• Source du Père Antoine (Archives Temple de Retinne)

    Source du Père Antoine (Archives Temple de Retinne)

    non daté


    votre commentaire
  • Collaborateur direct du Père - Frère Delcroix, désincarné en février 1926 (Archives Temple de Retinne)

    Collaborateur direct du Père - Frère Delcroix, désincarné en février 1926 (Archives Temple de Retinne)

        Il était présent lors du premier procès, en 1900-01 : "Dans la salle au premier rang du public, s'étaient placés les adeptes : Debroux, Foccroule, Deregnaucourt, Hollange, Nihoul, et M. Delcroix, le professeur, avec son col blanc et sa jaquette noire, - tous les fidèles Vignerons (Pierre Dor manquait, - il avait abandonné Antoine pour suivre son propre chemin)."

    Robert Vivier, Délivrez-nous du mal, p.266


    votre commentaire
  • Collaborateurs directs du Père - Consécration par Soeur Deregnaucourt (archives Temple de Retinne)

        Sœur de Regnaucourt a fait la consécration du Temple du Quai des Ardennes en bonnet blanc. Elle était très à l'épreuve, car il n'y avait que Mère qui pouvait le porter, étant entrée dans la pureté.
    Cette sœur a été tellement à l'épreuve qu'elle a dit : "Plus jamais !" Après 8 jours on a reconsacré le Temple avec Mère cette fois, car cela non plus n'avait été et peu de monde ; avec Mère, il y avait foule.


    votre commentaire
  •     Le frère Émile Scuflaire et sa femme sœur Mimi Versteylen, desservant du Temple de Retinne après frère et sœur Bronckart prirent en charge le Temple de Retinne et conservent les archives dans la tradition du culte laissé par Mère.

    Photo originale du Père (négatif dans les Archives du Temple de Retinne)

    Photo originale du Père (négatif dans les Archives du Temple de Retinne)#2


    votre commentaire
  • Temple de Hors-Château (creator.nightcafe.studio)

    Temple de Hors-Château

    (image créée avec creator.nightcafe.studio)


    votre commentaire
  • Journées du Patrimoine 1999 - Temple Antoiniste d'Angleur

    Brochures des Journées du Patrimoine - Wallonie 11-12/09/99
    1850-1950 : Un siècle d'architecture moderne

        L'après-midi, le circuit débutera par la visite extérieure et intérieure du Temple des Antoinistes où un responsable vous accueillera. Ce bâtiment de style néo-gothique fut construit en 1935. Particulièrement répandu en Wallonie, ce culte, reconnu comme religion en 1926, trouve en partie ses origines à Jemeppe-sur-Meuse où vivait Père Antoine le guérisseur (1846-1912).

    https://awap.s3.us-east-2.amazonaws.com/brochures/1999++-+11es+Journe%CC%81es+du+patrimoine+en+wallonie.pdf

    Journées du Patrimoine 1999 - Temple Antoiniste d'Angleur - ill.


    votre commentaire
  • Antoine le Guérisseur (Journal de Bruxelles, 7 juillet 1912)(Belgicapress)

    Antoine le Guérisseur

        La Gazette de Liège consacre au « guérisseur », qu'on a enterré dimanche à Jemeppe, ces lignes intéressantes :

