le conduisit hors du village ; puis il lui mit de la salive sur les yeux, lui imposa les mains, et lui demanda s'il voyait quelque chose. Il regarda, et dit : J'aperçois les hommes, mais j'en vois comme des arbres, et qui marchent. Jésus lui mit de nouveau les mains sur les yeux ; et quand l'aveugle regarda fixement, il fut guéri, et vit tout distinctement..."

    Marc, VIII, 22-26


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  •  source : Gallica2


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  •  source : photo.rmn.fr


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  • source : Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
    Ed. Labor - Espace Nord.
    Crédit photographique. Culte antoiniste de Jemeppe
    voir une version colorisée

        Un autre société porte le même nom à Liège (11 rue des Récollets, en 1913). 
        On peut reconnaître Gustave Gony le premier à gauche dans le rang du milieu.

        Elle est à l'origine de deux publications :
    - un Petit Catéchisme spirite (1896),
    - Le Devoir (vers 1900),
    - Un livre d'Enseignement (1905),
    et de plusieurs brochures...


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  • La tache lumineuse du miroir commençait à se dessiner d'une façon plus distincte et à se teindre de couleurs légères, immatérielles pour ainsi dire, et qui auraient fait paraître terreux les tons de la plus fraîche palette. C'était plutôt l'idée d'une couleur que la couleur elle-même, une vapeur traversée de lumière et si délicatement nuancée que tous les mots humains ne sauraient la rendre. Guy regardait toujours, en proie à l'émotion la plus anxieusement nerveuse. L'image se condensait de plus en plus sans atteindre pourtant la précision grossière de la réalité, et Guy de Malivert put enfin voir, délimitée par la bordure de la glace comme un portrait par son cadre, une tête de jeune femme, ou plutôt de jeune fille, d'une beauté dont la beauté mortelle n'est que l'ombre.
        Une pâleur rosée légèrement colorait cette tête où les ombres et les lumières étaient à peine sensibles, et qui n'avait pas besoin, comme les figures terrestres, de ce contraste pour se modeler, n'étant pas soumise au jour qui nous éclaire. Ses cheveux, d'une teinte d'auréole, estompaient comme une fumée d'or le contour de son front. Dans ses yeux à demi baissés nageaient des prunelles d'un bleu nocturne, d'une douceur infinie, et rappelant ces places du ciel qu'au crépuscule envahissent les violettes du soir. Son nez fin et mince était d'une idéale délicatesse ; un sourire à la Léonard de Vinci, avec plus de tendresse et moins d'ironie, faisait prendre aux lèvres des sinuosités adorables ; le col flexible, un peu ployé sur la tête, s'inclinait en avant et se perdait dans une demi-teinte argentée qui eût pu servir de lumière à une autre figure.

    Théophile Gauthier - Spirite, chap. 5 - 1866 (Wikisource)

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