        Le guérisseur n'a pu se guérir. Sa femme, que les adeptes appellent notre Mère, continuera les opérations. Elle ne possèdera pas le même prestige ; il lui manquera toujours la barbe patriarcale du mari, laquelle en imposait beaucoup aux visiteurs. Il est probable que l'antoinisme ne survivra guère à son chef, les femmes n'ayant jamais pu fonder ou maintenir des religions durables. Dans la multitude des fidèles, on ne signale que trois hommes influents : un avocat, un capitaine en retraite et un professeur. Le reste du troupeau se compose de petites gens très zélés, mais incultes, et qui seraient bien embarrassés de rendre compte de leur foi.
        Il est juste de reconnaître que M. Antoine s'était acquis une notoriété considérable. Avant l'année 1905, il était un spirite ordinaire : il avait perdu un fils et le spiritisme lui avait révélé que l'enfant s'était réincarné, à Paris, dans la peau d'un pharmacien. Bien des spirites commencent par là : affolés par un deuil, ils cherchent à entrer en rapports avec le cher disparu ; leur imagination ou l'adresse d'un imposteur achève de les duper. Ayant réussi convenablement à faire tourner les tables et à déchiffrer l'écriture des médiums, M. Antoine s'établit rebouteux ; il aida les pharmaciens à écouler des petites bouteilles de liqueur Koene : « 5 verres à 7 gouttes par jour, 4 ou 5 minutes avant le repas ». Nous conservons le manuscrit original d'une de ces prescriptions, qui d'ailleurs devaient être nombreuses, le même remède guérissant également tous les maux. La justice veut entraver ce petit commerce. Antoine ordonna à ses malades de l'eau pure magnétisée par lui. Cette panacée remplaça parfaitement la drogue. Puis vinrent les passes, individuelles ou collectives. Il y eut des guérisons en masse, du moins on le dit, car, soit modestie du thaumaturge, soit ingratitude des clients, il a été impossible jusqu'alors de contrôler sérieusement un de ces miracles. Les tracts antoinistes, qui recueillent pieusement les moindres paroles du maître et les questions de ses disciples, ont obstinément oublié de signaler les cas de guérison qui ont fondé la réputation de M. Antoine. Espérons que cette lacune sera comblée.
        Nous avons examiné consciencieusement les divers écrits qui prétendent contenir la doctrine du prophète de Jemeppe : l'« Enseignement », l'« Auréole de la conscience », le « Couronnement de la révélation », les fascicules de l'« Unitif ». Ces nouveaux évangiles sont à peu près incompréhensibles. Les mots les plus usuels prennent apparemment une signification spéciale qui ne figure pas dans les dictionnaires. Les contradictions fourmillent. Il serait difficile d'extraire de ce fouillis une théorie quelconque. Sur la divinité, on nous fournit des notions incohérentes. Dieu est parfois « un bon père de famille » ; ailleurs, nous sommes tous Dieu, ou en train de le devenir. Le Dieu d'Antoine n'a besoin d'aucun culte : « il aime d'autant moins qu'on le loue qu'il est plus grand ». Le démon est « le mauvais génie, cause des maladies, des accidents, des grands fléaux qui accablent l'humanité », ou bien « notre mère qui nous nourrit de son sein. Nous sommes plutôt enfants du démon qu'enfants de Dieu » !
        M. Antoine propose même « d'adorer le démon, si empressé pour nous... Nous retrouvons en lui le vrai Dieu, et dans l'intelligence, la lucidité de la conscience ». Il ne se gêne d'ailleurs pas pour affirmer exactement le contraire : « La vue du mal nous prive de l'amour qui ferait de nous un vrai Dieu, tandis qu'elle nous contraint d'être un démon. »
        Selon le docteur, le mal n'existe pas : c'est un produit de notre imagination. Tout ce qui tombe sous les sens est une illusion. L'homme est libre d'agir à sa guise, pourvu qu'il suive son instinct. La foi est le remède universel : consulter les médecins c'est manquer de foi, par conséquent s'exposer à rester malade définitivement.
        En philosophie, M. Antoine estime que la matière est éternelle et qu'Adam a créé le monde. Il n'aime pas les animaux : « Nous devons savoir que l'animal n'existe qu'en apparence, il n'est que l'excrément (sic) de notre imperfection. »
        Telle est la religion qui éblouit présentement des milliers de disciples. Lisez l'« Enseignement », si vous en avez le courage, vous pourrez mesurer jusqu'où descendent des âmes, privées du christianisme.

    Journal de Bruxelles, 7 juillet 1912 (source : Belgicapress)

        La Gazette de Liége se positionne au centre-droit de l’échiquier politique. Elle est proche du Parti catholique puis du Parti social-chrétien (nous renseigne Wikipedia).


    votre commentaire
  • Délivrez-nous du mal (L'Homme libre, 30 mars 1936)

        «o»  Délivrez-nous du mal, par Robert Vivier (éditions Bernard Grasset). C'est une sorte de biographie romancée de Louis Antoine que nous offre ici M. Robert Vivier. Louis Antoine était un simple ouvrier mineur de Liége, excellent ouvrier qui fit quelques économies grâce à son travail en Allemagne et en Pologne. Revenu s'établir dans son pays natal il eut la grande douleur de perdre son fils et cela le fit verser dans le spiritisme et par là il en vint à construire une religion personnelle, à aller jusqu'à la métaphysique pour reconstruire Dieu et établir une croyance nouvelle. Guérisseur, en outre, Louis Antoine trouva auprès de ses concitoyens une audience peut-être imprévue même pour lui et sa religion s'étendit au delà même des frontières belges. Elle survécut à sa mort survenue en 1912 et « l'antoinisme » aujourd'hui compte encore de nombreux temples, a ses rites, ses prêtres et ses fidèles. La doctrine entièrement basée sur le fait que l'esprit ne peut que créer l'esprit et non la matière apparaît assez faible du point de vue métaphysique et le conduit à des conclusions parfois surprenantes.
        M. Robert Vivier a évoqué avec vie et vérité cette existence curieuse et d'un genre tout particulier.

    L'Homme libre, 30 mars 1936


    votre commentaire
  • Robert Vivier, Délivrez-nous du mal (Le Quotidien, 11 février 1936)ROBERT VIVIER

    Délivrez-nous du mal
    Antoine le guérisseur

        Depuis quelque temps, des sujets imprévus semblent remplacer les anciens sujets et les études d'hier ; au milieu des romans et des livres d'histoire, voici pas mal d'ouvrages sur la nature humaine, sur la condition de l'homme et sur les forces mystérieuses plus ou moins réelles sur lesquelles notre époque inquiète voudrait s'appuyer sourciers, guérisseurs, inventeurs de thérapeutiques, créateurs de mystiques sont à la mode.
        Je les signale ici dans la proportion même où ils s'imposent à l'attention des lecteurs, et l'on peut constater, par surcroit, que cette « attention » mérite « attention ».  Voici donc, en ce genre, l'histoire d'un guérisseur qui a créé une religion : Antoine, le guérisseur.
        Louis Antoine était un simple ouvrier mineur ; il était né en 1846 près de Liége. Après avoir travaillé dans la mine, il fut machiniste, puis marchand de légumes ; il s'expatria et fut contremaitre dans une usine de Pologne. Il rentra en Belgique et obtint un emploi de concierge et d'encaisseur. Son biographe, M. Robert Vivier, qui écrit une biographie romancée (mais romancée uniquement dans le menu détail) nous montre la monotonie, la médiocrité étroite, le manque d'horizon d'une telle existence.
        Après la mort d'un fils unique, Antoine, qui n'avait jamais eu une piété bien forte, se laisse conduire dans des groupes spirites du rite d'Allan Kardec.
        Là M. Vivier nous apprend que le spiritisme, qui nous semblait une mode d'intellectuels et de gens cultivés, sinon de gens du monde, était pratiqué par des ouvriers, de petits marchands, tous gens très ignorants et très modestes, et c'était entre eux comme une secte secrète.
        Antoine fonde un groupe ; les esprits sont ses guides. Il croit qu'ils possèdent ou qu'il y a d'ans l'univers des courants de fluide. Un de ces courants, un fluide bienfaisant et guérisseur, voici que lui, Antoine, il se découvre la puissance de le concentrer et de le diriger : il guérit !
         Les gens n'ont qu'à comparaître devant lui ; il les regarde, lit en eux leur mal, et les guérit ou tout au moins soulage leur âme. Car il faut la foi pour s'approcher de lui : foi, non en une série de dogmes, non en une certaine divinité, mais en la bonté universelle et créatrice qu'il appelle Dieu ; foi difficile, sans objet ni lumière, mais chaude, dans le froid de la vie, comme un soleil d'avril dans la fraîcheur du printemps. Bientôt, au lieu d'agir lui-même sur les malades, il infuse le fluide dans des feuilles de papier ou dans le l'eau pure que le malade s'applique.
        Enfin, il renonce tout à fait au guérissage individuel ; il crée une religion dont il est le grand-prêtre et le saint, un quasi Dieu. Il guérit du haut de la chaire les fidèles venus pour prier ; il les guérit en bloc, comme le soleil éclaire en bloc. Et il meurt laissant une Eglise qui compte, dit-on, trois cent mille fidèles, et qui continue à essaimer. M. André Thérive, dans son roman Sans âmes, a décrit un milieu d'Antoinistes français.
        De tels créateurs de religion ne sont pas rares. Beaucoup s'arrêtent à mi-chemin, comme ceux qu'a fait revivre Maurice Barrès, dans La Colline inspirée. D'autres, comme Towianski lancent des mouvements d'une portée incalculable. Ici, l'originalité, c'est qu'Antoine est un ouvrier à l'esprit aussi positif que peu cultivé. Il a répandu son esprit parmi des gens qui lui ressemblent. – F. S.

    Le Quotidien, 11 février 1936


    votre commentaire
  • Le culte antoiniste - Révélation par le Père (Journal de Charleroi, 9 juin 1913)(Belgicapress)Le culte Antoiniste

        La mort d'Antoine le Guérisseur, prophète à Jemeppe, n'a pas arrêté la propagande de sa religion, l'antoinisme, bien au contraire. Nos mœurs se sont adoucies : il n'est plus nécessaire à un prophète de se faire crucifier pour prouver la vérité de sa doctrine. Les antoinistes continuent donc paisiblement leurs prédications. Mais ils lui donnent une forme bien moderne.
        Ces jours derniers, on a déposé dans la boîte aux lettres d'un grand nombre de maisons bruxelloises, un petit papier d'apologétique, « Révélations par le Père ». On nous y apprend que l'enseignement du Père a pour base l'amour, qu'il révèle la loi morale, la conscience de l'humanité.
        « Ne croyez pas, dit le saint Paul de l'antoinisme, que le père demande l'établissement d'une religion qui restreigne ses adeptes dans un cercle, les oblige à pratiquer sa doctrine, à observer certain rite, à respecter certaine forme, une opinion quelconque, à quitter leur religion pour venir à « lui ». Non, il n'en est pas ainsi : nous instruisons ceux qui s'adressent à nous de ce que nous avons compris dans l'Enseignement du « père » et les exhortations à la pratique sincère de la religion dans laquelle ils ont foi, afin qu'ils puissent acquérir les éléments moraux en rapport avec leur compréhension.
        Dans ces conditions, l'antoinisme ne paraît vraiment pas redoutable ; le cléricalisme antoiniste est encore loin de nous. Mais qui sait ? Les religions qui commencent sont généralement tolérantes.

    Journal de Charleroi, 9 juin 1913 (source : Belgicapress)

     

        Et 110 ans après, l’Antoinisme, pour le plus grand étonnement de ce journaliste, certainement, reste fidèle à sa tolérance, digne de l’Enseignement du Père…


    votre commentaire
  • Antoine le guérisseur est mort (Le Petit Haut-Marnais, 1er juillet 1912).jpg

    ANTOINE LE GUERISSEUR EST MORT

        Antoine le Guérisseur, fondateur de religion et thaumaturge, dont le temple de Jemmapes est devenu célèbre, est mort. Il était né à Flémalle-Grande le 18 juin 1846 et habitait Jemmapes depuis vingt et un ans. A cette époque il revenait de Russie, où il avait gagné quelque argent. Il avait construit au hameau de Bois-du-Mont une cité ouvrière.
        En 1895, il fit démolir plusieurs de ces maisons et fit construire un temple de dimensions modestes. Il prêchait une religion de bonté, d'amour et de solidarité. On lui accordait le pouvoir de guérir de nombreuses maladies par la simple imposition des mains, et il réussit à guérir ainsi par suggestion plusieurs personnes dont le système nerveux était ébranlé.
        Il fut poursuivi pour exercice illégal de la médecine. Condamné une première fois à 26 francs d'amende, il fut acquitté la seconde.
        Il convient de dire qu'il ne se faisait jamais payer et qu'il refusait même l'argent que lui adressaient des malades reconnaissants.
        Sa religion avait de nombreux adeptes dans toutes les classes de la société, en France, en Allemagne et aux Etats-Unis. Il avait créé à Jemmapes un club qui avait de nombreux adhérents. Il procédait surtout par publicité et possédait une imprimerie où il tirait plusieurs journaux hebdomadaires, dont l'un se tirait à 20.000 exemplaires. Il était plutôt un illuminé qu'un charlatan.
        Il y a quelque temps, les adeptes d'Antoine, au nombre de 130.000, adressèrent une pétition dans laquelle ils demandaient que l'antoinisme fut reconnu. Cette pétition eut un grand retentissement dans le monde entier et toute la presse consacra de longs articles au prophète de la nouvelle religion, qui, depuis quelque temps, a des représentants à Paris. Il existe des temples, ou de simples salles de réunion, dans de nombreux villages du pays de Liège.
        La nouvelle de la mort d'Antoine le Guérisseur a causé une profonde émotion dans fout le pays.

    Le Petit Haut-Marnais, 1er juillet 1912


    votre commentaire
  • Journal de Liége chez Antoine (Le Messager, 15 déc. 1904)

    Le Journal de Liége du 5 décembre publie un long compte-rendu d'une visite d'un de ses rédacteurs à « Antoine le guérisseur ». Notre frère en croyance de Jemeppe-sur-Meuse, dont le dévoûment est inlassable, reçoit toujours des centaines de visiteurs.

    Le Messager, 15 décembre 1904)


        Malheureusement les archives du Journal de Liège ne son pas encore disponible en ligne.


    votre commentaire
  • Les Antoinistes à Huy (Le Messager de Bruxelles, 19 avril 1916)(Belgicapress)

    Les Antoinistes à Huy

    La curiosité semblait très piquée, il y a quelques jours, par la vue d'un enterrement qu'accompagnaient les envoyés du culte antoiniste en longues lévites noires, portant l'emblème rituel et le cercueil que recouvrait le drap vert du temple d'Antoine le généreux.

    Le Messager de Bruxelles, 19 avril 1916 (source : Belgicapress)


    1 commentaire
  • Emblème antoiniste de l'arbre (FaceBook Vincent Bourgeois, Schaerbeek)

    Emblème antoiniste de l'arbre

    (source FaceBook de Vincent Bourgeois, Schaerbeek)


    votre commentaire
  • 1910s Antoinism Religious Cult - Antoine (retouche)1910s Antoinism Religious Cult - The Good Mother (corrigé)       Photographies de presse : Le Père fait l'Opération                         La Mère dans le jardin du Temple

    1910s Antoinism Religious Cult - Adept curing a child (1)1910s Antoinism Religious Cult - Adept curing a child (2)

    Photographies de presse : une adepte "guérissant" un enfant      

    Un lot de photographies de presse des années 1910 a été un temps mis en vente sur le site https://curleysantiques.com, ainsi que sur ebay.com. Une partie ont été publié par le Daily Mirror.

    1910s Antoinism Religious Cult - reverse

    1910s Antoinism Religious Cult Belgian Coal Miner Press Photos

    Antoine, Mdm Antoine (The Good Mother) & two 'adepts' curing children reverse. Healing image shows a poignant young girl doubly exposed.  (4) photographs each measure 4.75 x 6.5"  w/ early NYC press markings.


    votre commentaire
  • Temple d_Orange (creator.nightcafe.studio)

    Temple d'Orange

    image créée avec creator.nightcafe.studio

     


    votre commentaire
  • Une conférence spirite (Gazette de Charleroi, 5 septembre 1906)(Belgicapress)

              CHRONIQUE LOCALE
               ET REGIONALE

    CHARLEROI
        Une conférence spirite. – Lundi soir, à 7 heures, à l'Hôtel de l'Espérance, place de la Station, conférence par MM. Hollonge et F. Delcroix, professeur à l'Athénée royal de Liége.
        Sujet : Qu'est-ce que le spiritisme ? et Maître Antoine le Guérisseur ?
        Cette conférence est publique.

    Gazette de Charleroi, 5 septembre 1906 (source: Belgicapress)


    votre commentaire
  • La Révélation, Les dernières paroles du Père à ses adeptes (p.414)

       L'Enseignement marche de l'avant rapidement et nous serons toujours plus forts en face de ceux qui verront le mal en nous.

    La Révélation, Les dernières paroles du Père à ses adeptes (p.414)


    votre commentaire
  • Henri Lormier - Méditation (Le Fraterniste, 1er juillet 1935)

    MÉDITATION

        Pas un jour, pas une heure, pas une minute ne devrait s'écouler dans la vie, sans que l'esprit humain ne soit guidé vers le Bien.
        Il suffirait de concentrer sa pensée dans le souvenir de tous ceux qui ont été les missionnaires de la Vérité : Aimer et servir. C'est là le plus grand, le plus beau, le plus pur idéal.
                                                                               H.[enri] LORMIER

    Le Fraterniste, 1er juillet 1935


    votre commentaire
  • Faire-part - Veuve Lambert Vanelderen (La Wallonie, 2 mars 1933)(Belgicapress)

        LIMONT. — On nous prie d'annoncer la mort de
    Mme Veuve Lambert VANELDEREN

        L'enterrement antoiniste aura lieu vendredi 3 mars, à 3 h. de l'après-midi, à Limont (Remicourt).

    La Wallonie, 2 mars 1933 (source : Belgicapress)


    votre commentaire